Comme je l’avais annoncé à l’issue de mon deuxième récit, une nouvelle soirée avait été prévue. Cette soirée a eu lieu le 20 Janvier dernier - et je vais maintenant vous la raconter le plus en détail possible.
Proposée le 12/11/2024 par pierrerene
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FHH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie
MARTINE – PARTIE 3 – PONYGIRL La préparation
Lors de notre première soirée nous avions convenu que c’était Jean qui devait organiser cette seconde soirée et nous proposer un scénario.
Comme Martine avait regretté la présence de préservatifs nous avions convenu que celui qui nous présenterait un résultat récent de test VIH se verrait alors dispensé de mettre une capote lors de notre soirée suivante.
Tres rapidement Jean nous envoya par mail le scénario qu’il avait imaginé.
Il proposait de nous recevoir chez lui ou plutôt dans son garage (il est concessionnaire automobile)Il me dit ensuite disposer d’un petit sulky, modèle réduit de celui utilisé lors de courses de trotteurs et qu’il avait imaginé y atteler Martine, soit debout, soit à quatre pattes et organiser un concours où chacun de nous conduirait le sulky dans le hall d’exposition de son garage.
Il précisait que les détails pourraient être discutés préalablement entre les 4 complices.
Je me demandais bien d’où il tenait cet engin mais je trouvais surtout l’idée très intéressante et originale.
Evidemment je fis lire cette proposition à Martine qui resta un moment silencieuse, s’imaginant surement déjà attelée à cette petite carriole et ce qui pourrait s’en suivre.
Après quelques instants de réflexion, Martine me dit qu’elle trouvait l’idée intéressante et accepta donc de jouer la pouliche au service de ses quatre drivers.
Il faut dire que notre première soirée chaude avait laissé des traces dans nos relations sexuelles. La fréquence de nos rapports s’était accélérée et nous faisons l’amour pratiquement tous les jours comme au meilleur temps du début de notre vie commune.
Nos pratiques anales sont devenues plus courantes et Martine arrive souvent à l’orgasme dans ce type de relation
Pour autant, Martine me parle souvent de la soirée ou elle s’était offerte à quatre males en rut, et du plaisir maso qu’elle avait ressenti à se faire humilier et même brutaliser.
Elle attendait avec impatience de renouveler l’expérience.
C’est pour cela qu’elle n’a pas hésité très longtemps avant d’accepter le scénario pourtant très spécial de Jean après m’avoir quand même demandé ce que j’en pensais. Je lui dis que si elle-même trouvait que ce scénario pouvait correspondre à ses fantasmes, j’en étais moi-même séduit
Sans attendre, je téléphonais à Jean pour lui faire part de notre accord. Il me dit alors qu’il allait contacter les deux autres complices pour leur expliquer son projet et se mettre d’accord sur la date que j’avais proposée et qui pourrait être fixée au 20 Janvier au soir, cette date étant choisie par Martine compte tenu de son cycle menstruel, soit environ un mois et demi plus tard
Jean me précisa qu’il allait s’occuper de tous les accessoires qui lui sembleraient nécessaires pour équiper l’attelage et qu’il allait affiner le scénario pour nous le dévoiler à tous, le jour même, y compris à Martine. Il semblait donc qu’il n’avait pas besoin de notre avis. Il me demanda en outre de ne pas raser la chatte et de la laisser avec sa toison naturelle
Le jour venu, nous nous retrouvâmes tous vers 19h30 au garage de Jean. Celui-ci était fermé et toutes les portes et baies vitrées occultées par des rideaux métalliques qui rendaient le hall d’exposition parfaitement discret. Jean avait laissé le chauffage, après fermeture à la clientèle, sur une température agréable en prévision de nos futures « tenues » légères (surtout celle de Martine)
Jean avait fait préparer un lunch de très bonne qualité que nous avons arrosé généreusement de champagne. Martine apprécia beaucoup ce champagne, peut-être trop, en vue de se mettre en condition pour ce qui l’attendait.
Vers 21 heures, après avoir discuté de divers sujets comme peuvent en parler un groupe d’amis Martine devint alors le sujet de conversation : il fallait passer aux choses sérieuses. Jean amena le sulky, ce qui permit à chacun d’imaginer ce qui allait se passer. Il s’agissait bien d’un modèle réduit du sulky utilisé pour les courses de trotteurs, avec de petites roues d’environ 60 cm de diamètre, de longues branches incurvées et d’un siège posé sur l’axe des roues, surélevé d’environ 20 cm sur cet axe. Ces branches pouvaient effectivement être attachées sur la pouliche indifféremment à deux ou à quatre pattes
Martine avala une dernière coupe de champagne et demanda à Jean de lui indiquer le cabinet de toilette. Elle avait compris que l’instant était arrivé de passer aux choses sérieuses et qu’il était temps de pratiquer une toilette intime complète.
