Mon mari et mon beau-père avait tout bien préparer afin d'arriver à leurs fins. Je suis devenue un vrai jouet sexuel pour leurs plaisirs et le mien aussi bien entendu. J'ai eu des collègues de travail qui me disaient que j'avais une mine resplendissantes. Bref, Je suis comblée par cette vie à trois.
Proposée le 27/12/2024 par Lulu
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Il y a d’abords eu un grand déménagement, mon chéri m’a demandé si j’accepterai que son père vienne habiter chez nous. Comme j’avais un peu peur de perdre totalement un peu notre intimité, j’ai finis par accepter pour autant que son père ait un séjour à lui en plus de sa chambre. Comme notre maison est grande, il n’y a pas eu de soucis.
Bien entendu, j’ai également compris que le sexe était également au centre de ce déménagement.
Le weekend du son emménagement, il ne s’est rien passé, nous étions tous crevé par ses travaux assez lourds.
Le lundi, je ne travaille pas et mon mari part toujours très tôt pour éviter les embouteillages monstres des heures de pointes. Mon beau-père avait pris une semaine de congé pour finir son déménagement.
Je me suis levée en même temps que mon mari pour préparer le petit déjeuner et comme d’habitude je suis en nuisette qui ne cache pas grand-chose de mon intimité.
Peu de temps après son départ, son père s’est présenté nu dans la cuisine, avec sa grosse et longue queue pendante, m’a donné une bise sur la joue en empoignant mon sein et me dit :
- Bonjour ma chérie, tu es resplendissante dans cette tenue, tu permets que je me présente nu au matin pour le petit déjeuner ?
- Oui si tu veux, il n’y a quand même aucune pudeur entre nous.
- C’est ce que je voulais t’entendre dire et sache que tu peux en faire autant.
Assis à table, je me suis présenté devant lui et j’ai enlevé doucement ma nuisette devant lui, il m’a attiré contre lui et pris un téton en bouche tout en massant l’autre sein. Bien vite ma chatte s’était liquéfiée et je gémissais.
- Oui j’adore t’entendre gémir et crier quand tu jouis.
- C’est parce que tu me fais du bien
- Suce ma queue pour qu’elle soit bien dure
Bien vite j’avais son monstre dur comme du bois dans ma bouche et mes mains.
- Viens ma petite salope, je suis sure que ta chatte est déjà trempée, asseyes-toi sur ma bite.
Bien vite elle était au fond de ma chatte, non sans avoir gémit car il adore de m’entendre de la sorte.
Il avait empoigné mes hanches et m’aidait à faire coulisser son mandrin dans ma chatte et mes mains sur la table m’aidais également dans mes mouvements.
- Retourne-toi ma salope que je puisse sucer tes seins.
Il a tenu sa queue bien droite de la main et je me suis laissé descendre sur sa bite que je trouvais plus grosse et plus longue que d’habitude.
Mes seins à bonnes hauteurs, il me les a sucé, pétris et même malmenés jusqu’à ce que je sente sa queue se raidir encore plus, a vider ses couilles dans ma chatte et je me suis payée un super orgasme qui n’en finissait pas, je bougeais encore et encore mon bassin, je sentais son sperme me sortir de la chatte, lui essayait de me freiner, il faisait des grimaces.. il disait que sa bite était très sensible.
En me retirant de sa bite devenue molle, il a plaqué sa grosse main sur ma chatte, m’a montrer sa main barbouillée de sperme et de cyprine. Après avoir lécher sa main et il l’a mise sur la bouche pour que je goute son sperme.
Nous avons chacun pris une douche dans nos salles de bain respective. J’ai enfilé un t-shirts sans soutien et une jupette jeans sans culotte et lui s’est présenté torse nu et en pantalon de training sans caleçon.
Nous avons remis de l’ordre dans son déménagement et à chaque fois que l’occasion se présentait, je me courbais bien pour qu’il puisse voir ma chatte et même la toucher. Et moi aussi j’en profitais pour mettre ma main dans son training quand l’occasion se présentait. Il avait à chaque fois son sexe en semi érection.
Et comme vous pouvez l’imaginer, il n’était pas encore midi qu’il me baisait dans mon lit. Et dans le préliminaire il m’avait fait jouir avec sa langue, moi j’étais sur les genoux au bord du matelas, ma tête reposait sur mon oreiller et lui derrière, me léchait la chatte de mon clitoris jusqu’à ma rondelle. Il me disait que j'avais encore du sperme dans la chatte. Et quand il a entendu lors de mes gémissements que j’étais au bord de l’orgasme, il a enfoncé un doigt dans ma rondelle et un autre dans ma chatte et il faisait des vas et viens très rapide, de son autre main il me tapait sur les fesses et me lâchait des mots durs comme la plus grande salope qu’il n’avait jamais baisé, que j’étais sa plus belle pute…et j’en passe et des meilleurs. J’hurlais de plaisir et je me suis laissée tombée en avant sur le lit. Moi qui croyais qu’il allait me donner sa bite à sucer…non il s’est glissé sur moi, il essayait de mettre sa queue dans ma chatte, comme cela ne se passait pas comme il espérait il m’a dit :
- Et alors salope tu vas redresser un peu ton cul de putain pour que je puisse enfoncer ma bite dans ta chatte.
