Mes parents ont tenu à ce que je fasse partie du mouvement scout, vu qu'ils me trouvaient un peu efféminé et oulaient me voir plus viril. J'ai dormi dans la tente du chef, et on a passé une nuit torride, on a joui tous les deux.
Proposée le 2/09/2024 par Sacha
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie
Mes parents, très catholiques, ont tenu à ce que je fasse partie d'un mouvement scout. Il a donc fallu que je joue à des jeux stupides avec des surnoms tout aussi ridicules, style Mowgli ou Bagheera, hérités de l'impérialisme anglais de Rudyard Kipling.
Chez les louveteaux, il y avait des cheftaines. Mais à quinze ans plus de cheftaines, plus de nichons, plus de vulves, rien que des des queues. Il fallait bien faire avec. Et j'avoue que j'éprouvais beaucoup d'attirance pour les garçons.
Veillées, feux de camp, parcours sportifs, que sais-je encore, tout cela ne m'intéressait guère. Le seul aspect plaisant, c'était le bain dans la rivière, quand tous les garçons devaient se mettre tout nus. Moi, j'y peux rien, ça me faisait bander. Je me précipitais dans l'eau pour cacher mon érection.
La nuit venue, des tentes nous attendaient. Le nombre prévu n'étant pas suffisant, j'ai été affecté à celle du mono. Pourquoi moi? Avait-il vu mon érection au bord de la rivière? Avait-il flashé sur mes fesses? Je l'ignore.
Nous étions donc tous les deux sous la tente. Vu la chaleur, j'ai défait la fermeture é l'air de mon sac de couchage. Et lui fit de même, bizarrement du même côté. Seuls quelques centimètres séparaient nos corps nus.
J'attendais qu'il s'endorme pour me branler en fantasmant sur tous ces beaux corps nus de garçons dans la fleur de l'âge que j'avais matés au bord de la rivière. Mais lui aussi, visiblement, tardait à trouver le sommeil.
J'avoue que cet homme nu tout près de moi, accessible, cette présence m'excitait. J'avais follement envie de le toucher, de le caresser, de me coller à lui. Mais ce n'était pas dans les règles du camp.
Alors je me suis fait un petit film: je pourrais faire semblant de dormir, laisser ma main errer et vagabonder jusqu'à son corps, jusqu'à son sexe.
Mais un autre scénario s'est dessiné, car c'est lui qui a pris une initiative. Il a tendu le bras pour poser sa main sur mon épaule, geste de franche camaraderie, de tendresse peut-être. Il me caressait, et sa main s'aventura jusqu'à ma légère toison pubienne. Soulevant mon bras, il m'embrassa au creux de l'aisselle.
Puis il a saisi mon sexe, me demandant de lui faire pareil. J'ai senti son sexe tout dur, presque. collé au ventre.
Il me disait: on est tous pareils, êtres de chair, autant se donner du plaisir.
C'était pour moi une merveilleuse initiation. Plaçant ses mains sous mes fesses, il a flatté ma rondelle, qui se dilatait sous ses caresses. Il a pris mon sexe dans sa bouche, et là c'était l'extase. Je devais lui faire pareil. Je l'ai sucé.
Ces fellations se sont interrompues quand il a senti au frémissement de ma verge dans sa bouche qu'il faisait monter ma sève et que j'allais gicler.
Au cœur de la nuit, sous la tente, on s'est branlés et on a joui.
Comme quoi les camps scouts ont quand même du bon pour les hommes qu'attirent les hommes.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email