Le cabinet de toilette était destiné aux collaborateurs du garage et équipé d’un lavabo, cabine de douche et WC. Martine s’y dirigea avec sa trousse de toilette dans laquelle je savais qu’elle avait glissé une poire à lavements. Jean lui demanda d’attendre quelques instants, il ouvrit un sac et y retira des bottes cuissardes et des gants en cuir souple, il tendit l’ensemble à Martine et lui demanda de les mettre à l’issue de sa toilette et de revenir vers nous, nue et à quatre pattes.
A compter de cet instant, Martine avait cessé d’être ma femme et était redevenue l’objet sexuel consentant, livré à quatre males bien décidés à profiter, au maximum à nouveau, de ce corps de femelle mis gracieusement à leur disposition
Jean profita de l’absence de Martine pour nous présenter tous les accessoires qu’il avait amenés dans son sac.
Il commença par un loup noir qui avait la particularité de ne pas être percé pour les yeux. Puis il sortit une large ceinture de cuir doublée de velours et équipée de deux pattes de fixation et de deux boucles. Cette ceinture disposait également d’anneaux métalliques. Assorti à la ceinture, jean nous montra alors un collier de cuir lui aussi équipé d’anneaux de plus petit diamètre. Jusque-là chacun avait compris sans difficulté l’usage de ces accessoires. Pour les suivants, Jean cru bon d’apporter quelques explications :
Pour driver la pouliche depuis le siège du sulky il fallait des rennes, d’où cette longue sangle de cuir de 1 cm de large pour plus de 3 mètres de long avec à chaque extrémité un petit mousqueton. Jean sortit ensuite deux pinces crocodiles en métal, Il nous expliqua qu’il avait réfléchi au meilleur endroit pour fixer les rennes : Il avait d’abord pensé les fixer, comme pour une jument, à un mors placé en bouche, mais il y avait renoncé de peur de gêner la respiration et de blesser les dents.
Il avait alors choisi de me proposer de driver la pouliche par les seins
Une première idée a été de fixer les mousquetons aux anneaux ornant les aréoles mais craignant que cela risquait de déchirer les tétons en cas de trop forte traction sur les rennes, compte tenu de la faible section de ces anneaux d’or, je n’ai pas retenu cette proposition.
Sans renoncer à driver par les seins, ce que je trouvais personnellement très excitant, il avait alors choisi l’option de poser des pinces crocodiles à l’arrière de ces anneaux sur chaque téton, pinçant suffisamment pour assurer une prise solide. Il avait personnellement testé ces pinces et en avait conclu qu’à part une douleur certaine à la pose, cela devenait rapidement très supportable, comme anesthésié.
Jean sortit ensuite une cravache d’environ 1m de long, composée d’une tige semblant être en fibre de carbone et terminée par une bande de cuir d’environ 5 cm de large repliée sur elle-même en boucle pour faire une longueur utile de 10 cm. Il nous fit la démonstration que cette bande de cuir ainsi doublée claquait fort lorsqu’on l’appliquait assez vivement sur la peau et ne laissait qu’une rougeur raisonnable (plus de bruit que de douleur)
Nous observions tous trois les accessoires que Jean avait préparés et qui nous promettaient beaucoup de satisfaction pour ce qui allait suivre. Nous pensions alors que l’équipement était complet mais Jean nous en réservait un dernier qu’il sortit comme un trésor de son sac.
A première vue il s’agissait d’un martinet sauf que le manche était assez court (environ 15cm) et comportait beaucoup plus de lanières qu’un martinet normal. Jean nous expliqua alors le véritable rôle de cet accessoire ; Bien sûr que l’on peut s’en servir comme martinet nous dit-il mais surtout, il s’agit d’une queue qui, si elle est posée apportera un peu plus de réalisme et de peps à la pouliche
Nous comprimes immédiatement à quel endroit cet accessoire devait être posé. Pour ce dernier, comme pour les précédents, il me regarda pour obtenir mon avis mais sans vraiment l’attendre.
Je le pris donc en main pour l’examiner de plus près. Les lanières étaient en cuir, comme un martinet classique mais plus fines, ce qui doit être douloureux en cas d’usage appuyé, mais ce n’était pas le but que prévoyait Jean. Le manche d’une bonne quinzaine de cm était en matière lisse, genre bakélite, son diamètre variait entre 2 et 3 cm régulièrement cannelé, l’extrémité se terminait en demi-sphère là où étaient fixées les lanières, le diamètre passait à environ 4 cm sur une largeur de 5 mm et un petit anneau y était fixé.
