Kada jeune apprenti boulanger déjà dépucelé et habitué aux sodomies est parti à l'étranger pour formation. Il a trouvé des amateurs pour satisfaire sa Terma à tous les niveaux de ses collègues de travail et plus encore.
Proposée le 12/11/2024 par DALIDA
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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme
Je suis Kada et j’ai 23 ans et depuis plus quatre années, j’ai été apprenti puis aide boulanger chez le vieux Belkacem, un ami de mes parents. Mais comme mon père avait un frère Kadour émigré depuis longtemps en Allemagne, ce dernier a réussi à me trouver une formation d’apprenti dans la boulangerie industrielle de son ami Allemand Gérard.
Et je suis parti rapidement et Mr Gérard m’a logé dans une petite chambre attenante à la boulangerie et qui possédait aussi des toilettes, lavabo, WC et même une petite douche. Et j’ai commencé mon travail-apprentissage avec l’aide des trois autres boulangers professionnels qui travaillaient depuis longtemps avec Mr Gerard.
Le soir avant mon travail à 23h, je devais prendre une douche et bien me laver. Ensuite, je devais mettre ma tenue spéciale de travail qui était composée d’un léger pantalon de flanelle blanc, d’une sorte de longue chemise-blouse de flanelle blanc et enfin d’une toque blanche à la tête. Sous cette uniforme spécial je devais être totalement nu, comme mes autres collègues boulangers.
Et j’ai commencé mon apprentissage, d’abord la pâte de pain, chaque soir de 23h à 01h du matin avec les trois autres professionnels. Ensuite, avec le chef boulanger je dois apprendre la fabrication et la cuisson du pain de 1h à 4 ou 5h du matin.
Ensuite j’étais libre, alors j’allais me coucher et me reposer dans ma petite chambre pour la journée. J’allais manger souvent chez mon oncle et parfois au petit restaurant juste à coté de la boulangerie.
La première semaine se passa fort bien et j’ai même commencé à apprendre quelques mots et phrases en allemand. Mais au début de seconde semaine, l’un des trois boulangers, un grand blond toujours souriant, a posé longuement sa main sur ma croupe et m’a caressé le long du sillon de mes fesses jusqu’à mon anus car le pantalon blanc était très mince et collait bien à mon derrière. Je n’ai rien dit et même accepté ces caresses car j’ai eu du plaisir.
Les jours suivants il a continué et prolongé ses caresses. Et puis sa main a glissé sous mon pantalon et m’a caressé directement la chair de mes fesses et pénétré d’un doigt dans mon anus. Il le faisait assez discrètement et m’a recommandé de ne rien dire. J’avais eu du plaisir car ma Terma était habituée à ce genre de caresses depuis plusieurs années et elle était à jeun depuis mon arrivée en Allemagne. Et j’attendais l’action de son zob depuis qu’il m’a touché.
En effet, chez nous au pays, dans la boulangerie ou j’étais aide, le patron, le vieux Belkacem avait été dès mon entrée chez lui vers 17 ou 18 ans, attiré par mon jeune corps assez charnu et bien rempli. Il avait remarqué ma croupe arrondie quant je me baissais au travail et qui, parfois, se dandinait un peu quant je marchais devant lui.
Alors, il n’avait pas hésité parfois à mettre sa main sur mon derrière et à caresser ma croupe. Puis un jour, il avait glissé sa main sous mon pantalon et m’a doigté l’anus et je n’avais rien dit car j’avais déjà du plaisir. Alors, une nuit, après le travail, il m’avait poussé dans un coin et m’a dépucelé rapidement le cul sans me faire mal et ça m’avait plu.
Et j’ai été ainsi sa pute pendant presque trois années. Une fois, il avait même amené avec lui un de ses vieux copains et ils m’ont niqué tous les deux, l’un après l’autre toute la journée après le travail et ça s’est renouvelé une dizaine de fois.
