Anissa et son amie ont gouté et se sont rassasiées des zobs noirs des marchands qui baisent et enculent dans leurs camionnettes. Maintenant, Anissa va entrainer ses amants de couleurs chez elle dans son lit, toute la nuit, à l'aise, en absence de son mari. Sa copine Sara en fera autant.
Proposée le 29/03/2024 par DALIDA
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Mais Anissa désirait avoir des baises, non dans la camionnette mais dans son lit et à poil et pendant toute la nuit. Mais cela n’était possible que si son mari était absent de la maison au moins pour la nuit. Alors elle réfléchit et trouva un plan. Si son mari demande une promotion à la poste, vu son dynamisme au travail, elle était certaine que le siège acceptera et lui fera une formation de promotion à la capitale de quelques jours. Et ainsi elle pourra avoir des nuits libres et y amener son amant pour baiser à leur aise.
Alors, habilement, elle convainquit son mari qu’il méritait une nouvelle promotion et le poussa à en faire la demande au siège qui accepta, sans problème. Quelques jours plus tard, le siège lui programma un stage de perfectionnement de quelques jours dans la capitale. Si Omar en profita pour planifier aussi une formation pour don financier Si Tahar. Et deux jours plus tard, les deux hommes partirent à la capitale pour une semaine.
Anisa n’informa pas Sara de ce qu’elle projetait de faire de ses nuits, mais elle allait préparer son amant. Et le lendemain, comme prévu, quant les deux copines allèrent ensemble au marché pour trouver, chacune son amant dans sa camionnette, Anissa en parla à son amant. pour qu’il soit prêt pour cette nuit.
Il la regardait, surpris et soupçonnant. Elle tendit sa main et empoigna, avec lui, son zeb et commença à le branler doucement. Le zeb bondit et se regonfla en vitesse et l’homme, excité à l’extrême plongea sur la femme et pénétra sa chatte en hurlant son plaisir. Ils baisèrent comme des fous pendant un long moment et Anissa eut deux orgasmes jusqu’au moment où l’homme atteint son plaisir. Alors il éjacula trois jets chauds et puissants de sperme, en hurlant et se couchant sur la femme. Quant son zeb se calma, il le sortit et regarda Anissa qui lui souriait.
Alors il se souvint de sa proposition et il accepta mais sans savoir où elle habitait et comment il pourra la rejoindre. Elle lui dit qu’elle viendra le voir à la fin de cet après midi pour régler les détails. Il était donc d’accord et commençait à relever son pantalon pour y enfouir son zeb. Mais Anissa lui dit que sa terma était fâchée de la dédaigner et elle se retourna pour lui offrir sa large croupe et son cul. Il empoigna de nouveau son monstrueux zeb brillant de sperme et de cyprine et d’un puissant «han » de désir, il l’enfonça jusqu’aux couilles dans l’anus de la femme. Elle hurla sa jouissance et tendit encore mieux sa croupe.
Et il l’encula pendant encore dix ou quinze minutes et lui donna un orgasme continue qui irradiait même vers sa chatte. Puis il éjacula encore dans le cul d’Anissa en se collant à sa terma. Ensuite, il se retira, recula et remit son pantalon, puis il sortit de la camionnette. Anissa s’est vidée un peu au sol, puis s’est essuyé avec son grand mouchoir, s’ajusta et sortit du véhicule. Un peu plus loin, l’attendait sa copine et elles contournèrent le marché pour aller vers le marchand.
Comme d’habitude, il avait préparé un sac pour Sara et un autre pour Anissa, mais cette dernière refusa avec un clin d’œil complice qu’il comprit. Ensuite, les femmes s’en allèrent, il était plus de 11h et Sara s’étonnait du refus d’Anissa pour le sac et l’argent, mais Anissa lui répondit qu’elle n’en voulait plus et Sara ne chercha pas plus loin, elle était pressée d’aller préparer le lunch des enfants. Ensuite, près de leurs maisons, elles se séparèrent.
Arrivée chez elle, Anissa se jeta sur son lit, heureuse d’avoir mené à bien le début de son plan, et sans en avertir Sara. Elle passa la journée très excitée, prit une longue douche et s’épila le bas ventre quoique il était bien rasé comme toujours. Sa chatte était gonflée de désir et lisse et douce comme celle d’un bébé. Elle s’endormit durant une partie de l’après midi et ne se réveilla que vers 17h. Elle prépara un bon repas pour elle et son invité et à 18h elle s’habilla et sortit vers le marché.
C’était fermé partout et désertique, mais les étalages étaient là, serrés contre le véhicule et recouverts par de grandes toiles et des cartons. L’homme était assis sur une chaise devant sa camionnette et il se leva en apercevant Anissa, il ouvrit son véhicule, rentra sa chaise et referma à clé. Anissa lui fit signe de la suivre de loin quoique il n’y avait personne dans le secteur. La maison d’Anissa n’était pas très loin, pratiquement dans le même quartier mais en zone résidentielles des maisons. Elle lui montra sa maison et contourna la rue pour passer derrière, dans la ruelle étroite des poubelles. Elle avança et, avec sa clé, elle ouvrit la petite porte de derrière sa maison et entra, la laissant ouverte et par laquelle l’homme pénétra lui aussi.