Avant de donner mon avis (que j’avais favorable) je demandais aux deux autres ce qu’ils en pensaient. Ils trouvaient l’idée très bonne mais se demandaient si Martine accepterait cet accessoire quand même très humiliant. Nous nous mîmes d’accord pour ne pas prévenir Martine, mais nous lui demanderions de nous signaler son désaccord, dès que l’on atteindrait ses limites, dans tout le déroulement de la soirée en criant STOP trois fois.
Il fallut plus de 20 mn pour voir réapparaitre Martine, telle que Jean le lui avait ordonné, prouvant ainsi sa totale soumission. A quatre pattes, les mains protégées par les gants et surtout les jambes, des pieds à mi-cuisses, recouvertes des cuissardes noires isolant les genoux du sol carrelé. A part ces accessoires, complètement nue, les seins pendant sous le torse, Martine se déplaçait lentement en ondulant de la croupe, suffisamment cambrée pour ne rien cacher de la chatte encadrée de ses poils noirs qui remontaient jusque l’anus et qui surprirent Pierre et Marc (qui n’étaient pas au courant de la demande de Jean), se souvenant, eux, d’une vulve rasée de près, hormis le triangle pubien, découverte lors de notre précédente soirée.
Je trouvais cet accoutrement déjà ultra excitant, alors même qu’aucun accessoire n’était encore posé. Jean demanda à Martine de s’arrêter, ce qu’elle fit sans délai en rapprochant les genoux. Il lui posa immédiatement le loup sur le visage et le collier autour du cou.
Je pris alors la parole pour demander à Martine si elle acceptait de continuer le jeu, puis en cours du jeu, si elle décidait d’abandonner, il lui suffisait de répéter trois fois STOP. Elle me répondit un seul mot : d’accord
D’autre part, je lui annonçais, et cela devait lui plaire, que les trois compères m’avaient apporté un certificat de test négatif au virus HIV ce qui permettait toute liberté dans les relations sexuelles à venir
A partir de ce moment je considérais que Martine cessait d’être ma femme pour devenir un objet de plaisir à se partager. Elle était seule à juger jusque ou elle pouvait ou voulait aller
Jean reprit la main en accrochant une extrémité des rennes à un anneau du collier, comme une longe puis tira légèrement vers l’avant. Devant le manque de réactivité de celle que nous appellerons dorénavant « la pouliche », il frappa légèrement l’autre extrémité de la longe sur la croupe. Le message passa et elle se mit en marche sans un cri.
Jean se mis alors au centre d’un cercle d’environ 5 m de diamètre qu’il fit parcourir plusieurs fois à la pouliche l’encourageant régulièrement d’un coup de laisse sur les fesses. Il me semblait que Martine ralentissait de temps en temps, en espérant un petit coup d’encouragement.
J’étais convaincu qu’elle en prenait un réel plaisir
Cela m’interpellait quand même d’assister ainsi, en y prenant moi-même un plaisir certain, à ce spectacle d’un homme tirant au bout d’une laisse une femme réduite à l’état d’une chienne plus que d’une pouliche d’ailleurs, compte tenu de la taille, comme exposée à un concours de beauté animalier devant un jury de connaisseurs qui ne perdaient pas une miette du spectacle offert. Moi-même j’avais l’impression de découvrir ce corps dans tous ses détails,
Jean tira alors légèrement la laisse vers l’arrière et Martine comprit qu’il fallait s’arrêter.
Il était temps de poser les autres accessoires. Jean posa d’abord la ceinture. Elle s’inséra parfaitement entre le bas des côtes et le haut des hanches, les deux boucles bien serrées au niveau de la colonne vertébrale ne laissant aucun jeu. On avait l’impression que cet accessoire avait été fait sur mesure
Vint ensuite la pose des pinces et là j’étais très curieux de voir la réaction de Martine. Accroupi près de la pouliche, il tira sur le téton du sein gauche en passant un doigt dans l’anneau, étira l’aréole sur laquelle il accrocha la pince. Seul un cri rageur accompagna la fermeture de la pince qui aplatit l’aréole entre ses dents laissant en-dessous le téton, ressemblant maintenant à une framboise bien rouge orné de son anneau. Jean refit la même action sur l’autre sein, cette fois sans provoquer le moindre cri ni mouvement de recul
Il passa ensuite chaque extrémité des rennes, dans les anneaux latéraux de la ceinture, puis accrocha chaque mousqueton à la pince de chaque sein. Il passa ensuite à l’arrière de la croupe de la pouliche et saisissant les rennes de chaque main testa le montage en tirant successivement de la main gauche, puis de la main droite puis des deux.
