Un couple ensemble depuis plusieurs années et avec enfants décide de casser la routine. Découvrez à travers ces récits la vision de Fred et Roxane sur l'évolution de leur vie sexuelle. Chacun va repousser tour à tour les limites de leur sexualité. Mais jusqu'où s'accorderont-il à aller?
Proposée le 2/08/2022 par oiseau de nuit
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman
Ce matin-là, je me réveillais tout embrumé sans comprendre trop pourquoi.
Le sentiment d’avoir bien dormis mais avec un arrière-gout d’inachevé. La chaleur commençait à monter dans la pièce avec le soleil qui se levait derrière les volets.
Nous habitions une petite maison typiquement provençale en pierre au milieu des champs d’oliviers. Elle n’était pas grande mais elle nous convenait très bien. Nous avions la place pour loger avec nos deux enfants sans se marcher sur les pieds. La piscine était une source de fraicheur dans laquelle nous adorions nous plonger après les dures journées de travail. Nous avions une annexe au fond du jardin transformée en chambre d’hôtes. Ce petit havre de paix nous permettait de nous échapper du quotidien des la sortie du travail.
C’était début juin et les enfants étaient parti en weekend avec leurs grands-parents. Ma femme dormait encore à côté de moi à poing fermé. Nous étions samedi matin et je décidais alors de ne pas la réveiller mais la regarder paisiblement. J’avais toujours aimé ces moments où elle dormait nu dans le lit et la courbe de ses hanches se dessinait sous les premiers rayons de soleil. Je pouvais passer des heures à la regarder sans jamais me lasser. Elle disait souvent qu’elle ne comprenait pas comment je pouvais la trouver aussi désirable mais pour moi elle était sublime.
Roxane était brune, les cheveux mi-long, des yeux marron vert, elle ne faisait pas partie de ces femmes fines de magasines ou qui défilent sur les plateaux TV. Elle avait des formes que je trouvais gracieuses. Sa poitrine était généreuse, ce qui rendait ses décolletés désirables et lorsque ses tétons pointaient à travers un tissu l’envie de déposer un baiser sur ceux-ci était encore plus forte. J’étais même souvent jaloux, ou fier je ne sais pas, des autres hommes qui posait régulièrement un regarder carnassier sur elle sans qu’elle ne le voie. J’étais en effet loin de l’hommes des magasine ! Les cheveux châtains, quelques kilos en trop, le corps un peu musclé par quelques séances de sport par semaine, j’étais un homme banal d’un mètre quatre-vingts ! J’avoue que si j’étais fière d’une partie de mon corps, ce seraient peut-être mes fesses, un peu musclé, pas plates qui visiblement faisaient de l’effet à ma femme qui aimait bien y mettre la main de temps en temps !
Je restais donc là, à la regarder, elle était tournée vers moi, le visage sur l’oreiller, les yeux fermés. Le drap était roulé entre ses jambes laissant ainsi apparaitre le galbe de ses fesses et un sein qui pointant à travers le drap blanc. Dans ces moments je me laissais aller à rêver les yeux ouverts, en pensant aux prochains moments coquins que nous allions passer ensemble.
Au bout d’un moment, je sorti doucement de mes rêves et me décida à aller préparer le petit déjeuner pour lui servir au lit à son réveille. Je déposai alors un petit baisé sur son front avec une douce caresse sur ses reins. Je senti un frissonnement et m’arrêta la main juste au-dessus de ses fesses en pensant qu’elle allait se réveiller. J’attendis quelques minutes mais sa respiration était toujours aussi profonde. Je profitai de se contact avec sa peau quelques instant. La chaleur qu’elle dégageait sous ma main était douce et réconfortante. Elle poussa quelques petits gémissements dans son sommeil et changeait de position en se retournant de l’autre côté du lit, dos à moi. Je ne voulais pas plus la déranger et alla préparer le petit déjeuner.
Je reviens quelques minutes plus tard dans la chambre, chargé d’un plateau avec café et croissant ainsi qu’un jus d’orange pressé. Elle dormait toujours mais cette fois elle était totalement nu allongée sur le dos, les jambes entrouvertes. Je posai le plateau sur la table de chevet et décida de la réveiller en douceur par de petit baisers. Mais au moment où je décidai de déposer un baiser sur sa joue, son corps ondula et un gémissement se fit entendre. Était-elle en train de rêver ? Je posai alors ma main chaude sur sa cuisse et commença à la caresser. Son souffle se posa comme si elle se sentait en sécurité. Je remontai ma main sur son ventre et caressa ses seins. Je décrivais un cercle avec ma main qui se finissait au centre de ses sein en caressant délicatement ses aréoles dressées de désir. Maintenant j’en avais le cœur net, soit elle dormait et faisait de beaux rêves, soit elle faisait semblant de dormir mais son intention était de me le faire croire.