Je me suis très légèrement raidi et très vite j’avais sa bite au fond de ma chatte, il m’a donné des très longs coups de bassin, il ressortait presque de ma chatte et puis me pénétrait violemment. Parfois j’hurle pour l’excité mais cette fois j’hurlais car mon orgasme était tellement fort et lui pas prêt pour jouir que je me suis certainement évanouis car je ne me souviens pas de son éjaculation.
J’ai repris mes esprits en sentant tout son poids sur mon corps et quand il a sortis sa queue, je ne sais pas bien expliquer mon ressenti…c’était comme on me retirait quelque chose de la chatte qui n’en finissait pas.
A midi, lors du casse-croute, je lui fais la remarque qu’il m’avait dit que j’étais la plus grande salope qu’il n’avait jamais baisée et je lui demande :
- As-tu souvent baisé d’autres femmes pour que tu puisses insinuer que je suis la plus grande des salopes.
- Tu es bien curieuse ma chérie !
- Ah tu dois assumer tes dires ou c’est par pur plaisir….
- Ma femme et moi avons fait pas mal de parties à quatre et je dois quand même admettre que tu sais me donner beaucoup de plaisir.
- Puisque tu es aussi curieuse, et toi as-tu déjà trompé ton mari ?
- Oui avec toi
- Non sois sérieuse,
- Non depuis que je connais ton fils je n’ai plus eu de rapports avec un autre.
La conversation a continué sur mon passé de jeune fille et lui sur ses conquêtes.
Au soir, mon mari était curieux de savoir si nous avions baisé et je ne lui ai rien caché.
Il m’a demandé comment nous avions baisé et cela l’a excité et il m’a baisé en cuillère et je me suis payée mon cinquième orgasme de la journée.
Et le premier weekend que nous avons passé ensemble a été un placé sous le signe du sexe à trois.
Samedi matin , mon bébé avait une grosse queue et je me suis occupé sa bite et lui donnant une belle et bonne pipe comme il aime. Comme sa bite est moins grosse que celle de son père, a lui je suis faire des gorges profondes et puis je me suis mise sur sa queue, de cette façon il aime me pétrir les seins.
J’adore cette position car sa queue est profonde en moi et je sais me stimuler le clitoris.
Il avait à peine jouis dans ma chatte et pendant que l’on s’embrassait, je sentais un doigt me caresser la rondelle.
Je ne me fais pas d’illusion, cela doit être son père. Ce n’est plus son doigt mais sa langue qui essaie d’entrer dans ma rondelle, il me lèche et je gémis de plaisir. Je sens qu’il s’approche de mon cul avec sa grosse bite. Je sens qu’il me met un lubrifiant tout en enfonçant son doigt en faisant des mouvements de rotation et de vas et viens.
Il presse sa queue contre mon sphincter et sent son gland m’ouvrir les entrailles, j’ai une certaine appréhension…je lui dis non…aieeeeeeeeeeeee …son gland est entré, il me fait mal, ne bouge plus et attend que je me détende.
Mon chéri m’enlace très fort et m’embrasse, je trouve que la douleur est passée et je pousse légèrement mon cul en arrière….aieeeeee la douleur reviens mais son père pousse et je sens mon mandrin entrer dans mon canal étroit. Mon chéri me dit qu’il sent la grosse queue de son père et que cela l’excite.
Son père pousse de plus en plus fort ma douleur augmente, je crie et il pousse, il entre de plus en plus. Mon chéri me dit qu’il adore sentir sa queue écrasée dans ma chatte et qu’il est prêt à jouir. Son père fait un petit mouvement de recul qui me fait du bien et puis repousse sa bite que je sens entrer de plus en plus loin et ses couilles me tape sur la chatte.
- Tu vois ma salope que ton cul est fait pour ma bite
- Oui ça va bouge un peu, ça commence a me faire du bien
- Attend salope tu vas sentir ma grosse bite
Il a commencé des vas et viens et très vite la douleur fait place au plaisir.
Je sens mon chéri se vider dans ma chatte et je gémis de plus en plus fort. Son père accélère ses mouvements, la queue de mon chéri glisse hors de ma chatte, mon beau-père et moi sommes au bord de l’orgasme et nous hurlons tous les deux. Quel bonheur de sentir du sperme giclé aussi loin dans mon canal étroit.
Quand il a sorti sa bite de mon cul, je n’osais pas bouger et il m’a dit que je pouvais refermer ma rondelle. Petit à petit je sentais le sperme couler de mon cul et en faisant quelques contractions je sentais mon cul se refermer.
Et quand je me suis redressée, mon beau-père m’a prise dans ses bras en me remerciant car c’était pour lui une première, aucune femme n’avait voulu se faire sodomisé avec sa grosse bite.
Certes, j’étais fière de moi, j’avais des contractions spontanées de mon sphincter un peu douloureux et je sentais le sperme couler le long de mes cuisses.
Et c’était pour moi le début des nombreuses doubles pénétrations mais je vous avoue que je préférais quand même la queue de mon chéri dans mon cul et mon beau-père dans ma chatte.
Mon mari était toujours le premier à quitter la maison pour le boulot et très souvent mon beau-père me remplissait la chatte de son sperme. Et même si c’était un rapport rapide, j’avais quand même à chaque fois mon orgasme. Et cela m’obligeais à mettre une serviette dans ma culotte que j’enlevais dans le courant de la journée et les rares jours sans baise matinale, j’allais au boulot sans dessous. J’adore ressentie cette liberté aussi bien pour mes seins que ma chatte.
Je ne continue plus à raconter mes ébats car je me répéterai mais sachez que je suis comblée et heureuse de ce qu’il m’arrive.
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