Anissa était derrière, elle referma la porte à clé, laissa la clé sur la serrure et enlaça l’homme qui lui donna un grand baiser sur la bouche, tout en lui pelotant les fesses. Il y avait une sorte de petit jardin très étroit puis une autre porte s’ouvrant sur la maison. Ils entrèrent encore enlacés et se pelotant. Dans cet endroit interdit, ils se sentent excités et dès qu’ils furent dans le couloir interne, Anissa dirigea l’homme vers sa chambre.
Et, excités, ils jetèrent leurs habits pour plonger, tous nus, sur le lit. Le zeb de l’homme était déjà gonflé et la chatte de la femme coulait de désir. Alors, rapidement, elle s’étendit, dos sur le lit et souleva largement ses cuisses et le zeb de l’homme, bien empoigné, plongea dans sa chatte, presque avec violence. Elle hurla son plaisir et entoura de ses jambes, les reins du marchand. Et ils baisèrent pendant plus d’un quart d’heure, criant et hurlant leurs jouissances.
Rapidement, Anissa eu au moins deux orgasmes abondamment mouillés que l’homme respecta en sortant son zeb, puis l’enfonçant de nouveau rapidement. Et enfin, lui aussi, éjacula en puissance et abondance dans la chatte assoiffée. Après un moment d’arrêt pour souffler, ils se séparèrent. Puis Anissa se releva et demanda à l’homme de la suivre.
Elle l’amena dans la salle de bain et ils prirent une douche commune pendant la quelle, ils se pelotèrent et le zeb pénétra de nouveau la chatte insatiable. Il lui fit plusieurs vas et viens qui la firent hurler mais il n’arriva pas à l’éjaculation. Ils finirent, difficilement, leur douche et elle offrit à l’homme un des peignoirs de son mari et qu’elle avait préparé tout à l’heure, exprès. Elle aussi se couvrit de son peignoir, puis elle lui fit visiter rapidement la maison.
Dans la chambre où son mari s’enfuyait, elle voulait commenter mais préféra se taire, mais il y avait bien un
lit bien fait et prêt à l’usage, ainsi que les pantoufles devant et le pyjama de Si Omar sur le lit. L’homme remarqua cela mais ne dit mot. Puis ils allèrent à la cuisine et Anissa offrit à l’homme un bon diner.
Ensuite, ils retournèrent à la chambre et reprirent la baise. Cette fois, elle s’agenouilla sur le lit et ouvrit ses cuisses et l’homme se pointa derrière elle. C’était un spectacle formidable, la croupe de la femme, ses larges
fesses, son anus et par-dessous, les grosses lèvres de sa chatte. Il enfonça son gros zeb dans la chatte et
commença une baise lente et à vitesses modulées. Parfois il accélérait ses vas et viens et parfois, il
ralentissait presque jusqu’à l’arrêt. Anissa était au septième ciel et gémissait ou hurlait au rythme des mouvements du zeb.
Surtout quant l’homme s’enfonçait en elle et avec violence, elle agitait sa croupe et hurlait. A ce rythme, il ne résista pas longtemps et, malgré les arrêts pour les trois orgasmes de la femme, son zeb s’excitait de plus en plus et rapidement ses couilles se déclarèrent. Il éjacula en puissance plusieurs fois et resta collé aux fesses de la femme. Ensuite, il s’écroula sur le lit, à coté d’Anissa qui s’était aplatit, le ventre sur le lit. Ils restèrent ainsi un long moment, puis c’est elle qui se réveilla. Elle se redressa et oyant le zeb affaibli et couché sur la cuisse de l’homme, elle l’empoigna et commença à le lécher, sucer et branler doucement.
Le zeb se réveillait et s’allongeait progressivement et Anissa ressentait sa puissance qui grandissait. Cela l’excita encore une fois et elle continua jusqu’à ce que la bite redevienne dure, longue et prête. Alors, elle se positionna entre les cuisses de l’homme et s’assit sur son bas ventre. Elle sentait le zeb derrière dur et qui taquinait ses fesses et son anus. Alors elle se redressa un peu et avec sa main, elle poussa le zeb dans son cul puis s’assit carrément dessus.
Quant elle ressentit les poils du pubis masculin sur ses fesses, elle sut que le zeb était enfoncé, entièrement en elle. Elle commença à danser sur l’homme, à branler son zeb avec son cul, à monter et descendre avec énergie. Son amant la laissa faire pendant un long moment et quant enfin, son zeb lui répondit par ses élancements, il s’accrocha aux hanches de la femme et, le dos et les épaules bien ancrés sur le lit, il redressa et serra les muscles de son bas ventre pour démarrer une longue série rapide de coups de reins au cul de la femme.
