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Le jour où j'ai tout vu de ma cousine

Le soleil s’abaissait doucement vers l’Ouest et Fred écoutait le bruit de la rivière en regardant sa cousine de deux ans son aînée. 19 ans, le bac en poche elle s’apprêtait à faire des études d’infirmière. Un mois de vacances à la campagne pour se reposer, oublier les tracas d’une fratrie importante

Proposée le 7/11/2023 par Furet

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Mer, piscine, plage
Type: Fantasme


Le soleil s’abaissait doucement vers l’Ouest et Fred écoutait le bruit de la rivière en regardant sa cousine de deux ans son aînée. 19 ans, le bac en poche elle s’apprêtait à faire des études d’infirmière. Un mois de vacances à la campagne pour se reposer, oublier les tracas d’une fratrie importante et dissipée.

Fred songeait en regardant ses formes au travers du maillot de bain vert une pièce qui laissait échapper, dans l’aine, quelques poils clairs et rebelles. Il ne pouvait pas s’en détacher. La courbe du bas ventre, l’absence de bosse dessous -il n’avait jamais vu de sexe de femme- tout simplement les petites cousines, mais quand ils étaient enfant, et depuis, le mystère était là. A bientôt 17 ans, il rêvait de voir à tout prix à quoi cela pouvait ressembler.

La Marie (on l’appelait ainsi) allongée sur le dos lisait un Maupassant quand soudain.
- Punaise, j’ai envie de faire pipi
- Ben tu fais comme tout le monde ; tu as la rivière là, tu fais dedans et hop !

Fred pensait en son for intérieur que le maillot mouillé lui donnerait une vue plus prononcée sur les formes de sa cousine….

- Ah non, elle est trop froide et puis depuis qu’on est au soleil, c’est mauvais de se mettre dans l’eau fraîche, on risque un malaise. Je vais aller là-bas dans les buissons, tu surveille qu’il n’y ait personne qui passe.

La Marie se dirigea vers le bord de la plagette, de l’autre côté du chemin ou une petite aire entre les buis et les broussailles devait avoir servi de cabane pour les chasseurs qui guettent les pigeons assoiffés.

Fred se leva et la suivit jusqu’à sa destination, et là elle se retourna pour faire son affaire.
- Hé, je ne t’ai pas dit de me suivre, je t’ai dit de surveiller
- Ben je surveille !

La Marie trépignait d’un pied sur l’autre, pressée par l’envie
- Tourne toi s’il te plaît, ne regardes pas

Il lui tourna le dos en effet, attendit quelques secondes et lui fit face à nouveau. Elle était là, à moins d’un mètre, le maillot baissé laissant entrevoir ses seins qu’elle cacha avec son bras.

- Hé, tournes toi, t’es un vicieux, ne regardes pas !

Il ne bougea pas, fasciné par cette scène, les yeux rivés entre les cuisses de sa cousine d’où s’échappait un flot intarissable. Elle était rouge de honte et de colère mais ne pouvait retenir son flux qui faisait le bonheur de son cousin. Son affaire finie, elle lui dit d’une voix courroucée.

-Tournes toi, je dois me rhabiller.

Il se tourna, mais au lieu de faire un demi-tour, il fit un tour complet. La cousine était en train de se relever, le bras ôté de sa poitrine pour agripper son maillot de bain et le remonter. Il eut tout le temps de contempler son triangle pubien si joliment doré et ses jolis seins de jeune femme.

- Hé, mais tu es vicieux toi, lui dit-elle en réajustant son maillot, rouge de colère et de honte d’avoir été vue dans cette situation.

Elle s’assit sur le rocher proche d’un buis en réajustant ses bretelles, et lui lança un regard incendiaire.

- Tu es un sale vicieux, je le dirai à ta mère
- Elle ne te croira pas, je dirais que c’est toi qui as fait pipi devant moi sans te cacher et tu prendras une belle gifle !

La Marie se sentit piégée, elle craignait en effet que l’affaire de la dénonciation tourne mal. Il fallait à tout prix trouver une échappatoire.

Elle fixa Fred de ses beaux yeux bleus et lui dit.
- Tu m’as regardée, je ne le dirai pas si toi tu me montres
- Te montrer quoi ?
- Ton zizi, ta quéquette comme disent les garçons.

