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L'homme de Vitruve un matin de verglas

Je suis prof d'art plastique au secondaire. Certains étudiants me trouvent sexée. D'autres, moins binaires, me craignent ou me détestent, j'sais pas. Ce matin de tempête, je le savoure dans mes draps.

Proposée le 1/08/2024 par El Niño

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


L’homme de Vitruve un matin de tempête hivernale

L'homme de Vitruve un matin de verglas Une pluie verglaçante déplie son étau de glace depuis cette nuit. Comme c’est le cas les matins de tempête, j’étire le bras pour rallumer le radioréveil. Toutes les écoles de la Côte-Nord sont fermées pour la journée! Et c’est vendredi! Trois jours de congé, sans obligation de me présenter en classe! Youppie!!

C’est sans doute pour cette raison que mes élèves étaient intenables hier. Le volume d’excitation dans une classe, la veille d’une dépression, est l’indice météo qui ne trompe jamais. Je les soupçonne quand même un peu d’avoir vérifié la veille les prévisions sur leur cellulaire. Je n’ai pas d’enfant, mais je sais que ce genre d’information agit sur les gamins comme un dessert sucré avant d’aller au lit.

Par la grande fenêtre sans rideau, les épinettes argentées s’alourdissent de minute en minute et courbent l’échine sous le verglas. Le matin, je me réveille tôt, mais j’aime traînasser au lit, à réviser le programme de la journée. Ou à faire tourner le manège de mes désirs. Je procrastine à savourer ces heures paresseuses. Surtout quand elles prennent lieu et place de la classe turbulente du vendredi.

«Mon pays ce n’est pas un pays, c’est l’hiver». Ce matin, pas besoin de dégager l’entrée, de dégivrer le pare-brise et les fenêtres de la voiture, de faire tourner un moteur engourdi par le gel. Pas d’inquiétude sur l’état des routes…. Les yeux braqués vers la lucarne, je ferme donc sans remord le radioréveil et me pelotonne entre mes draps en molleton. Genoux repliés, je me réfugie sous ma grosse douillette blanche. L’igloo de mes matins paresseux.

Je dors toujours nue. Une addiction. Pour faciliter mes mouvements la nuit, car je bouge beaucoup. Un ver à choux. Un attouchement sensuel du tissu sur ma peau. Je m’y glisse, m’y pelotonne, m’y caresse. Je récompense mon corps meurtri par la journée. Je me masturbe le soir ou le matin, parfois les deux. C’est comme un rendez-vous avec mon épiderme, mon silence, mes sens. L’école me vole cette intimité dans sa cacophonie, son maelstrom. Une façon de basculer ma journée dans la marge. Avant le réveil de la page du lendemain.

Sous mon igloo par ce matin-météo, je veux savourer toutes les nuances d’un congé surprise. Écouter mes sensations. Sur le dos, le drap de contour caresse mes fesses. J’y taraude mon cul pour mieux en ressentir le contact. Arrondir légèrement l’échine pour étendre le champ des caresses. Remuer les jambes en ciseau pour amplifier l’effleurement. Ajouter même de petites torsions de côtés pour offrir les cuisses aux touchers.

Le drap du dessus frôle ma poitrine. Je joue avec les frôlements de mes bras. Il provoque une excitation immédiate de mes mamelons qui durcissent sous la caresse. Puis le plaisir me gagne le bas du ventre. J’étire le tissu d’un côté puis de l’autre pour simuler des mains attoucheuses. Le fantasme monte en petits mouvements de marée. Coincée dans mon sandwiche en molleton, j’étends les bras en croix, ouvrant les jambes à mes doigts fouisseurs.

Soudain une image me distrait, puis s’impose. Hier, dans mon cours d’arts plastiques, pour illustrer la place de l’homme de la Renaissance au centre des valeurs humanistes universelles de l’époque, j’avais préparé une leçon sur l’Homme de Vitruve, le célèbre dessin de Léonard de Vinci. Un dessin «de l’époque», ai-je répété pour amadouer mes adeptes de la nouvelle religion woke, particulièrement sensibles. Évidemment, comme prévu, quelques marmonnements ont fusé en provenance de mes deux «iels», aux identités bigarrées. Mais basta, c’est ma leçon préférée pour amorcer les techniques du portrait.