Maintenant en Allemagne, j’étais à jeun de zob et je tendais ma croupe aux caresses du boulanger blond et j’attendais son zob dans ma Terma avec impatience et il l’avait compris. Alors, ce matin même, après le travail, il m’a suivi dans ma chambrette et il m’a niqué par deux fois .
Il m’a d’abord offert son grand zob blond à lécher, à sucer et à branler pendant un instant puis bien dur, il m’a niqué. Une première fois, à genoux et lui derrière moi, son zob m’a pénétré facilement le cul, jusqu’aux couilles et après une vingtaine de vas et viens il a éjaculé fort.
Ensuite, il m’a niqué face à face, mes jambes et cuisses sur ses épaules et il m’a pénétra son zob sous mes couilles et pendant un bon quart d’heure il m’a pilonné fort et éjaculé par trois fois. Puis, satisfaits tous les deux, il est parti.
Ensuite, je me suis lavé et douché dans les petites toilettes de la chambrette et je me suis couché. J’étais enfin heureux car cela faisait plusieurs jours que je n’avais pas été niqué depuis que j’étais venu à l’étranger chez mon oncle.
Et ainsi, pratiquement tous les trois ou quatre jours, mon grand blond me suivait, à l’aube dans ma chambre pour me niquer et s’en allait. Et cela a duré pratiquement les premiers mois. Mais rapidement les deux autres boulangers professionnels ont compris la situation.
Alors l’un d’eux a exigé au grand blond sa part sur ma Terma. Et le grand blond a accepté sans hésiter et moi aussi. Alors, le second boulanger m’a niqué dans ma chambrette lui aussi quelques fois. Parfois, je les voulais tous les deux, ensemble, et ils ont accepté, mais l’un après l’autre dans mon cul.
Enfin pour le troisième boulanger professionnel, il s’était avéré gay depuis longtemps et niquait même avec le second boulanger en secret et avec d’autres hommes ailleurs. Et un jour je l’ai attiré chez moi et il est venu avec un de ses amis amants. Et le zob de son ami nous a niqué tous les deux sur le même lit.
Et puis un jour, après le travail, à l’aube, alors que le grand bond avait son zob enfoncé dans mon cul, par derrière, dans ma chambrette, Mr Gerard, le patron, qui devait peut-être avoir besoin de moi, entra par surprise dans ma chambrette et il nous a trouvé en pleine action de sodomie.
Il a d’abord commencé par engueuler le grand blond qui s’est rhabillé et a filé en vitesse. Puis il m’a dit s’il devait en parler avec mon oncle qui était son ami. J’ai pleuré et je l’ai supplié de ne rien faire et je restais exprès, là devant lui, à poil, à genoux mais le cul bien offert à son regard.
Et je lui ai dis, en pleurnichant, que j’aimais les zobs et j’adorais me faire niquer bien avant mon arrivée en Allemagne. Et que ma Terma en avait besoin, même s’il me renvoyait. Alors, il nous a regardé longuement, moi et ma Terma nue que je dandinais exprès vers lui, pour l’aguicher.
Puis il m’a souri et il a vite enlevé son pantalon, et il m’a niqué lui aussi et même par deux fois. D’abord, il m’a niqué par derrière, son zob enfoncé dans mon cul jusqu’aux couilles et moi à genoux. Là il m’a sodomisé rapidement avec acharnement et après un quinzaine de vas et viens et il a éjaculé par trois fois.
Puis il est resté au fond de mon cul et il a décidé de me niquer directement une seconde fois toujours de la même manière malgré son sperme dans mes entrailles. Et après une série d’une vingtaine de vas et viens accélérés, il a encore éjaculé par trois fois dans mes entrailles. On dirait qu’il était enragé et Teremti l'avait ensorcelé.Mais son zob me remplissait bien le cul.
Ensuite, il s’est étalé à coté de moi sur ma litière. Mais comme son zob restait droit debout et gonflé malgré ses deux coups et ses éjaculations, je me suis levé et je me suis assis sur son bas ventre et j’ai manœuvré pour enfoncer encore une fois son zob dans mon cul.
