Cette histoire est extraite du roman "la vie dissolue d'Axel D." qui raconte les aventures d'Axel, un jeune trentenaire parisien qui multiplie les aventures au risque d"y perdre son âme . Faut-il renoncer à ses fantasmes pour trouver le grand Amour ? That is the question.
Proposée le 7/02/2021 par LINOGREG
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
Axel aimait la vie parisienne.
Il avait été élevé dans une ville de province mais s’était installé dans la capitale après la réussite de son baccalauréat pour suivre des études.
Puis, tout naturellement, il y avait poursuivi sa vie professionnelle.
A 35 ans, à l’âge où la plupart de ses amis étaient déjà mariés avec femme et enfants, Axel était un célibataire « heureux ». Il jouissait d’un physique agréable sans être pour autant un apollon. Son arme était l’humour et la dérision. Il travaillait en tant qu’indépendant, ce qui lui laissait la totale maîtrise sur son emploi du temps. Il ne roulait pas sur l’or mais gagnait suffisamment pour profiter de ce que Paris a à offrir en matière de culture, de gastronomie, de sorties diurnes et nocturnes et cela sans ostentation. Il roulait en Golf et fréquentait toujours le même groupe d’amis composé d’un noyau de quatre ou cinq personnes dans la même situation que lui.
Axel aimait les filles ou plutôt les femmes car il était plus attiré par une certaine maturité qu’un corps juvénile. Il aimait les parfums capiteux qui embaumaient sa voiture et les mouvements des jambes de sa passagère qui se frottent sur le cuir de la banquette.
D’ailleurs ses amis se moquaient souvent de lui concernant ses goûts et ses attirances pour des filles qu’eux-mêmes considéraient comme « non baisables » car elles avaient, à leurs yeux, dépassé une certaine date de péremption.
C’est-à-dire qu’elles avaient au minimum plus de 30 ans !
Bien entendu, Axel appréciait aussi les jolies filles avec un corps bien fait mais c’était un cérébral et recherchait chez une femme sa capacité à se transformer en « chienne », comme il l’expliquait à ses amis. Le plus souvent, il trouvait cette « qualité » dans celles ayant du vécu et de la bouteille et non chez une petite ingénue avec un romantisme à l’eau de rose.
Par-dessus tout, il détestait la vulgarité de femmes extraverties avec des tatouages et des piercings comme on en voyait de plus en plus sur internet. Cette pornographie outrancière venue d’outre atlantique ne lui plaisait pas.
Lorsqu’il était encore adolescent, il se faufilait par la porte de sortie de secours du seul cinéma pornographique de la ville où il habitait pour visionner les films français de l’époque classés X qui sont aujourd’hui presque des chef-d ’œuvres. Des scénarii minimalistes mais dans des décors extérieurs avec une veuve ou une bourgeoise délaissée. Sans doute, est-ce de là que venait son attirance pour des femmes d’expérience.
L’été, il louait une villa avec un groupe d’amis sur la côte Charentaise à proximité de Royan.
Ils fréquentaient la côte sauvage avec ses grandes plages et les vagues de l’atlantique. L’espace était ouvert au naturisme et la bande d’amis passait des journées entières à se faire bronzer intégralement. Il y avait les habitués mais parfois des nouvelles têtes.
C’est ainsi qu’Axel repéra une femme seule allongée sur le ventre sur sa serviette.
En passant à proximité, un de ses amis lui lança un coup d’œil :
« C’est ta came ! » dit-il
Axel fit une moue de la bouche façon de dire « peut-être ! à voir ».
Bien évidemment, il demanda à ses amis de s’installer pas trop loin de ce corps isolé et entreprit une période d’observation comme un chasseur à l’affût.
De sa position, il voyait un petit bout de femme d’environ une quarantaine d’années, toute bronzée, des cheveux mi-longs frisés roux. Elle fit deux ou trois allers et retours entre l’océan et sa serviette ce qui permis de mieux la juger « sur pièce ».
Au tour de vote des amis réunis, elle avait récolté deux « non-baisables », un « moi je comprends Axel ! » et un « baisable » déposé par Axel.
De toute façon, il n’avait que cela à faire de la journée car mise à part cette inconnue, il n’y avait pas vraiment d’autre choix.
Les plages de l’atlantique sont immenses et, de son point de vue, il aurait été plutôt cavalier de coller sa serviette juste à côté d’elle alors qu’il y avait suffisamment d’espace pour s’éloigner les uns des autres.