Les rennes coulissaient parfaitement dans les anneaux, ressortant à l’arrière de la croupe en caressant, de chaque côté, le haut de la cuisse. Elles avaient l’effet escompté, à savoir tirer chaque sein alternativement vers l’arrière puis les deux à la fois. La pouliche subissait sans broncher tous ces préparatifs
Il nous expliqua en même temps la manière de driver la pouliche :Tirer sur le renne gauche pour tourner à gauche, à droite pour tourner à droite, tirer longuement sur les deux pour stopper et tirer simultanément par coups brefs pour ralentir jusque l’arrêt puis reculer. Quant à l’accélérateur : la cravache. Ces instructions étaient également destinées à Martine qui avait tout accepté et savait maintenant comment se diriger avec la seule action des rennes sur ses seins
Vint ensuite le dernier accessoire: Jean annonça « maintenant la pose de la queue » suffisamment haut pour que Martine l’entende sans que cela n’entraine aucune réaction de sa part. Elle avait parfaitement compris pourtant, à quel endroit il allait la fixer.
Nous primes tous ce manque de réaction pour une acceptation et Jean demanda alors quelqu'un pour l’aider. Le plus rapide fut, à mon grand étonnement Marc. Décidément il avait pris beaucoup d’assurance depuis la fois précédente et comprit que ce corps féminin était entièrement à sa disposition le temps de la soirée. Je pense que Marc devait être en admiration pour Martine et que là c’était l’occasion rêvée de la posséder en accédant sans retenue à son corps sous toutes les coutures. Ayant un peu raté cette occasion au cours de la séance précédente par excès de timidité, il voulait surement se rattraper cette fois.
Jean sortit la queue et en enduit l’extrémité du manche d’une bonne couche de lubrifiant. Il demanda à Marc d’appuyer sur les omoplates de Martine. Il se mit alors à califourchon sur son dos face à la croupe en s’asseyant ce qui eu pour effet d’’écraser les seins sur le carrelage et présenter une croupe complètement épanouie dans cette position totalement indécente. Mais ma femme avait décidément perdu toute notion de pudeur et accepté cet avilissement : elle ne protesta pas.
L’anus se présentait orné de sa couronne de poils noirs et soyeux qui descendaient ensuite sur et autour des grandes lèvres de la vulve. Afin de faciliter la pénétration du manche, Jean demanda à Marc d’écarter le plus possible les fesses ce que Marc, toujours à califourchon sur le dos de la pouliche, se fit un plaisir de réaliser laissant cette fois l’anus légèrement ouvert allant jusqu’à écarter également largement les lèvres luisantes du sexe montrant en pleine lumière le détail anatomique de la vulve offerte à 20cm de son visage.
Ce spectacle surréaliste n’entrainant aucune protestation de la propriétaire des lieux, Jean présenta alors le manche de la queue à l’entrée de l’anus qui eut d’abord le réflexe de se resserrer mais une bonne claque sur une fesse qui ne provoqua pas le moindre cri le rendit à la raison et le bout arrondi du manche s’introduisit sans difficulté dans le petit trou devenu beaucoup plus docile et accueillant. Puis, tout doucement, Jean accentua la pression et le manche avança, cannelure après cannelure avec, accompagnant chacune d’elle, un léger soupir de la part de l’intéressée. Ceci prouvait que depuis la soirée précédente, beaucoup de progrès avait été accompli en matière de pénétration anale. Le manche finit en butée contre l’anus, avalé complètement par le rectum.
Pour éviter qu’il ne ressorte accidentellement, Jean attacha une cordelette dans l’anneau de la collerette qui seule ressortait de l’anus et attacha l’autre extrémité à un anneau de la ceinture, axé sur la colonne vertébrale. Cette cordelette bien tendue empêcherait assurément au manche de s’échapper de son logement.
Jean nous offrit alors une présentation de la pouliche ainsi harnachée. Il reprit les rennes, passa à l’arrière de la croupe ainsi garnie de sa queue et refit faire un tour du même cercle que tout à l’heure mais cette fois en drivant la pouliche comme il se devait, en fonction des consignes qu’il nous avait données. Encouragée à démarrer par un coup de cravache claquant bien que peu appuyé, puis conduite à tourner régulièrement par de petites tractions sur le sein gauche et enfin commandée à s’arrêter par une traction continue des rennes sur les deux seins à la fois.