Il était étonné mais il a accepté. Alors j’ai dansé avec mon cul sur son zob à droite et à gauche et vers le haut et le bas et cela m’a chauffé encore rapidement la Terma. Je criais haut mon plaisir. Mes jouissances inondaient mon cul et irradiaient mon corps et je me suis penché sur lui pour l’embrasser sur la bouche qu’il a accepté.
Et enfin son plaisir est arrivé et rempli ses grosses couilles. Alors il m’a accroché de ses mains aux hanches et il a soulevé son bassin pour me donner plusieurs coups de reins et de zob dans le cul. Ses coups me soulevaient tellement il était fort et puissant. Les vas et viens de son zob dans mon cul étaient si agréables que je hurlais presque sans arrêt de jouissances.
Enfin, son plaisir arriva et par trois coups de reins violents, il éjacula encore dans mes entrailles. Et je suis tombé sur sa poitrine, presque groggy, inconscient de jouissances qui m’inondaient tout le corps.
Parmi tous ceux qui m’ont niqué depuis le vieux Belkacem c’était le seul homme puissant avec un vrai gros zob viril qui m’a niqué, plus fort que le grand blond.
Il est resté un long moment en moi et j’en jouissais, puis il m’a repoussé et je me suis allongé à son coté dans le petit espace qui restait du petit lit. Il se leva et alla se laver et même se doucher puis il revint me dire qu’il n’a jamais eu autant de plaisir dans un cul même avec sa femme.
Et il a ajouté que j’étais un professionnel de la Terma et qu’il ne dira rien, bien sur, à mon oncle, et il se rhabilla. Alors je lui ai dis que son gros et puissant zob m’a enchanté et que je le voulais encore dans ma Terma plusieurs fois. Il a souri et m’a quitté.
Je le suis levé puis me suis lavé et douché puis j’ai regagné mon lit pour dormir, j’étais fourbu par le plaisir des sodomies. Et ce fut ainsi que mon patron devint officiellement mon amant et unique dans ma chambrette car les autres avaient peur de venir chez moi.
Quant j’avais envie des zob du grand blond ou de l’autre boulanger, c’était à eux de me trouver un lit ou on pouvait niquer, même à deux s’ils le voulaient, ma Terma était toujours prenante.
J’ai réussi aussi à draguer le garçon belge du bar à coté car il avait une chambre à lui juste au premier étage où on pouvait aller niquer parfois dans la journée pendant son heure de repos vers quinze ou seize heure. Ainsi j’avais plusieurs amants pour satisfaire ma Terma depuis que je suis à l’étranger.
Et ma Terma se contentait pour l’instant de tous ces zobs étrangers, nouveaux et discrets. Bien sur, mon oncle ne savait rien et me félicitait de l’avancement de ma formation et de ma promotion que m’a faite plus tard Mr Gerard. Mais je ne sais pas si le patron m’avait promu comme aide boulanger complet grâce à mes prestations au travail ou les prestations de son gros zob dans ma Terma.
A mon neuvième mois de formation, mon oncle m’a inscrit pour un examen officiel à un centre professionnel. Et j’ai réussi à obtenir le diplôme de boulanger à titre complet. Ceci a obligé Mr Gerard à me classer comme ou mieux que ses boulangers professionnels et cela a créé des problèmes. D’abord, les gars ne voulaient plus qu’un étranger soit comme eux et traité et payé de même. Et Mr Gérard, même s’il était d’accord pour me donner le titre et me payer en conséquence ne voulait pas perdre ses professionnels.
Mais comme il avait besoin de ma Terma car il en avait toujours envie, il m’a cherché une autre boulangerie tenue par un de ses amis, Mr Benoit et a réussi à m’y faire recruter au titre de boulanger professionnel et avec certificats de reconnaissances.