Fred sentit sa bouche se sécher. Il avait eu une demi érection en voyant sa cousine, mais elle lui porta le coup de grâce.

- Allez-vas-y sinon je dis tout.

Fred était cramoisi, la situation se retournait et il avait peur qu’elle se moque de son sexe, de sa taille. Il avait vu ceux de quelques copains de lycée qui étaient plus gros que le sien.

Marie s’impatienta :
- Allez, fais voir
- Bon, après tout, je n’en mourrai pas….

Il s’approcha, son genou touchait celui de sa cousine. Il baissa son maillot.
- Oh ben voilà, ce n’est pas si gros que ça finalement

Ce que Marie n’avait pas dit, c’est qu’à 19 ans elle n’avait encore jamais vu de près un sexe de garçon, à part ses deux frères à la toilette dans la grande cuvette ou qui parfois faisant pipi sans grande précaution, mais ils étaient tout jeunes. Elle était là, les yeux rivés sur ce sexe à quelques centimètres.

Piqué au vif par la réflexion de sa cousine, Fred rétorqua

- Oh mais il peut devenir bien plus gros que ça !
- Comment ça ? Grossir comment ?
- Ça s’appelle bander, mais pour ça il faut voir répondit-il
- Ben voir quoi ? Qu’est-ce que ça fait ?
- Voir tes lolos
- Ben tu les as déjà vus
- Oui, mais pas assez, il faut bien les voir

Marie n’en revenait pas de cette situation qui la dépassait mais commençait à lui faire un drôle d’effet dans le bas du ventre.

- Allez, montre-moi !
- Euhhhh
- Allez, montre !
- Bon, au point où j’en suis, si c’est que ça….

Marie abaissa ses deux bretelles et libéra ses deux magnifiques seins sans quitter ce sexe des yeux. Fred sentait battre ses tempes et son sexe se dresser.

- Ben dit donc, il monte et il bat

Gêné, Fred le prit en main et commença inconsciemment un petit mouvement de va et vient

- Ça s’arrête comment ? Il va rester comme ça longtemps ?
- Ben, jusqu’à ce qu’il ait fait son jus tien !
- Comment ça ?
- Ben, on le branle et puis il jute son jus.
- Fais voir
- Je ne vais quand même pas me branler devant toi ?
- Si, tu m’as vue faire pipi, tu regardes mes seins alors tu me montres !

Fred commença doucement à s’exécuter, mais le spectacle de sa cousine torse nu, ses yeux qui dévoraient le spectacle de ses mains, son souffle qui s’accélérait en voyant ses mouvements lui donnèrent du courage.

- Fais le toi !
- Ehhhh, ça ne va pas !
- Allez, branle-moi, ce n’est pas plus grave que de regarder….
- Quand même ; te toucher

Il avança sa main, libérant à nouveau son sexe dur comme un manche de bois, prit la main de la cousine et la posa sur sa hampe ; Elle eut un mouvement de recul mais finalement enroula ses doigts autour du sexe tendu à quelques centimètres de son visage.

- Vas-y, bouge
- Il est dur
- Attends

Sans crier gare, Fred tendit le bras et prit à pleine main le sein de sa cousine. Elle eut un mouvement pour se dégager mais ne lâcha pas son sexe.

- Tu es un vicieux !
- Et toi, qu’est-ce que tu es en train de faire ?

Il tendit l’autre main et prit l’autre sein à pleine main, le souffle de Marie s’accéléra en même temps que son mouvement, et la suite ne se fit pas attendre. Un jet de sperme gicla sur l’épaule de Marie, trois autres sur son maillot replié.

- C’est dégouttant, tu aurais pu faire ça ailleurs
- Hé, c’est toi qui tenais le tuyau !
- C’est malin, je vais devoir maintenant laver mon maillot.
- Là-bas, il y a un petit bassin entre les rochers

Ils se dirigèrent vers la petite crique dans la courbe de la rivière.
- Bon, surveilles qu’il n’y ait personne dit Marie, il y a un pécheur qui est passé tout à l’heure et j’ai été assez vue pour aujourd’hui.

Marie ne lui demanda pas cette fois de se tourner, elle ôta son maillot offrant sa nudité aux yeux émerveillés de son cousin, s’agenouilla dans l’eau qui lui remontait à mi-cuisse et entreprit sa lessive de fortune. Sa tache achevée, elle lança.