Je ne dis rien, seul nos mains et nos corps allaient parler. Je continuai alors mes caresses, ma main descendit alors le long de son ventre, puis ses hanches. Ma main était entrain de parcourir cette courbe si désirable que j’avais passé un moment à observer avant de me lever. Mes doigts descendaient jusqu’à ses genoux. L’arrière de ses genoux était une zone très érogène pour elle. Ma main se posa alors délicatement et je remontais de l’arrière de son genou vers son ventre par l’intérieur de ses cuisses. Je pris bien soin d’effleurer son sexe sans pour autant y appliquer une forte caresse. Je senti pourtant la chaleur du désir rayonner.
Puis je redescendis à nouveau ma main sur son autre jambe par le même mouvement. Toujours aussi lentement. Je sentais en moi le désir monter, l’envie de l’embrasser à pleine bouche. Mais je contrôlais cette pulsion car rien n’était plus existent que ses moments où le désir brulait en moi.
Au passage de ma main le long de sa vulve que je voyais gonflée, elle fit un mouvement de bassin comme pour appuyer un peu plus son sexe sur ma main qui passait par là. Je prolongeai mes caresses encore quelques minutes et sentait sa respiration s’accélérer. Le mouvement de son bassin s’accentuait de plus en plus et des gémissements sortaient de sa bouche à chaque passage.
Je mis fin à cette torture au moment où, lors de ce dernier passage, ma main s’arrêta sur son sexe, juste à l’entrée de ses lèvres. Elle était humide, chaude, je sentais sa libération par un dernier petit mouvement de bassin qui vint coller son sexe à la paume de ma main. Je restais immobile quelques instant le temps de calmer sa respiration puis mon index vint caresser doucement l’intérieur de ses lèvres, mon doigt s’humidifiait délicatement de son désir. Chaque passage la faisait s’ouvrir un peu plus. Pendant ce temps, ma bouche venait déposer de délicats baisers sur ses seins. Son désir était palpable tant les pointes de ses seins étaient dressées et sa respiration profonde. Mon désir était aussi bien présent et sa main se glissa délicatement sur mon sexe pour venir le caresser avec délicatesse. Nous nous sommes caressés de longues minutes ainsi, sans rien dire, seul nos souffles raisonnaient dans la pièce.
Puis son désir devenait si fort qu’elle souleva son bassin et mon index la pénétra d’un coup. Elle lâcha alors un soupir de contentement et ses yeux s’ouvrirent. Je pouvais voir dans son regard l’intensité de son plaisir. Ses yeux pétillaient et nos bouches se sont rejointes. Elle m’embrassa avec une passion incroyable comme elle sait si bien le faire. Son bassin vint se bloquer contre ma jambe comme pour enfoncer encore un peu plus mon index qui venait de la posséder. Elle me suppliait de ne pas arrêter. Ses mouvements étaient de plus en plus rapides. Je pouvais ressentir sa passion traverser son corps. Nous nous étions complément abandonné l’un à l’autre. Nos corps étaient pris par le plaisir charnelle et l’éprit ne contrôlait plus nos gestes.
J’avais une main sur son sexe avec maintenant mon index et mon majeur en elle, l’autre main sur ses fesses que je venais plaquer à moi. Elle passait ses mains le long de mon dos, de mes fesses et remontait à mes cheveux. Ses baisers était doux et fougueux à la fois.
Puis d’un coup elle se retourna et de dos elle ouvrit les jambes et elle guida ma verge délicatement en elle. Nous étions tellement excités que je n’eus aucun mal à la pénétrer. J’avais mes mains sur ses seins que je prenais avec fougue.
Puis elle prit ma main gauche et la dirigeât vers son sexe. Je repris alors mes caresses sur son clitoris tout en la pénétrant et quelques minutes après, nous avons été traversés d’un orgasme foudroyant simultanément. Nous sommes restés ainsi, nos deux corps ne faisant qu’un, de longues minutes le temps de reprendre notre souffle, silencieux, face à la fenêtre ouverte sur la nature, un léger vent passant sur nos peaux brulantes de plaisir.
Nous avons fini par prendre le petit déjeuner que j’avais préparé tout en redescendant sur terre.