De plus, comme Mr Benoit était un ami très intime avec Mr Gerard, les deux copains se disaient presque tout en intimité. Et comme mon nouveau patron était, comme le premier, grand amateur de cul, il s’intéressa tout de suite à ma Terma et je devins tout de suite son amant et son protégé.
Alors, il me débrouilla vite un petit logement pas loin et à la charge de sa boulangerie, et où on allait niquer tous les deux quant il le désirait, pratiquement tous les jours les premiers temps. Parfois Mr Gerard rejoint Mr Benoit et je devins alors, pour leurs deux zobs, pendant quelques heures, assouvir leur plaisir commun et pour satisfaire ma Terma à leur convenance.
Souvent, Mr Benoit, qui était veuf et assez âgé par rapport à Mr Gerard qui avait femme et enfants, venait passer toute la nuit avec moi. Alors on niquait trois et même quatre fois de suite selon les possibilités de son zob et de ses couilles.
Mais je continuais à rencontrer mon ancien grand blond et mon garçon de bar pour satisfaire les besoins de ma Terma. Hélas, même avec ces quatre zobs, de temps à autre, ma Terma n’était pas satisfaite et rassasiée. Elle désirait d’autres zob et surtout elle me demandait des gros zobs d’arabes ou d’africains.
J’ai opté pour des étrangers émigrés africains et j’ai commencé à fréquenter les endroits de leurs rencontres. Et rapidement, la rondeur de ma croupe a attiré plusieurs amateurs. J’en ai choisi un qui m’a niqué plusieurs fois.
Et un jour, à ma demande curieuse, il m’a amené dans un glory hole spécial africain. Il y avait un long couloir avec des chambres de par et d’autre ou des cabines. Il m’a fait choisir une cabine où je suis entré seul.
Immédiatement, j’ai vu trois gros zob africains apparus par des trous sur les murs, deux au mur de droite et un au mur de gauche, tous gros et assez bandés. J’ai été tout de suite excité, et j’ai commencé à branler deux d’entre eux et à sucer l’un d’eux qui a réagi en se gonflant. Alors je me suis déshabillé, ma Terma commençait déjà à me chatouiller devant ces trois zob.
J’ai englouti le gros zob pour bien le sucer, le lubrifier et le branler et rapidement il a commencé à s’allonger encore plus, à grossir et à durcir comme un pieu. Tout en suçant l’un j’ai commencé à branler l’autre et lui aussi se gonflait et durcissait rapidement.
Au bout de quelques minutes cela commençait à me chauffer et ma Terma ne pouvait plus attendre, elle brulait de désirs et palpitait. Alors, j’ai tourné le dos et j’ai commencé à frotter ma croupe contre l’un des zob et même à essayer de le faire pénétrer dans mon anus pendant que je branlais toujours l’autre. Soudain celui qui se frottait à mon cul disparut du trou du mur.
Et une minute plus tard, le porte de la cabine s’ouvrit, et un grand noir nu entra en tenant à la main son gros zob gonflé. J’ai tout de suite reconnu le zob sur lequel je frottais mon cul et j’ai compris. Alors je lui ai tourné le dos et présenté ma Terma chaude et frétillante de désir.
Il empoignant mes hanches, frotta un peu son zob sur mon anus et rapidement il l’enfonça dans mon cul jusqu’aux couilles. Et avec des vas et viens accélérés et puissantes dans mon cul, il me niqua pendant plusieurs minutes avec son zob immense, noir et brillant, sans un mot, juste quelques respirations et halètements de jouissances saccadées au rythme de ses coups de reins et de zob dans mes entrailles.
Et ma Terma s’ouvrit avec plaisir à cet immense zob Africain pour gouter, en même temps, sa puissance et sa douceur et je hurlais de jouissances dans cette étroite cabine de glory hole. J’essayais de faire bouger ma croupe pour ressentir le zob au fond de mon cul et ce fut très agréable, jouissif.
