Episode 8 : la cabine d'essayage

Chers lecteurs, merci pour vos commentaires. Une matinée qui débute calmement avant une tournée des magasins. Seulement le shoping pend une tournure plus que sympathique

Proposée le 12/12/2024 par Ricounet

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Essayage
Type: Histoire vraie

Le week-end suivant ma chérie a envie d'aller faire les magasins.
Nous voilà en route vers un magasin que mon épouse apprécie particulièrement. Je pense qu'elle a envie de faire fumer la carte bleue.
Ce matin-là, comme à chaque fois, elle est ravissante dans sa petite robe mi longue, juste assez proche du corps, pour faire ressortir ses courbes avantageuses.
Juste avant de garer la voiture, d'une voix détachée, elle me dit : "Je crois avoir oublié de mettre mes dessous".
Aussi surpris que ravi, je la regarde. Elle ne tourne pas sa tête, comme pour éviter de croiser mon regard.
Son aveu me donne envie de lui sauter dessus là, sans attendre, pulsion bestiale, mais son attitude lointaine refroidit mes ardeurs.
Nous sortons de la voiture, et main dans la main nous dirigeons vers son magasin favori.
Et la voici fouillant les rayons de vêtements, à la recherche de je ne sais quoi.
Elle ne met pas longtemps à trouver une multitude de robes et autres chemisiers, et se dirige vers la cabine d'essayage.
Elle entre tire le rideau en me disant de l'attendre. Mon épouse aime bien que je lui donne mon avis sur ces achats.
A travers le rideau j'entends le froissement des vêtements qui glissent sur sa peau.
Aussi discrètement que possible, j'essaie de glisser un œil, afin de profiter de la nudité annoncée de ma belle.
Elle me fusille du regard et me demande d'une voix autoritaire, de ne plus ouvrir le rideau.
Au bout de quelques instants, elle ouvre le rideau et apparaît. Elle est magnifique dans cette robe taillée pour elle. Elle la porte à merveille.
Quelques froissements plus tard, elle réapparait dans une nouvelle robe.
Elle est encore et toujours aussi belle, qu'elle que soit la tenue qu'elle passe.
Satisfaite elle disparaît à nouveau derrière le rideau.
A nouveau le bruit des froissements, puis dans un chuchotement elle me demande de passer ma main derrière le rideau.
Je m'exécute.
Elle attrape ma main et la pose un sein, puis l'autre.
Quelle sensation !! Oui mon épouse est nue derrière ce rideau.
Quelques personnes fourmillent autour de moi, au gré des essayages. Surement sans se douter de notre petit manège.
Pourtant j'ai l'impression que tout le monde voit ce que l'on est en train de faire.
Mon épouse me tient toujours la main et la fait maintenant descendre vers son bas ventre.
Je n'en peux plus, mon pantalon dessine une bosse. J'ai l'impression que celui-ci a rétréci tellement je me sens serré et trop à l'étroit dedans.
Nos mains atteignent son sexe.
Je sens l'humidité et la chaleur de son pot de miel.
Elle desserre l'astreinte de sa main. Cela me permet de prendre possession de son intimité et de jouer avec son petit bouton.
Son plaisir dégouline.
De mon côté je suis à l'écoute de son corps, de ses gémissements, de ses ondulations du bassin, de sa respiration.
Cette situation surréaliste est une première pour nous deux.
Sa main se crispe sur la mienne.
Mon épouse va jouir je le sens. Elle arrache ma main dans un gémissement étouffé.
Je retire ma main trempée par ma chérie.
Je m'empresse de la porter à ma bouche pour profiter de son jus parfumé.
Elle se rhabille et ressort rapidement.
Ses yeux verts sont embués de plaisir.
Un petit sourire de remerciement se dessine sur son joli minois.
Rentrons, me dit-elle, j'ai envie de toi. Ta main ne peut être qu'un amuse-bouche, je te veux totalement à moi.
Les robes attendront.
Nous nous dirigeons vers la voiture, rentrons au plus vite pour libérer nos corps de cette envie qui nous tenaille l'un et l'autre.
A peine la porte d'entrée franchit, mon épouse se jeta sur moi.
Les boutons de ma chemise ne résistent pas à sa furie. Puis elle s'agenouille pour aller à la rencontre de ma queue, qui à peine sortie fut engloutie par sa bouche.
Je la relève, la prends dans mes bras pour l'amener au salon.
Je la dépose sur notre canapé et commence à me déshabiller. Elle en fait de même et nous nous retrouvons nus en moins de temps qu'il faut pour le dire.
Nos mains prennent possession l'un de l'autre, explorant chaque millimètre carré de nos corps, en s'attardant sur certaines zones "stratégiques".
N'y tenant plus mon épouse me dit : "Prend moi je n'en peux plus"
Elle prend la pose et je dirige mon sexe vers son puits d'amour. Elle dégouline déjà d'excitation.
Je n'ai aucun mal à me frayer un chemin en elle.
Sa main se pose sur son clitoris alors que j'allais et venais en elle. Elle gémit sans discontinuer, son ton montant crescendo, annonciateur de son orgasme en approche. Ce qui fut fait quelques instants plus tard.
Mon épouse n'est pas rassasiée car elle me demande crûment de la prendre par derrière, en des termes bien plus fleuris.
Elle se retourne pour m'offrir son petit trou, prenant soin d'écarter ses fesses avec ses mains afin de me faciliter le passage.
Sa rosette est déjà bien lubrifiée par sa mouille qui coule.
Je présente ma queue vers son orifice et c'est elle qui d'un coup sec s'empale jusqu'à la garde. Sensation sublime.
Puis elle commence à bouger sur ma tige, reprenant ses gémissements de plus belle.
Je lui prends alors la taille et entreprends de l'emmener vers un nouvel orgasme.
Je sens que je ne vais pas résister bien longtemps.
J'accélère mes mouvements, mon épouse crie au rythme de mes coups de butoir.
Sa main glissée dans son sexe, et elle est prise de soubresauts, elle jouit à nouveau.
Je sens mon jus monter en moi et quelques giclées tapissèrent son intimité.
Nous nous affalons sur le canapé, enlacés, dans un long baiser fougueux.
"Je t'aime" me glissa-t-elle.
"Moi aussi" lui rétorquais je.