La journée s’annonçait belle et chaude, sans contraintes, nous avion prévu une randonnée dans les calanques et de respirer le bon air de la nature. Avec pourquoi pas une baignade improvisée si la température de l’eau le permettait.
Nous nous sommes préparés à prendre la route pour nous rendra au plus prés des sentiers de randonnée proche de cassis. Cette petite aventure matinale nous avais mis de bonne humeur. Roxane enfila une robe large pour ne pas souffrir de la chaleur et moi un short et un t-shirt. Deux gourdes d’eau et un petit casse-croute dans le sac, nous sommes partis dans les sentiers de garigue un peu à l’aventure.
La période était idéale pour se balader dans les calanques, peu de touristes, un temps agréable pour randonner, une eau pas trop froide. Il était 10h quand nous avons démarrer notre randonnée. Le parking vide nous étions satisfait de pouvoir espérer être tranquille. Nous commencions sur un rythme tranquille, main dans la main, parlant de notre semaine, les petites histoires de travail avec les mésaventures des collègues. Ma femme travaillait dans les ressources humaines en tant que freelance. Elle aidait les entreprises à recruter et elle était plutôt douée. Pour ma part j’étais organisateur d’événement professionnels et particulier. Nos métiers nous permettaient de rencontrer beaucoup de monde et nous avions toujours de petites anecdotes assez amusantes.
Au bout d’une heure de marche, nous sommes arrivés sur un beau point de vue surplombant la mer. La vue était magnifique, comme perdu au bout du monde, la mer à nos pieds. On pouvait apercevoir quelques kayaks à l’eau plus bas qui passaient de calanques en calanques. Nous sommes restés quelques minutes assis par terre face a ce spectacle, ma femme dans mes bras.
Après nous être réhydratés, nous avons reprise notre route avec pour objectif de descendre sur une des criques que nous apercevions plus bas. Certains chemins étaient assez escarpés, mais nous avons réussi à arriver sur une petite plage où nous avions la chance d’être seul au monde ! Une grande serviette sur le sol et nous nous sommes installés pour pique-niquer. J’avais pris en douce une bouteille de vin dans mon sac et fi la surprise à madame qui été heureuse de trouver un de ses vins favori et était touchée de l’attention. J’ai eu le droit à un magnifique baiser en guise de récompense. Nous avons pris notre sandwich et bu quelques verres puis nous nous sommes allongés sur la couverture pour se reposer un peu. L’endroit où nous nous étions installés était un peu à l’ombre sous une roche. L’air marin permettait de supporter la chaleur qui était assez forte à cette heure de la journée. Après la marche du matin, nous avons bien profité d’une petite sieste réparatrice.
Roxane c’est endormis la tête sur mon torse, à moitié dans mes bras. Nous nous sommes réveillés vers 14h avec le bruit des vagues. J’avais une forte envie de me baigner et proposa l’idée. Elle me regarda et retira sa robe d’un coup. Je m’aperçus alors qu’elle n’avait rien mis en dessous. J’avais bien remarqué qu’elle n’avait pas de soutien-gorge, mais pas de culottes, je n’avais pas imaginé une seconde. Roxane est une femme plutôt pudique d’ordinaire. Elle vient déposer un baiser sur mes lèvres et me dit : « Ba alors ! tu ne viens pas ? » avec un sourire malicieux ! Je me déshabillai également et nous sommes parti dans l’eau qui était assez chaude pour la saison. Je ne m’étais encore jamais baigné nu, cette sensation était incroyable. Un sentiment de liberté qui permettait de profiter à 100% du contact de l’eau avec la peau.
