Une plage naturiste réservée aux hommes, quelle meilleure occasion pour sortir du placard et offrir ses fesses à qui se fera un plaisir de les honorer? En tout cas, ce fut ma chance et, tout simplement, ce qui m'est arrivé.
Proposée le 29/03/2024 par Sacha
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Thème: Couple, passion
Personnages: HH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie
Ce coin de plage naturiste était réservé aux hommes. Attention, je n'ai pas dit aux gays, ce n'était écrit nulle part. Mais on se doute bien que les hommes qui prenaient visiblement plaisir à la fréquenter se délectaient de se retrouver nus entre mâles, exposés à tant de regards concupiscents, comme de découvrir, entre deux rochers, la belle croupe rebondie d'un jeune homme attendant de se faire mettre.
Donc nul ne s'y aventurait sans quelque espoir secret que quelque chose se concrétise. Quelques jeunes éphèbes, seuls ou accompagnés, se prélassaient au soleil en ne cachaient rien de leurs charmes. À quelques encablures, des hommes mûrs mais dans la force de l'âge les mataient. Souvent assis pour mieux jouir du spectacle, ils dissimulaient difficilement de leurs mains ou d'un bout de serviette l'état dans lequel ce spectacle les mettait.
Il y avait des couples, mais aussi beaucoup d'hommes seuls, comme moi, qui n'étaient pas seulement venus là pour bronzer, faire trempette et rentrer bredouilles. Non, chacun rêvait de s'accoupler avec un homme, de goûter au fruit tant défendu, de mêler au sable son sperme, dans les bras d'un autre homme, comme la mer se mariait avec le soleil.
C'est à la tombée du jour, entre chien et loup, que les serviettes, qui se faisaient plus rares, avaient tendance à se rapprocher. Enfin les corps frémissants allaient pouvoir se réchauffer, s'accoupler, se caresser, se faire jouir.
Moi, j'étais seul, en sí bonne compagnie. Alors âgé d'une vingtaine d'années, mais on m'en donnait plutôt dix-huit vu mon corps svelte et glabre, sauf la toison pubienne, je pouvais enfin, sur cette plage des Landes, afficher et assumer crânemement l'attirance que j'éprouvais pour les garçons, homme que j'étais parmi les hommes qui aiment les hommes. Et comme je craignais de ne pas en faire assez pour afficher qui je suis et quels sont mes penchants si longtemps refoulés, j'en faisais trop en cambrant bien mes fesses à l'air, en tortillant un peu du cul, voire en écartant un peu les fesses lorsque je sentais les regards d'un certain monsieur fixés sur moi.
La vue de tous ces corps nus masculins, et bien membrés, m'excitait au plus haut point.
Donc les serviettes se rapprochèrent.Assez près de moi, un homme d'une cinquantaine d'années semblait se rapprocher discrétement chaque fois que je regardais ailleurs. Et je regardais souvent ailleurs, en effet, afin que mine de rien il puisse se rapprocher.
Sa serviette touchait presque la mienne, à présent. Et comme je l'avais allumé, je ne pouvais plus jouer la biche effarouchée. J'étais comme figé sur le sable, cul à l'air, statue de sel ou bel hermaphrodite. Je n'avais plus qu'à me laisser faire, jeune beauté offrant sa croupe à un mâle qu'elle faisait bien bander.
Il n'eut qu'à étendre le bras pour flatter ma croupe. Puis il se fit un plaisir d'enlever un à un tous les grains de sable qui, disait--il, me bordaient le cul d'étoiles, scintillant comme des diamants. C'est que l'homme auquel j'allais m'offrir était poète à ses heures.
Il ne lui fut pas bien difficile de découvrir mes zones érogènes, car je soupirais d'aise, je me dandinais du cul comme une gonzesse. D'autorité il m'ordonna de lever un peu le cul, encore des grains de sable paraît-il, mais juste histoire de palper mes parties intimes. Il flatta mes bourses puis empoigna ma queue d'une main ferme. Je bandais comme jamais.Il me plaqua en s'allongeant sur moi, et je sentis son sexe bien raide. Puis il m'invita à me mettre en levrette.
C'est jouissif de sentir un monsieur vous astiquer la rondelle, puis de sentir son gland s'aboucher au petit trou. Je gloussais. Je me trémoussais, mon œil de bronze s'ouvrait pour l'accueillir. Enfin un homme me baisait, me prenait par derrière, et faisait sentir sa queue en moi jusqu'au moment de lâcher sa semence tout en me faisant gicler sur le sable toute mon écume de sa main qui me branlait si bien.
Il a bien honoré mon cul, que j'avais tortillé quand la serviette se rapprochait, en vraie petite salope voulant se faire mettre, le feu au cul. Et maintenant qu'il m'avait si bien défloré et enfilé, j'en étais, de ces hommes toujours prêts à s'accoupler avec des hommes. Et pas peu fier d'en être. C'est fou comme on peut s'éclater entre hommes.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Merci en tout cas d'avoir réagi et répondu à mon message, en me faisant savoir que ce récit t'a plu. C'est toujours agréable de savoir qu'on se comprend, entre hommes attirés par les hommes, et de bander rien qu'à lire le message d'un partenaire potentiel avec qui on aurait pu faire l'amour, en fin de soirée, sur une plage.
Posté le 14/11/2024
Anonyme
Oui, c'est bien excitant et même très bandant de se retrouver entre mecs en soirée sur la plage. On a vite fait de se flairer et de baiser.
Posté le 14/11/2024
Anonyme
Belle histoire qui me rappelle de biens bons souvenirs . Moi je fréquentais les plages de Thoreilles dans le 66 surtout en soirée comme toi , c'est à ces moments que les mecs se rapprochent . Jeunes, vieux on a que l'embarra du choix de partenaires. Des bites de toutes tailles qui te font saliver rien qu'a les voir . Et quand un mec te plait , quelques caresses , suces réciproques , échange de sperme bien chaud . Pour aller un peu plus loin , les pinettes toutes proches faisait de bons paravents .
Posté le 10/11/2024
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