Puis nous sommes partis dans notre salle de bain pour une douche réparatrice, et mon épouse ne put s'empêcher de me prendre en bouche m'avouant avoir envie de mon jus.
Ce qu'elle réussit à récupérer quelques minutes plus tard.
Lavés puis rhabillés, nous repartons vers le magasin afin de continuer ses essayages là où elle les avait laissés.

Nous revenons dans le magasin, sans même réfléchir ma chérie prend l'ensemble des robes qu'elle avait essayée auparavant.

Nous filons ensuite dans d'autres magasins, avant une nouvelle pulsion de sa part.
"J'ai envie de te sucer là, maintenant" me dit elle.
" Mais nous sommes dans un magasin, il y a des gens autour"
" Je m'en fous, j'ai vraiment envie de ta queue, viens"

Elle m'emmène dans un endroit peu fréquenté avec de nombreux portants serrés et drus, se glisse dedans, accroupis et me demande de m'approcher, de se coller aux portants.
Elle sort ma queue qu'elle avale illico. Elle entame un fellation effrénée qui ne met pas longtemps à produire son effet, j'éjacule dans sa bouche en retenant mes émotions. Elle me rhabille, sort de sa cachette, et nous reprenons nos emplettes.
Apparemment nous avons été discret sauf pour un homme qui en passant nous montre un pouce levé en disant: "La cigarette tue, mais la pipe détend".
Rouge de honte nous nous éclipsons.

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