Un petit incident qui arrive quelques fois, un cordon qui casse et tout devient compliqué pour la jeune femme. Je suis toujours disponible pour cette petite opération.
Proposée le 12/04/2024 par Furet
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Cette histoire assez incroyable m’est arrivée il y a quelques années. Nous finissions de dîner avec ma copine quand une de mes collègues, qui était aussi sa cousine se pointe . On l’invite à boire une tisane et voilà qu’elle dit à ma copine.
- J’ai un souci, mon cordon de tampon a cédé et j’ai peur de l’enfoncer en essayant de l’enlever. C’est dangereux, tu veux pas me l’enlever ?
- Ah non, moi déjà je crains pour m’en mettre un alors je touche pas à ces choses là. Il faut aller aux urgences.
- A cette heure ci ? Mais tu vas pas me laisser comme ça quand même.
C’est la que j’ai dit :
- Si tu veux, je te l’enlève, je suis un bon bricoleur
Regard foudroyant de ma copine
- Non mais tu vas quand même pas….
- On va pas la laisser comme ça.
- Il a raison dit Julie
- J’ai une longue pince genre épilatoire que j’utilise pour souder, je vais la chercher.
Un petit coup d’alcool, un coup de briquet et me voila prêt pour l’intervention, sous le regard réprobateur de ma copine.
- Mets toi sur le canapé et ôte ta culotte. Ouvre tes lèvres s’il te plaît.
J’étais très ému, Julie a un cul magnifique mais je n’étais pas là pour ça.
-Le tampon n’est pas très loi, attends, je pince un bout ; quand je te le dis, tu tousses.
Elle a toussé deux fois, et j’ai sorti le tampon,
- Voilà, il n’y a plus rien dis-je en écartant ses lèvres, c’est tout propre la dedans.
Ses lèvres étaient chaudes et douces, seuls quelques jolis poils blonds ornaient son pubis,un vrai régal.
- Bon be c’est fini oui !
- Julie s’est rhabillée, on a bu la tisane, et elle est partie. Je la croisais tous les jours au boulot, et je rêvais de revoir ce joli petit abricot tout rose, mais c’est une autre histoire.
Au coucher, ma copine m'a dit
- Tu t'es bien rincé l’œil avec Julie, t'es un sale voyeur, j'ai bien vu que tu prenais ton temps pour mieux la mater.
- Je pouvais pas faire autrement, mais maintenant c'est toi que je vais mater
Et je lui ai offert, avec le souvenir de Julie, un cunnilingus d’anthologie.
Il m'est arrivé une autre aventure avec Julie quelques jours plus tard, nous avions tous les deux un regroupement professionnel dans le sud, elle a pris sa voiture et paf! La panne, un pneu crevé.
Pas facile vous me direz, quand on est chemise et pantalon blanc genre dandy de changer une roue sans se dégueulasser les mains, d'autant plus que la sienne était pleine de cambouis.
une fois la réparation terminée, je m’apprête à monter dans la voiture coté passager quand je dis
- Putain, j'ai une envie de pisser qui me tombe et je vais me dégueulasser les fringues.
- Attends, laisse moi faire
La voila qui déboutonne mon pantalon, baisse mon caleçon et sort mon sexe qu'elle prend à pleine main.
- Allez, vas y, soulages toi!
Je sais pas si vous avez déjà pu faire pipi avec une femme qui vous tient le sexe, une collègue cousine de surcroit, mais ça ne venait pas et je sentais,malgré moi, une érection se préparer. J'ai fermé je yeux et c'est venu. Elle riait en faisant des ronds avec mon flux.
Ma miction terminée, elle a secoué et fait quelques va et vient qui ont réveillé mon sexe qu'elle a prestement rentré dans ses pénates.
- Hé ben dis donc, c'est laborieux !
- J'aimerais t'y voir toi, tu en as de bonnes! Faire pipi devant une femme qui te tient, tu imagines faire ça?
- Ça me gène pas, d'ailleurs moi aussi j'ai envie et comme tu dis, tu pourras m'y voir
Elle relève sa jupe, baisse sa petite culotte et entame une longue libération pour mon plus grand plaisir. Son affaire finie, elle me demande
- Attrapes moi la boite de Kleenex sur la dunette arrière, et sans les dégueulasser.
Je lui tends la boite, elle s'essuie en me regardant fixement puis remonte sa culotte.
- Tu vois, ce n'est pas si terrible, on est quitte, je t'ai vu, tu m'as vue, on en parle plus.
- Ah non, toi tu m'a touché, moi pas
- Tu m'as touchée l'autre jour chez toi
- Oui mas c'était médical.
Nous sommes repartis, on a trouvé une aire de repos pour se laver les mains et je lui ai dit
- Dis, tu me laisseras te toucher?
- Elle a froncé les sourcils, l’aire était déserte, elle a baissé sa culotte et je l'ai longuement caressée, jusqu'à ce qu'elle se crispe de plaisir. je lui ai dit
- Je peux te demander quelque chose?
- Quoi encore? Tu as eu ce que tu voulais.
- J'ai jamais vu tes seins, montre moi les et branles moi s'il te plait.
Elle a ouvert son chemisier et a pris mon sexe en main,doucement, avec tendresse. Je roulais son téton qui ressemblait à un petit bonbon. Nous avons joui tous les deux, il était temps, une voiture venait de se garer à proximité.
Merci Julie pour cette escapade, on s'est juré de ne jamais recommencer, mais chaque bisou du matin au boulot avait pour moi un parfum sucré, celui de sa peau.
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