En projetant l’image sur le tableau, surprise! J’entends un léger remue-ménage suivi de petits rires. Le dessin représente un homme complètement nu, bras et jambes étendus en crucifix épousant parfaitement les contours d’un cercle et d’un carré. J’avais oublié le «détail». Au centre, le nombril et des organes génitaux on ne peut plus explicites. Merde! J’ai oublié de prévenir les petits lapins sensibles. Pourvu qu’il n’y ait pas de bigots dans le groupe pour aller se plaindre auprès de leurs parents ou de la direction. Mes deux wokes non genrés sont évidemment sortis de la classe, les yeux à l’envers et l’air consterné. C’est un dessin datant de 1492, bordel! Ce n’est pas les caricatures de Mahomet que j’expose, moi! Tant pis, j’assumerai.

- On trouve mieux que ça sur Youporn…

Une autre tuile! Je reconnais la voix. Celle de Jonas, bien sûr. Mon grand efflanqué et magnifique Jonas qui ne manque jamais une occasion de me picosser un peu sur ma tenue du jour. Tous les regards convergent vers lui. Des sourires s’allument. Je me sens piégée. Merde, ils sont de connivence. Ils ont fait le lien. Je reste bouche bée… Le malaise me gagne. Mon regard se perd dans le sien pendant une seconde interminable. Il aurait pu servir de modèle à Léonard de Vinci, le Jonas! Il a les cheveux longs, la carrure athlétique, le regard faussement sévère de … l’homme nu sur la toile…

Le souvenir enflamme mes draps. L’image du bel Adonis apparaît là-haut, ligoté au ventilateur du plafond, tournant dans un manège obscène comme une cible mouvante au jeu des fléchettes. Soumis à la loi de la gravité, ses longs cheveux pendent comme ceux du Christ sur sa croix. Son sexe au repos bat la mesure entre ses couilles. Le cœur me débat. Je ferme les yeux. J’entends encore les rires coquins de la classe et le claquement de la porte de mes deux non binaires frustrés. Un frisson me parcoure l’échine. Je respire fort.

Pour me calmer, j’étire au maximum les bras et les jambes, comme l’homme de Vitruve serti dans son cerceau. Je ferme les yeux pour chasser le trouble mais aussi pour l’accueillir. Je décide de déguster le fantasme et de créer une œuvre érotique avec mon bel ado tournicotant virtuellement au plafond. Yeux fermés et mains ouvertes, j’imprime à mes membres en étoile un mouvement de battements d’aile. L’image du sourire narquois de mon grand efflanqué s’impose. Mon corps s’enflamme.

Ainsi explosée en étoile dans mon grand lit King, j’entame avec lui une sorte de monologue. Je le veux en Homme de Vitruve coincé dans sa position cruciforme. D’un doigt accusateur, je reproche au bellâtre de se traîner les pieds, de jouer à la vedette auprès des filles. Dont je suis un peu jalouse, je crois. Il a un charme fou. Ma main gauche glisse entre mes cuisses. La main droite lui reproche ses regards insistants sur ma poitrine. Des regards adorés pourtant que je me passe en boucle le soir sur l’oreiller. Sa queue s’est raffermie et prend la pose d’un métronome battant la mesure de mes doigts.

Il vient sucer mes tétons maintenant, au lieu d’essayer de les deviner sous ma blouse. Je l’encourage à les siphonner comme un bébé. Il manque d’assurance, qui l’aurait pensé? Je lui pardonne du coup ses fautes d’orthographe, ses dessins bâclés, ses mottes de plasticine lancées dans le décolleté des filles, ses pénis dans ses copies. Pour le punir, je l’agrippe par la chevelure et lui calle la tête entre mes cuisses.

- C’est congé de verglas pour moi aussi, alors au travail.