Après avoir fait quelques brasses, ma femme vint se blottir dans mes bras. La chaleur soudaine de son corps nu contre le mien était d’une grande douceur. Elle croisa ses jambes autour de ma taille et m’embrassa avec douceur. Nos langues s’entremêlaient, ses mains parcouraient mon dos et me caressaient délicatement. La douceur de ses caresses ne mi pas longtemps à faire réagir mon corps. Elle senti que mon érection était bien présente et s’amusa à frotter son sexe au mien. L’eau nous portant, les mouvements était simple et fluide. Doucement elle descendait sur mon sexe petit à petit. Elle bougeait au rythme des vagues, me sexe faisant des allez et retour calme mais profonds. Mes deux mains sur ses fesses, je les caressais et appuyait à chaque descente pour la pénétrer un peu plus à chaque fois. Elle approcha la bouche de mon oreille et me dit : « j’adore te sentir en moi, …, je t’aime ». L’air chaud tapait sur nos deux corps à travers l’eau, le bruit des vagues rendait ce moment unique. Ses baisers dans mon cou étaient à la fois doux et passionnés. Nous arrêtions quelques instant nos mouvements pour échanger un baiser torride. Ses lèvres et sa langue dégageaient une chaleur intense. Nos mouvements s’étaient arrêtés, mais je pouvais sentir son sexe se contracter autour du mien. Elle réalisait un massage de ma verge sans aucun mouvement. Mon excitation était à son comble. Nous reprîmes progressivement nos mouvements, ses soupires dans mon oreille devenait de plus en plus fort. Elle me suppliait de ne pas arrêter et en demandais même encore plus. Soudain elle reteint sa respiration et poussa un cri de plaisir qui a dû raisonner dans toutes la calanque. Puis nous restions ainsi l’un dans les bras de l’autre porté par le mouvement des vagues.
En sortant de l’eau, je suis soudain parcouru d’un frisson. J’aperçois une silhouette s’éloigner dans les rochers au loin. Y avait-il quelqu’un ? Nous avait-il vu ? Je regarde Roxane qui ne dis rien et retournons sur la serviette. J’étais habité par un sentiment de panique, je me faisais des films dans ma tête, mais ne savais pas ce que Roxane avait vu et n’osais pas trop poser la question.
Nous sommes restés silencieux l’un à côté de l’autre quelques minutes. Puis je posais la question qui me brulait les lèvres :
« Tu as vu ? »
« Quoi ? »
« La silhouette qui s’éloignait ? »
« Ah, ça, oui. Et alors ? »
« TU pense qu’il ou elle nous a vu ? »
« Peut-être, mais tu sais nous étions dans l’eau, au pire il m’a entendu crier. Et puis nous ne faisions rien de mal ! »
Elle avait surement raison. Je me suis enflammé pour rien : « Oui tu as raison ».
Puis nous nous sommes rhabillés. Après un tendre et long baiser, nous avons repris le chemin du retour. Au bout de quelques minutes, nous avons croisé une femme, la trentaine, qui prenait des photos. Elle nous salua et demanda si nous avions de l’eau. Elle avait pourtant l’air bien équipé mais elle n’avait surement pas prévu une chaleur aussi forte. Nous lui donnions un peu de l’eau restante dans nos gourde, notre chemin touchant à sa fin. Nous en profitions pour échanger quelques mots. Elle était photographe professionnelle et travaillait comme indépendante pour des journaux et événements. Nous en profitions pour échanger nos coordonnées, sait-on jamais, j’aurais peut-être besoin de ses services dans de futurs événements. Ma femme papotait avec elle sur la beauté de la nature et le plaisir de se balader à cette époque de l’année. Elle s’appelait Hélène, elle habitait à moins de 20km de la maison. Nous convenions de nous revoir pour échanger autour d’un apéritif avec son mari.
Nous reprenions notre voiture et rentrions à la maison. Sur le trajet, Roxane me confiait que même si la journée n’était pas finie, elle avait adoré sa matinée et son après-midi et que ces parties de sexe lui avaient fait un bien fou. En effet, le quotidien ne nous permettait pas d’avoir autant de moments d’intimité et avec les enfants, il faut avouer que le sexe était devenu assez absent de notre couple. Je lui confiais aussi que j’avais trouvé ces moments délicieux et que je veillerai à ce que nous ne fassions plus entrainer par le quotidien.
Sur le chemin, nous passions devant un traiteur et nous décidions de nous prendre un plat à emporter pour se faire une soirée devant un bon film et avec une bonne bouteille de notre cave. Celle-ci se passa simplement, dans les bras l’un de l’autre. Nous étions tellement épuisés que nous nous sommes endormis sur le canapé du salon.
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Commentaires de l'histoire :
Jacques
Bonjour; ou presque. J'ai pris plaisir à lire votre récit que j'ai trouvé érotique, bien que "sage" ou presque... C'est vraiment le genre que j’apprécie, qui ne tombe pas dans la vulgarité et pourrait se lire à deux agréablement, mon épouse et moi. Ce n'est pas encore fait, car elle n'est pas fan de cette littérature, mais nous avons quand même lu quelques écrits similaires. Si vous pouvez écrire une suite, même un peu plus osée, j'en serai très satisfait, et je le partagerai avec mon épouse, comme j'ai l'intention de le faire avec celui-ci. Merci.
Posté le 27/11/2022
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