Mais cela ne devait pas être l’avis de rapaces solitaires qui, comme les oiseaux d’Hitchkok, commençaient à se positionner tout autour de la cible en posant leurs petites affaires négligemment sur le sable. Il y en avait même un, encore plus téméraire, qui avait jeté sa serviette juste en dessous d’elle et ne se cachait même pas pour mater sans vergogne.
« Mamie a du succès » dirent ses amis en rigolant, façon de signifier que, si Axel ne se bouge pas, l’oiseau va partir sûrement effrayé par tant de sollicitude masculine autour d’elle.
« Oh ça va ! » leur répondit-il énervé car ils avaient effectivement raison. Action réaction !
Il se leva d’un seul bond et s’approcha vers sa cible. Il s’accroupit à côté
d’elle en lui demandant du feu :
« Vous devriez venir vous installer avec nous ! » dit-il en montrant ses trois camarades au loin « Vous seriez plus tranquille ».
L’inconnue le regarda avec un sourire accueillant en soulevant sa paire de Rayban sur son front. Elle n’hésita pas très longtemps et Axel l’aida aimablement à transporter son sac de plage en direction du groupe d’amis.
Chacun fit ses propres présentations.
Elle s’appelait Martine et habitait toute l’année dans la région. C’était donc une « locale de l’étape » et travaillait à mi-temps en tant que comptable dans un garage automobile. Elle avait pris quelques jours de repos et passait ses journées à parfaire son bronzage intégral. Elle avoua avoir 43 ans !
Sans compétition, Axel s’installa à côté d’elle. Il faisait bien en sorte
qu’elle aperçoive son sexe plutôt imposant mis en valeur par une épilation presque intégrale de ses poils pubiens.
Ils allèrent se baigner ensemble dans les vagues, ce qui lui permit à son tour d’apprécier son corps. Au retour de la baignade, chacun s’écroulait sur sa serviette et elle accepta les services d’Axel pour lui passer de la crème solaire sur le corps et la réciprocité se fit tout naturellement. L’après-midi se passa tranquillement et sans effusion lorsque les amis d’Axel manifestèrent l’envie de rentrer à la villa. Comme il était le chauffeur, il dut quitter à contre-cœur Martine et lui confia qu’ils seraient demain au même endroit si elle souhait se joindre à eux.
Ses amis se moquaient de lui « c’est chaud ! » « C’est dans la poche ! » mais Axel les engueula furieux de repartir.
« Demain, vous prenez votre voiture les gars ! »
Le lendemain, lorsqu’ils retournèrent à la plage, Martine était bien là à les attendre.
Ils passèrent une journée agréable à se pommader, se baigner, se mater tout en parlant de leur vie respective. Martine était célibataire et n’avait pas d’enfants. Elle insinua avoir vécu une histoire difficile avec un homme mais Axel ne souhaita pas en savoir plus.
Le soleil, la perspective de Martine, les frôlements de leur corps notamment durant les baignades lui donnaient une érection qu’il se devait de cacher par pudeur pour les familles présentes sur la plage. Il était donc couché sur le ventre dans l’attente que cela se calme. De temps en temps, il se tournait vers Martine et négligemment lui faisait apercevoir son sexe droit comme un i plaqué sur son bas ventre.
Lorsqu’il fallut partir, le petit groupe se rhabilla. Martine, le corps gorgé de soleil, enfila une petite robe de coton avec un imprimé à fleurs et portait ses ballerines dorées à la main pour rejoindre le parking.
Axel la raccompagna à sa voiture.
« Pourquoi ne viendrais-tu pas prendre un verre avec nous ? » demanda-
t-il avec une idée derrière la tête.
« Si tu veux ! J’habite près de Marennes. On peut se retrouver là-bas. Il y a des bars à huitres » proposa-t-elle en retour.
Les trois amis d’Axel déclinèrent la proposition prétextant que cela faisait un détour et qu’ils avaient d’autres choses à faire. Seul Axel répondit :
« J’adore les huitres ! C’est bon pour la santé … mais je dois passer prendre une douche à la villa ».
« Effectivement tes amis ont raison, Marennes est en sens opposé de Royan. Passe à la maison prendre ta douche ! Je te trouverai bien une serviette pour te sécher » dit-elle en riant.
C’est ainsi que les trois amis retournèrent direction Royan et qu’Axel suivi la voiture de Martine jusqu’à chez elle. Quelques kilomètres dans les terres plus loin, la petite Renault se gara devant un pavillon et elle lui fit signe de prendre une place un peu plus loin.