Il est gauche. Il fait le fin finaud devant les filles, mais il ne connaît rien aux femmes. Tiens, je te montre. Tu ne restes pas scotché sur les seins, ça finit par détourner le plaisir, je ne suis pas ta maman. Alors tu descends. Pas comme en dégringolant les escaliers quatre à quatre. Tu y vas degré par degré avec un bisou à chacun. En slalomant sur le nombril, tu le mouilles de petits baisers. En petits ronds d’abord, c’est mieux au début. Puis tu agrandis l’encerclement. Les femmes adorent les approches en Sioux, discrets, suggestifs, contournant la proie. Tu tournes autour de la diligence, tu agrandis les cercles puis tu attaques. À l’approche de la fontaine, sois prudent. Pour éviter de t’y noyer. Toutes les femmes rêvent de cette curée-là. Mais toutes ne sont pas prêtes à y sauter en même temps que toi…

Je le laisse donc rôder autour de ma diligence maintenant vulnérable, sans essayer d’esquiver ses flèches. Je bois chacun de ses petits bruits de plaisir, lui ouvrant du coup un passage entre mes lèvres juteuses. Je suis son prof d’arts érotiques, son guide dans la géomatique de mon corps, et ce faisant celle de toutes les autres amantes à venir. Quand il se rappellera plus tard, il pourra en faire la cartographie dans ses rêves. Il pourra comparer mon huile sacrée à celles de mes concurrentes, car il fera des ravages, le jeune Vitruve. Je jouis du plaisir coupable de guider un bel ado dans les sentiers de la guerre génitale. J’agrandis la brèche par où l’attaquant pourra pénétrer. Ma main droite vient en soutien pour l’assaut final du bouton. Sens-moi, Jonas. Je guide tes doigts juste là, en haut de mes lèvres, pour qu’ils repèrent bien mon point G PS. Enregistre-le dans ta mémoire pour les missions à venir.

Il a compris que mon corps est entre ses mains maintenant. Ses longs doigts se déchaînent entre me cuisses, prennent ma chatte d’assaut. Je les compte dans ma tête. C’est un, puis deux, puis trois. Je cours bloquer les autres intrus et profite d’un moment de défense pour lancer en éclaireur ma main au bas de son ventre. Sa queue est brûlante. Immense! Elle doit faire 2 ou trois mains. Je la tâte, la gravis, joue avec elle, la faisant rebondir entre ses cuisses par de petits flic flac. J’en fais mon métronome. Mon métro homme. Avec un peu d’appréhension, je suppute l’espace, la longueur de la bête. Est-ce que ça peut passer? Quel beau problème!

Je contrattaque. Dans ma bouche d’abord, pour goûter au fruit oblongue. Il s’est levé à demi en position du tailleur, m’offrant son sublime éperon. Je le mesure du regard. L’homme de Vitruve version Leonardo da Vinci peut aller se rhabiller avec sa petite quéquette molle. C’est en pensant à ça que l’idée me traverse l’esprit. Je l’oblige à s’étendre en position du dessin de l’artiste florentin et me lance dans les proportions et les mesures. Les mathématiques au lit, c’est du viagra de couple. Je cours quérir un mètre à mesurer. Les matins de tempêtes, je prépare des cours aussi, vous le saviez?

Selon la théorie de Vitruve, l’ingénieur militaire de Jules César, le corps humain obéit à des normes de mensuration précises. J’ai décidé d’en vérifier quelques-uns sur mon cobaye fringant. Un prof d’arts plastiques, c’est un peu un architecte, non? Allons-y. Je me mets en danger là. Je penserai à quoi quand j’expliquerai ça à mes élèves?

1. Est-ce que la longueur des bras écartés est égale à la taille de ce jeune homme? J’allonge le ruban au-dessus de mon spécimen dénudé. Lui ayant verrouillé entre les doigts un bout du ruban, au ralenti, je vais prendre la mesure à l’autre bout. Il est tellement grand que je dois même m’étirer de tout mon long sur lui pour valider la norme. Quel beau métier que celui de géomètre! Surtout dans un corps à corps si sensuel. Il en profite au passage, le petit salaud, pour me tapoter les fesses. Est-ce moi qui abuse de la situation ou est-ce lui? Il me lèche les tétons, pince ma vulve. Même manœuvre quand vient le temps de le mesurer dans l’autre sens pour corroborer la science.

