Leo et moi, on s'entendait bien. Il ne m'a jamais caché son attirance pour les garçons. Moi j'étais hétéro, donc aucun risque. Jusqu'au jour où ... Il m'a invité au cinéma, et dans la salle obscure il y eut quelques attouchements. On est devenu alors vraiment copains.
Proposée le 29/03/2024 par Sacha
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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Leo, la quarantaine, aimait surtout les compagnies masculines, des garçons de vingt ans par exemple, comme moi à l'époque. Et vierges. Donc à dépuceler du cul.
On étais amis, tout en étant collègues. Je respectais ses goûts, mais je lui ai bien fait comprendre dès le début que rien ne serait possible entre nous.
C'était comme un pacte. Mais il souffrait de ne pas pouvoir me témoigner davantage son affection pour moi, il faillit parler de l'attirance qu'il éprouvait pour moi, puis se reprit. Mais j'ai bien compris que l'affection dont il parlait revêtait aussi le caractère d'une "amitié particulière". Mais encore une fois, je n'avais rien à craindre, vu que j'avais joué cartes sur table en lui disant que j'étais hétéro.
Je ne lui avais évidemment pas avoué l"inavouable pour moi à l'époque: l'attirance que j'éprouvais depuis toujours pour les garçons, homo refoulé que j'étais. Je rêvais bien de me faire prendre un jour par un homme, d'être comblé par lui s'il me prenait par derrière, mais c'était juste un fantasme.
Leo n'a pas cherché à m'initier, non, même s'il s'est peut-être douté de quelque chose, comme un bon chien renifle une chienne en chaleur. Il voulait juste que je comprenne mieux le monde homo dans lequel il vivait.
Il m'invita un après-midi au cinéma, à voir un film dont le thème était la relation tendre et érotique entre deux garçons. Dans le film, interdit aux moins de 18 ans, il y avait aussi quelques moments torrides, où les deux hommes, tout nus, se caressaient et se faisaient jouir. J'ai trouvé ça beau, émouvant, et même excitant.
Dans la salle obscure, et propice sans doute à bien des attouchements entre messieurs, et à un moment torride du film, j'ai senti une main, celle de Leo, effleurer le renflement que mon sexe bandant avait formé sur mon pantalon au niveau de la braguette, avant de se poser voluptueusenent sur ma cuisse. Il avait voulu s'assurer que je bandais ferme, et ne s'était pas trompé.
Nous étions donc quelque part complices. Mais cela, bien sûr, ne m'engageait à rien. Il savait juste que le spectacle érotique ne me laissait pas indifférent, et que voir deux hommes faire l'amour me faisait bander. Je n'en restais pas moins officiellement hétéro, bien sûr.
Après le film, en fin d'après-midi, il eut l'amabilité de m'inviter à dîner chez lui. Ce n'était pas la première fois, loin de là, mais dans le contexte, ça prenait une tournure et une saveur différentes. Vu qu'on avait eu tous les deux comme des préludes. Et puis maintenant il savait. J'ai alors imaginé qu'on pourrait pousser cette amitié masculine jusqu'à se branler mutuellement. Il m'a juste posé une question un peu osée, pourquoi je n'avais pas moi aussi posé la main sur son sexe par-dessus le pantalon quand il avait senti que je bandais. À quoi j'ai répondu, un brin provocateur, en lui demandant pouquoi il ne s'était pas aventuré à prendre mon sexe en main, vu que j'avais défait ma braguette pour lui faciliter les choses.
À une heure fort tardive, je n'ai pu faire autrement que d'accepter de rester dormir chez lui, et dans son lit en plus, vu qu'il n'y en avait pas d'autre.
Nous étions nus tous les deux, entre hommes, après avoir un peu parlé d'un film entre hommes et des charmes certains des relations entre hommes.
L'expression entre hommes m'excitait. Entre hommes on fait ce qu'on veut, ce qui vous chante. On transgresse tous les interdits. On se laisse aller à se faire plaisir, à se donner mutuellement du plaisir. Et on se branle mieux que dans le plaisir solitaire qui m'était familier.
C'était là du moins mes fantasmes. Je me disais: pourquoi pas au fond? La chaleur était telle que j'ai repoussé le drap.
Allongé sur le ventre, fesses à l'air, je lui ai dit bonne nuit. Ce qu'il semble avoir compris comme une invitation.
Tout en me disant "Alors on dirait que ça t'a plu, le film?", il commença à me caresser la nuque, puis le dos, puis les fesses, mes fesses qui avaient plutôt tendance à s'écarter et à s'ouvrir voluptueusement sous ses caresses. Au point qu'il me demanda de les cambrer en me soulevant.
J'allais prendre sa queue en main quand il saisit la mienne. Entre hommes, on bandait ferme, car j'eus le plaisir d'avoir sa queue bien en main. On faisait coulisser, on se branlait doucement, comme dans le film. Sa queue appela ma bouche, et c'est avec délices que nous sommes sucés. Son gland frétillait dans ma bouche, le mien dans sa bouche, on se pourléchait et on se donnait bien du plaisir. Nos queues s'entendaient à merveille, complices.
Puis il me dit qu'il allait m'enfiler. Je n'ai pas pu résister au plaisir de sentir son gland s'aboucher à ma rondelle, mon œil de bronze, je sentais même mon anus se dilater à mesure. Je n'en pouvais plus, je m'offris complétement à lui. Adieu mes réserves, ça me plaisait trop.
"Depuis le temps que je rêvais de t'enculer !", me dit-il, tout en s'enfonçant toujours un peu plus. On était entre hommes, après tout, alors pourquoi se priver? Leo m'enculait, ajoutait à mon excitation en me traitant de petite salope. Ce que j'étais en effet. Il me prenait en levrette, moi l'hétéro.
On a coïté, il a joui en moi, honorant mon cul en y répandant sa semence, il a poussé un cri, moi aussi quand il m'a fait gicler. On s'est enlacés, dormant toute la nuit nus l'un contre l'autre. Au réveil, nos queues bandaient encore à se sentir encore si excitées, elles se touchaient, et on a recommencé à se faire des choses entre hommes.
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