C'était une belle amitié entre garçons, collègues puis amis. Puis amants. Et puis à force de nous enlacer voluptueusement on a fini par copuler en s'acccouplant.
Proposée le 1/08/2024 par Sacha
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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Joseph a toujours été prévenant avec moi, depuis qu'on s'est connus comme collègues puis amis, amis tendres, vu que chacun a flairé chez l'autre le goût des garçons. Disons une attirance certaine, et difficile à cacher dès que la tournure de la conversation porte là-dessus, et qu'on bande.
Amis tendres: disposés à tout pour satisfaire les désirs de l'autre, caresses, baisers, gestes déplacés. L'important était de se témoigner notre affection, jusqu'à nous branler ensemble.
Il y avait entre nous de l'amitié et beaucoup de tendresse, amitié et tendresse qui n'ont pas tardé à se rejoindre en sexualité. Tendresse qui se portait volontiers vers le sexe de l'autre, s'il était demandeur.
On se parlait de tout, même de l'attirance entre garçons. On se montrait des dessins très osés de scènes érotiques entre garçons, comme ceux de Jean Cocteau. Je ui racontais mes petites expériences, branlettes sous la douche entre ados. Et visiblement ça l'excitait. Moi j'avais toujours ressenti un grand trouble en présence de garçons nus, comme dans les vestiaires ou les douches des piscines. J'adorais voir ces sexes à peine pubères, et qui parfois se dressaient quand ils attiraient mon regard. J'attendais le moment où mon voisin allait enlever son caleçon, et acec ma serviette je cachais mon érection naissante.
On l'avait bien senti l'un et l'autre, on s'attirait, on se plaisait bien, on ne tardait pas à bander en présence de l'autre. Plus âgé que moi, il se vantait de pouvoir m'initier aux amours masculines. Et qu'entre garçons on n'allait pas se gêner.
Quand je faisais la vaisselle après le dîner, il en profitait pour me mettre la main au cul. J'aimais bien sentir ses mains me peloter les fesses, je me laissais faire.
Ça se terminait dans son lit. Nus l'un contre l'autre, nous sentions l'un contre l'autre nos queues frétillantes avides de jouir. Nos deux queues frémissantes enfin réunies pour partager un même orgasme.
Partager, oui, la tendresse, la sensualité, l'attirance pour les garçons, la sensualité.
Nous nous enlacions entre hommes, tendrement, amoureusement, charnellement, entre hommes nous faisions l'amour, déjà bien excités rien qu'à l'idée de faire l'amour entre hommes. Parfois même on se faisait jouir à sentir l'une contre l'autre nos deux queues si friandes l'une de l'autre. Et nous répandions l'un sur l'autre nos semences.
Mais je voulais lui donner plus. Je voulais me donner à lui tout entier, m'offrir à lui. Je voulais être à lui.
Un jour il m'a doigté le cul, et ça m'a donné des idées. J'aimais bien être son petit chéri, sa petite biche, mais alors il allait bien falloir qu'il me montre à quel point il me désirait en me prenant.
C'est que quand il m'a doigté le cul, j'ai éprouvé un tel plaisir que j'ai eu envie qu'on aille plus loin tous les deux. Et qu'il me prouve vraiment ses sentiments. Dans ma chair. C'est alors que je lui ai offert mon cul.
Après m'avoir délicieusement léché le pourtour anal, il m'a fait sentir son gland abouché à mon orifice. J'ai rarement senti plaisir plus excitant qu'un gland tout gonflé prêt à s'enfoncer dans ma rondelle et bientôt une queue me défonçant le cul.
Il m'a pris en levrette. On a copulé au rythme du coït qu'il m'imposait. Et il a fait de moi son enculé.
J'étais aux anges qu'il me foute enfin sa bite au cul, comblé comme un homme peut l'être. Fait dire qu'il m'a super bien baisé. Et quand par la suite il se vantait en ma présence devant ses copains d'être le mec qui m'avait dépucelé du cul, tout en me mettant la main aux fesses, je ne pouvais qu'acquiescer, vu qu'il m'avait foutu le feu au cul.
Alors je l'ai enlacé devant tout le monde, collant mes lèvres aux siennes, tendrement, amoureusement. Nos langues s'enlaçaient, nous bandions l'un contre l'autre, sentant bien que nos queues elles aussi n'allaient pas tarder non plus à s'enlacer.
C'est alors qu'il m'a fait lui promettre, devant témoins, que mon cul ne serait à personne d'autre, qu'il resterait notre jardin secret et que lui seul se réservait le droit de m'enculer.
En fait, j'aimais bien l'idée de lui appartenir, et de lui réserver la jouissance de mes parties intimes. J'étais à lui, je n'attendais que lui pour me combler, et sa jalousie me montrait bien à quel point il se sentait le seul à avoir le droit de me baiser
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