Ah que la science est belle au lit des matins de tempête! Cette fois, je me cogne le nez à sa bite. Elle est chaude et raide. Je la renifle, la mordille, la goûte, la suce. Je me l’enfonce à moitié au fond de la gorge. Trop longue pour toute la prendre. Une goutte perle à la sortie du méat. Je la lape d’un coup de langue. Dommage que l’ingénieur de César n’ait pas mis dans ses règles cette règle-là, j’y aurais passé la journée. Je note dans ma tête les mesures. Celle de sa bite et celle de sa taille. La théorie s’applique …en partie.

2. La largeur maximale des épaules doit faire un quart de sa taille. Ouin! pas sûr, mais il est jeune, le bellâtre. Vitruve avait choisi une taille d’homme idéale. Donc d’un adulte. Le mien doit suer encore un peu au gymnase pour en arriver là. Je le lui dirai peut-être dans une copie d’examen… Non… trop risqué.

3. Les distances du dessous du menton au nez et aux sourcils et à la racine des cheveux sont-elles égales aux oreilles et au tiers du visage? En plein ça. Calcul compliqué, car les mains baladeuses de mon collégien s’appliquent à mesurer la distance entre mes mamelons et mes lèvres, buccales et vaginales. Je dois lui enlever le mètre de force. C’est moi le maître. C’est bandant ce jeu. Je suis en feu.

4. De la racine des cheveux jusqu'au bas du menton, je devrais avoir un dixième de sa taille. Vérifications très utiles pour mes cours. Je ferai faire l’exercice à toute la classe. Si je réussis à me contenir, car je mouille abondamment juste à y penser. Et j’imagine mes filles tenter l’aventure avec leur petit amant… Pire, au fond de la classe, j’imagine Jonas lever la main pour demander plus d’explications!

5. Du dessus de la poitrine jusqu'au sommet de la tête, on doit trouver un sixième de la taille d'un homme. Utile aussi pour la leçon «portrait» de mon cours.

6. Depuis les seins jusqu'au sommet de la tête, c'est le quart de la taille d'un homme. À cheval sur lui, au moment d’aligner le ruban sur ses tétons, je lui demande de le faire sur les miens. L’ingénieur architecte de César l’a-t-il tenté sur ses amantes, lui pour qui c’était l’homme, le centre de l’univers. Assise en tailleur sur son ventre, il reprend 20 fois les mesures, car mes seins n’ont pas la fermeté des siens. Il doit ajuster les points de fixation à plusieurs reprises sur mes bouts en feu. Il en profite le salaud pour les pincer, les faire rouler entre ses doigts, en faire des tétines gorgées de plaisir. Je bouille.

7. La distance entre le coude et le bout de la main est au quart de la taille d'un homme. Je réussis à capturer une de ses mains pour jauger le tout pendant que l’autre tape mes fesses. Validé! Mais à quel prix, rendu là! Ses mains fouisseuses me mettent en nage.

8. La longueur de la main est un dixième de la taille d'un homme.

9. La racine du pénis aux tétons fait la moitié de la taille d'un homme. Évidemment, je me demande si le pénis doit être bandé pour vérifier ça. Alors je le pompe au cas où. J’en fais mon expérience personnelle. César n’a pas dû colliger ça dans ses mémoires. Un prof d’arts érotico-plastico, c’est un peu scientifique, non? Je vois apparaître encore un peu de jus de plaisir au bout de la pipette. Je suspends un moment l’expérience pour étirer la chose.

10. Le pied fait un septième de la taille d'un homme. Basta. J’abandonne.

Je n’en peux plus. Je veux ce pieu, ce piquet dans mon ventre. J’agrippe sa tête et la tire violemment vers mes lèvres. Je l’embrasse goulument. J’attends les coups de son bélier. Sa queue rôde autour de ma tranchée. Je m’en empare, la saisis comme un vibrant dildo. Déjà un peu de jus pointe à la sortie. Tout doucement, mon étalon. Pas question que tu gicles hors de moi, dans mes beaux draps... Viennent alors les coups de reins. Le flac flac sonore de son pubis contre le mien.

Je sens le sexe qui attend le tien, hume-moi. Lape ma chatte, mon petit chat. Entre dans ta baleine, visite-la.

Alors je guide sa langue sur mes lèvres suintantes. Il se fiche en moi, tout doucement, creuse son antre pour semer sa jeunesse dans mon ventre, me remplit tout entière. La tempête au dehors est finie. Mon incendie aussi.

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