Et il m’a bien niqué presque en silence sauf ses halètements précipités et les bruits de sussions de son zob dans ses vas et viens dans mon cul. Ce bruit de sussions était aussi très excitant et amplifiait mon désir. Enfin il arriva à son plaisir et s’agrippant à mes hanches, il m’inonda le cul par quatre rafales de sperme brulant. Puis il sortit son zob et rapidement il me quitta sans un mot.
J’étais certes satisfait de cette sodomie mais ma Terma avait encore du désir et je voyais l’autre zob dans l’autre trou qui se balançait et me narguait avec excitation. Alors, je l’ai aussi englouti et commencé à le sucer, léger et branler et très vite il grossit et durcit comme le premier puis il disparu du trou comme l’autre.
J’étais surpris mais j’avais compris donc j’avais espoir. Et effectivement la porte s’ouvrit encore et un autre noir entra tenant son gros zob bien debout et vertical. Rapidement je lui tournais le dos et me penchant sur le mur je lui ai offert ma croupe et mon cul encore plein de sperme du premier.
Et sans attendre, le zob me pénétra jusqu’aux couilles. Ma Terma siffla sa jouissance et moi j’ai hurlé de plaisir. Le zob me remplissait à fond et malgré le sperme du premier, ses coups de reins me transperçaient le corps et brulaient ma Terma de plaisir.
Rapidement il réussit à faire évacuer le trop de sperme et j’ai ressenti directement la chair de son zob sur la peau interne de mon cul. Lui aussi m’a niqué violemment et je hurlais en permanence de jouissance et mon cul complètement ouvert et offert sifflait sa satisfaction à ce monstre noir qui me pilonnait sans arrêt.
Et pendant encore un long moment, il me niqua à sa convenance et à la satisfaction de ma Terma. Ce fut le paradis encore une fois pendant un long moment. Et enfin, les jets puissants de ses éjaculations baroudaient le fond de mes entrailles avec son sperme chaud et visqueux en abondance.
Mon cul débordait du jus de ces zob, de ces mâles qui ont pris pleine possession de ma croupe, de mon anus, de mon cul et de mes entrailles. J’étais étourdi presque inconscient et mes genoux ne pouvaient plus me soutenir, alors je me suis mis à terre. Le gars a suivi ma chute, son zob toujours enfoui dans ma Terma. J’ai ressenti qu’il le secouait pour le vider de son sperme dans mon intérieur puis il se leva et me quitta sans un mot.
Je restais un bon moment ainsi, étourdi, nu et à genoux. Tout mon corps vibrait encore des ondes de plaisir et de jouissances. Enfin le gars qui m’avait amené au glory hole entra et me secoua. Le sperme avait coulé sur le sol et une partie se collait à mes cuisses et à mes fesses.
Mais j’ai réussi à me relever et il m’a tenu la main et m’a demandé si j’étais satisfait de mes deux amants et si j’en voulais encore d’autres et j’ai répondu que ma Terma était satisfaite pour le moment. Alors je me suis un peu essuyé et rhabillé puis nous avons quitté le glory hole.
Dehors, il m’a expliqué qu’il avait laissé la place aux deux zobs que j’avais choisi dans la cabine pour satisfaire ma Terma. Mais le cas échéant, il était disponible lui aussi, à ma convenance. Et si je voulais refaire l’expérience tout était possible facilement et quant je le désirerais.
J’ai pris acte de cette invitation car ce fut vraiment une formidable expérience, des zobs que je suçais à mon choix et qui sont tout de suite à la disposition de ma Terma dans les minutes qui suivent. J’y reviendrais surement d’autres fois.
Nous sommes retourné à leur café de rencontres et, leur promettant mon retour une autre fois, je suis retourné à mon travail. Quant je me souviens de ces immenses zobs noirs, gonflés et durs comme des barreaux de fer, il sera difficile maintenant aux zob de Mr Gerard ou de Mr Benoit ou même du grand blond de satisfaire ma Terma. Donc, je dois rapidement mettre en place un calendrier de visites à mes amis Africains et aux zob des glory hole.
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