En raison de la chaleur et du soleil, elle avait fermé toutes ses persiennes et l’intérieur était sombre.
« La salle de bain est au fond ! » montra-t-elle du doigt « vas-y ! je t’amène une serviette ».
Ce n’était pas vraiment une douche à l’italienne mais une baignoire avec un flexible de douche. Axel commença à se doucher et à s’arroser de la tête au pied. Il ne fut pas surpris quand Martine le rejoignit debout dans la baignoire face à lui. Par jeu, il l’arrosa pour qu’elle soit mouillée à son tour. Elle n’était pas grande en effet et lui arrivait à la moitié du torse.
Elle lui prit son sexe déjà bien gonflé dans sa main et le massa avec du gel douche pour former une mousse abondante qu’elle étala sur le corps d’Axel et plus particulièrement dans la raie des fesses en lui massant délicatement l’anus avec son index.
Martine avait le regard d’une petite fille dans une boulangerie devant un éclair au chocolat.
Axel se dit qu’encore une fois il avait vu juste sur le potentiel de sa partenaire et cela promettait de bons moments.
Elle se colla à lui tout en continuant à le masturber et s’embrassèrent de façon brûlante. A son tour, Axel lui intima fermement de se retourner et de cabrer ses fesses qu’il s’empressa d’écarter pour passer sa langue sur son petit trou bien propre tout en descendant à l’intérieur de l’aine.
Tout en continuant des baisers fougueux et en se caressant mutuellement, ils se séchèrent et rejoignirent le canapé. Martine essayait de mettre la main sur le sexe d’Axel pour une fellation et de son côté il adorait prodiguer un cunnilingus.
On aurait dit deux petits chiens qui essayent de s’attraper la queue.
Il finit par agripper les deux jambes de Martine en la maintenant sur le canapé et les écarta au maximum pour former un grand V. Il put s’en donner à cœur joie enfouissant sa langue dans sa vulve, remontant en direction du clitoris qu’il essayait d’aspirer, puis redescendant entre ses fesses. Elle glapissait de joie avec de larges soupirs de satisfaction. Elle finit par se lever et se pencha offerte, sans dire un mot, en s’appuyant sur gros fauteuil en skaï face au canapé. Axel mis ses deux mains sur ses hanches et frotta son pénis sur son sexe mouillé avant de la pénétrer lentement et de ressortir. Il effectua cette opération plusieurs fois avant d’entamer un va et vient plus régulier. Il s’arrêtait quelques secondes pour refaire descendre la pression et ne pas jouir trop vite.
Ce petit manège dura plusieurs minutes avant que Martine se relève pour entrainer Axel dans sa chambre et le pria de se mettre à quatre pattes sur son lit. Il ne se fit pas prier. Elle entreprit un léchage en règle de son derrière. Il se sentait à sa merci. La tête enfouie dans l’oreiller et les fesses bien cambrées, il poussait des glapissements d’encouragement pour lui montrer qu’il appréciait l’initiative. Puis, elle s’arrêta pour sortir de sa table de nuit un phallus en silicone parfaite imitation d’un pénis conséquent qu’elle enduisit de vaseline avant de le présenter à l’entrée de son anus.
Elle patienta quelques secondes, sans doute pour attendre la réaction d’Axel qui remua sa croupe en guise d’autorisation. Tout doucement, elle le pénétra pour l’enfoncer jusqu’au bout avant de le ressortir. Elle réitéra sa manœuvre mais cette fois-ci avec un va et vient plus énergique tout en le masturbant avec sa main libre.
Axel ne savait plus où il était.
C’était la première fois qu’il goutait à un plaisir anal et sodomite qu’il pensait réserver aux homosexuels. Il jouit abondamment inondant la main de Martine et salissant les draps pour finir par s’écrouler sur le ventre avec le phallus encore enfoui dans son anus. Elle se mit à côté de lui et s’embrassèrent avec fougue.
« Cela t’a plu ? » demanda-t-elle sûre de son fait.
Axel ne répondit même pas et se contenta de cligner des yeux en signe d’acquiescement.
Ils finirent par aller déguster une assiette d’huitres chez un petit mareyeur voisin et se tenaient la main ou bien se caressaient le bras comme deux amoureux repus.
En rentrant à la villa, Axel raconta son exploit à ses amis tout en omettant sciemment de relater la scène finale sur le lit. Il avait aimé cette nouvelle expérience inédite mais préférait le garder pour lui.
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