- Vas chercher mon short et mon t-shirt, je ne vais pas remettre mon maillot tout mouillé pas ta connerie pour rentrer.

Il s’exécuta. La Marie sortit de l’eau telle une naïade et enfila son short et son polo, sans même se cacher. Ils rassemblèrent leurs affaires et prirent, silencieux, le chemin du retour. Légèrement en arrière, Fred regardait les fesses de sa cousine onduler au rythme de ses pas. Ils croisèrent un pécheur qui venait pour le coup du soir à la mouche.

- Fred pensa, songeur : s’il savait qu’elle n’a ni culotte, ni de soutien-gorge….

Ils ne parlèrent plus de cet épisode, jusque quelques regards gênés de temps en temps, jusqu’à l’avant-veille du départ. La mère et la sœur de Fred étaient parties pour la journée faire des courses, leur laissant la charge de son neveu de 14 mois.

Le repas pris, La Marie coucha le bambin pour la sieste et alla s’étendre sur son lit, car il faisait trop chaud dehors. Fred la rejoignit dans la chambre.

- T’es pas fâchée pour l’autre jour ?
- Non, c’est fait, c’est fait
- Tu es trop belle
- Merci, c’est gentil.
- Je peux te demander quelque chose ?
- Quoi encore dit-elle, méfiante et soupçonneuse

Fred se tourna légèrement de côté pour éviter le regard de sa cousine.
- Voilà, si tu veux, je n’ai jamais vu en vrai un sexe de femme, tu ne veux pas me montrer ?
- Mais t’es gonflé toi, et d‘ailleurs tu l’as vu à la rivière
- Oui, mais pas de près et pas en vrai
- Comment ça pas en vrai.
- Ben tu étais un peu loin, accroupie, les poils, le maillot …On ne voit pas les détails.

La Marie sentit à nouveau son ventre s’agiter. Elle lança un regard profond à Fred.

- Je dors, je dors profondément, tu fais ce que tu veux

Et elle ferma les yeux.

Fred lui toucha l’épaule et lâcha dans un souffle
- Ah ben oui, tu dors….

Il s’enhardit à relever son t-shirt au-dessus de ses seins qu’il libéra du soutien-gorge bleu clair, puis tira doucement sur son short qu’il lui ôta totalement. Puis doucement, comme pour voir un trésor, il tira sur la culotte qui céda d’autant mieux que la Marie, dont le souffle s’accélérait, avait légèrement soulevé les reins pour accompagner son geste.

Il écarta doucement les jambes de la fausse dormeuse et vit enfin ce qu’il voulait, une fente entre des lèvres gonflées. Il la contempla un moment, souffla dessus pour écarter les poils dorés, puis s’enhardit à l’ouvrir avec deux doigts.

C’était rose luisant et humide. Il approcha son nez, ça sentait bon le gel douche et une odeur douce-amère. En haut de la fente, une sorte de bouton dont il apprendrait plus tard que c’était un clitoris. Il posa un baiser dessus. Sa cousine dormeuse sursauta, se tendit et gémit.

N’en pouvant plus, il sortit son sexe et commença à se masturber, c’est là que la dormeuse ouvrit les yeux.
- Oui, vas-y, fais-le en me regardant.

Il ne se fit pas prier, et son plaisir ne tarda pas. Deux longues giclées atterrirent l’une sur les seins, l’autre sur le ventre de la cousine.

- Décidément, tu ne sauras jamais viser Juste

Fred s’essuya rapidement et s’enfuit dans la cour.

Les cousins se perdirent de vue jusqu’à un quart de siècle plus tard, au mariage d’une nièce commune.

Assis face à face à la grande table des convives, ils se regardaient parfois avec un regard absent, plongé dans le passé. La Marie avait une grande fille de vingt ans qui lui ressemblait comme deux gouttes d’eau...

Comme dans toutes les fêtes de mariage, la danse du balai les amena à danser ensemble. Alors qu’il la tenait dans ses bras, la Marie aux yeux turquoise lui murmura dans un souffle :

- Tu te souviens de la chambre ? J’avais envie de toi, tu es parti comme un voleur et je me suis caressée comme une folle, je crois que je n’ai jamais eu autant de plaisir à le faire.

Il murmura

- Quel con j’ai été de partir comme un voleur….

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Bravo, j’ai bien aimé c’est petit attouchement , très excitant même.
Posté le 10/11/2023


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