Jouir entre hommes

C'est peu à peu que les choses ont pris tournure, très progressivement. Des mains baladeuses, des caresses furtives, des visites nocturnes durant lesquelles il caressait mes fesses puis me branlait. Mais on est allé plus loin. Il m'a élu comme partenaire, et nous avons bien joui dans nos ébats.

Proposée le 1/08/2024 par Sacha

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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Une fois qu'on a goûté au plaisir entre hommes, difficile de s'en passer, c'est si bon. Un homme, ça bande quand il vous désire, et quand ses mots, ses attentions, ses gestes vous font bander.

Un ami cher me recevait parfois chez lui. Et c'est lui qui m'a initié, qui fut mon homme quand lui vint l'envie de me prendre. Et quand une queue se dresse en présence d'un autre homme, en sa compagnie, c'est qu'il y a bien du plaisir à partager. Quand on bande tous les deux, il va bien falloir que nos corps s'enlacent, que nos peaux s'effleurent, et même un peu plus. Qu'on fasse l'amour, qu'on copule, l'un dans l'autre.

Je dormais en principe dans la chambre d'ami, sauf la fois où j'étais tellement excité que je suis allé le rejoindre sous sa couette, pour nos mamours.

On s'est alors donné bien du plaisir, en position 69, chacun se livrant à une fellation. Ma queue dans sa bouche, la sienne dans ma bouche, on communiait dans le plaisir partagé, et c'est fou comme c'est bon.

Mais dans la pénombre de la chambre d'ami, la nuit tombée, c'est lui qui a commencé par me rendre visite. À une heure assez tardive il venait me rejoindre. Il soulevait le drap et me caressait les fesses. J'avais alors tendance à les écarter, tant c'était bon, ses caresses sur mes fesses. Il me demandait alors de les cambrer pour avoir, disait-il, "quelque chose à prendre". Je ne me faisais pas prier. Il empoignait alors mes couilles et ma queue déjà bien raide, visiblement content de me faire bander, tout en me traitant de petite salope, que j'étais en effet.

Et c'est vrai que j'aimais bien quand il me branlait, j'en raffolais, je ne demandais plus que ça.

Mais je sentais bien qu'il restait sur sa faim, qu'il allait bien falloir que je m'offre à lui, petite femelle que j'étais déjà. Et c'est vrai que ma rondelle avait tendance à en redemander, quand il flattait mon pourtour anal.

Une nuit, il a voulu aller plus loin, ou plus profond, qu'à cela ne tienne. Il m'avait fait lui promettre qu'il serait le premier à me déflorer du cul. J'ai bien aimé cette revendication d'une première fois avec lui. Il me faisait comprendre que mon orifice tant désiré était à lui, et que si je devais me faire baiser par un mec, c'est à lui qu'en revenait la primeur. Mon cul devenait ainsi une sorte d'espace sacré que nul ne pouvait profaner tant qu'il ne l'aurait pas honoré en me prenant par derrière, bref, en m'enculant pour de bon.

On était donc tous les deux comme liés par le cul, nos histoires de fesses, et comme il savait si bien flatter ma croupe et me branler, je lui ai accordé ce droit de cuissage.

Cette nuit-la, après ses caresses sur les fesses, je me suis retrouvé en levrette, fesses à l'air, exposées et bien cambrées, il a allumé la lampe de chevet pour mieux jouir du spectacle, mon cul offert à sa queue. J'ai senti la fraîcheur d'un lubrifiant humecter ma raie et mon petit trou, qu'il appelait ma chatte.

Rien qu'à me sentir doigté je me dandinais, je tortillais du cul, en attente du mâle qui allait le remplir et le combler.

Lui de sa main droite tenait ma queue, la branlant doucement, et sentant bien qu'elle était prète à jouir. Il faisait durer le plaisir, mon homme.

Quand il sentit ma fleur bien éclose, bien épanouie, ouverte à son désir, il y planta et enfonça son dard. Il m'a baisé, il a coïté en moi, déchargé en moi, il m'a enculé jusqu'à la jouissance, la sienne, la mienne, nos éjaculations, faisant de moi son homme, et un autre homme, qu'il se vantait par la suite devant ses amis et en ma présence d'avoir sauté, et je n'en étais pas peu fier.

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