Durant cette démonstration nous voyions l’effet du manche dans le rectum par le balancement régulier de gauche à droite et retour des lanières constituant la queue. Pouvez-vous imaginer ce spectacle inouï que je n’avais encore jamais vu dans aucun film porno.
Un seul inconvénient : les lanières descendaient trop vite après le manche ce qui nous cachait pratiquement complètement la foufoune ce qui était frustrant surtout que jean l’avait voulue poilue. C’était dommage de la cacher. Je proposais alors d’enrouler la base des lanières par une bande de scotch large et de tirer par une autre cordelette jusque la ceinture pour remonter l’ensemble des lanières et ainsi libérer la vue sur la chatte, ce qui fut fait.
La pouliche ne manifestait toujours aucune réticence, elle supportait tout sans broncher.
Je suggérais alors que notre petite pouliche nous aide à nous détendre (détendre en fait ce que nous avions dans le slip car je pense que l’on devait être tous les quatre dans la même situation, compte tenu du spectacle) avant de passer au sulky. Cette petite gâterie fit l’unanimité des mâles et ne rencontra aucun refus de la femelle
Condition préalable : je demandais à tous de passer à leur tour au cabinet de toilette afin de respecter l’hygiène. Cela fut fait et chacun revint, moi compris en caleçon ou boxer, tenue plus adéquate pour ce qui allait suivre.
Nous primes chacun une chaise dans l’ordre Pierre, Moi, Marc et enfin Jean qui vint s’asseoir après avoir amené la pouliche devant les genoux de Pierre. Celui-ci écarta les genoux et sortit son braquemart dont la taille nous surprit moins que la fois passée. Il attira la pouliche par le collier, le nez devant son gland. Elle ouvrit la bouche et immédiatement reconnut la bite de Pierre mais, sans rechigner avala le gland puis une bonne partie de la hampe, à s’en décrocher la mâchoire. Après à peine une dizaine d’aller-retour, pierre explosa sans même chercher à se retirer, tant la tension était forte, Martine recula la tête mais elle prit quelques giclées dans la bouche, le reste sur le visage. Elle avala ce qu'elle avait dans la bouche, sans haut le cœur et c’est Pierre qui lui essuya le visage avec les mains, puis me tendit la laisse
Je la positionnais à mon tour entre mes genoux et lui présentai mon gland devant ses lèvres.
Après l’expérience précédente, elle n’eut aucune difficulté à buter son nez et ses lèvres sur mes poils pubiens bien qu’ayant un léger haut-le-cœur quand mon gland eut atteint le fond de sa gorge. Elle se mit à pomper avec beaucoup d’ardeur, au point qu’il ne fallut pas longtemps avant que je sente monter la sève. Je la saisis alors par la nuque, la retenant pour l’obliger à me garder tout au fond de sa gorge, ne lui laissant aucune chance d'échapper au jet de sperme dont elle essaya de se soustraire en tentant de reculer la tête mais sans succès et se résigna à avaler toute la dose.
Ce fut ensuite le tour de Marc. Lui si pudique la précédente soirée, il sortit son pénis sans hésiter entoura le visage de Martine de ses deux mains et colla son sexe sur les lèvres qui s’ouvrirent immédiatement pour le faire disparaître complètement dans la bouche. Marc avait remarqué avec quelle rapidité nous avions éjaculé Pierre et moi. Il voulut savourer l’instant en gardant la maitrise de l’action. Tenant toujours la tête de Martine entre ses mains, c’est lui qui pilotait le rythme qu’il voulut plus lent.
Il reculait lentement la tête, faisant coulisser son sexe hors de la bouche puis tirait à nouveau la tête vers lui, jusqu'à amener la bouche en butée sur son pubis. En fait Marc utilisait Martine comme il aurait fait avec une poupée gonflable
C’est donc à l’issue d’une fellation longuement dégustée qu’il finit par éjaculer dans la bouche de la suceuse qui ne se recula même pas prenant ainsi sa deuxième dose .
Jean fut le dernier à profiter de la détente procurée par notre infatigable suceuse qui le pompa consciencieusement jusqu’à obtenir, là aussi assez rapidement une éjaculation qu’elle ne chercha même plus à recracher.
Décidément les rapports de Martine avec la fellation avaient beaucoup évolué depuis la dernière soirée.
Tout le monde étant détendu, Il était maintenant temps d’atteler la pouliche au sulky.
La suite bientôt : martine et le sulky épisode 2
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