Les deux amants étaient en phase et hurlaient leurs jouissances communes. Anissa était déchainée et le marchand accélérait les coups de son gros zeb. La chatte avait explosée plusieurs fois de ses orgasmes mais l’homme ne s’arrêtait plus. Au contraire, son corps se soulevait presque du lit, en donnant ses enfoncements énergiques de son zeb dans le cul féminin. Et, sans prévenir, il explosa de plusieurs éjaculations dans le cul d’Anissa et resta, les muscles tendus, collé aux fesses. Enfin, épuisé, il se détendit et se recoucha sur le lit. Anissa se redressa, puis s’allongea à coté de son amant, le dos sur le lit. Et ils restèrent ainsi longtemps, pratiquement étourdi, endormis.
Longtemps plus tard, l’homme se réveilla et se leva pour aller à la salle de bain. Puis, il revint et réveilla Anissa qui constata d’abord, le désastre du sperme et de sa cyprine sur les draps du lit. Elle en riait à pleine gorge lui disant que jamais, depuis qu’elle était mariée, son lit n’avait été autant pollué par du sperme masculin et de cyprine féminin. Elle était heureuse de changer les draps comme une vraie mariée qui venait de jouir avec sa chatte et son cul. Elle courut d’abord à la salle de bain puis revint et changea d’avis pour laisser les draps tels quels jusqu’au matin. Elle désirait encore baiser et faire couler de désir sa chatte et faire éjaculer le zeb de l’homme. Ils avaient un peu faim et rejoignirent la cuisine.
Ils avaient commencé à faire l’amour vers 19 ou 20h et il était maintenant 2h du matin. L’homme désirait un peu dormir car son étalage devrait être ouvert à 7h. Donc, elle pointa sa montre réveil pour 5h, afin de baiser encore au moins une heure à l’aube et libérer l’homme vers 6h. Et effectivement, ils s’endormirent, nus, les draps pollués rejetés au bas du lit. Le sommeil arriva en vitesse, tellement ils étaient épuisés. Et quant le réveil sonna à 6h, ils avaient l’impression de venir juste de dormir. Mais la chair de la femme était chaude et douce à son réveil et aux premiers touchers de l’homme, son zeb se réveilla et commençait à se gonfler.
Il se coucha sur le ventre de la femme et glissa son zeb dans la chatte, merveilleusement chaude et profonde. C’était tellement agréable et délicieux qu’il ressentait les chatouillis de ses couilles et qu’il faillit éjaculer. Mais il se retint et commença à baiser doucement Anissa qui gémissait faiblement sous l’homme. Elle l’embrassait et se serrait contre lui pendant que son zeb lui fouillait la chatte. Elle entoura ses reins de ses jambes et cuisses et l’encouragea avec ses pieds pour enfoncer encore plus, si possible, son zeb dans le fond de sa chatte. Ils baisèrent pendant plus d’au quart d’heure et elle eu tellement de jouissances qu’elle ne comptait ses multiples organes continus. Et lorsqu’elle sentit que l’homme allait éjacule, elle lui demanda de le faire dans son cul.
Alors, il se retint et se souleva un peu pour permettre à Anissa de se retourner sur le ventre et lui offrir sa terma. Rapidement, son zeb retrouva l’anus palpitant de la femme et s’y enfonça jusqu’aux couilles. Puis, il reprit ses vas et viens en s’appuyant des mains sur le lit. Il était en saillie sur la femme et cette position augmentait son désir et rapidement il explosa ses multiples éjaculations, remplissant les entrailles de la femme, sous lui. Ils restèrent ainsi, pendant que l’homme surveillait le réveil sur la table, et quant ce fut 6h moins le quart, il se dégagea et courut vers la salle de bain.
Dix minutes plus tard, il était douché lavé, nettoyé et habillé. Il courut à la cuisine pour boire le café froid, préparé depuis hier soir par Anissa. Puis il sortit de la maison, passa vers le jardin, ouvrit la porte de derrière, et s’en alla par la ruelle des poubelles et qui était déserte.
Anissa resta au lit, rassasiée de sexe par devant et par derrière, presque une nuit de noces. Elle ne se réveilla que vers midi pour se laver, nettoyer et se doucher. Puis elle préféra refaire du café chaud et un bon petit déjeuner. Ensuite, elle changea ses draps et mit les autres, pollués, dans la machine pour les laver ensuite. Il était 14h et elle savait que Sara serait seule, alors elle décida d’aller la voir. Elle sonna à la porte mais personne ne répondit. Aussitôt, Anissa pensa que Sara était allée au marché pour baiser encore. Alors elle se dirigea vers le marché tout en surveillant les alentours.
Son amant de la nuit était à son poste et il l’aperçu et répondit discrètement à son geste. Elle continua sa route et, arrivé au niveau de l’autre étalage, elle vit que c’était le jeune commis qui l’occupait, donc, Sara était dans la camionnette. Anissa contourna les étalages et alla coller son oreille sur la tôle de la camionnette du marchand. Et effectivement, les secousses du véhicule, les gémissements féminins et les « han ! han ! » des coups de zeb de l’homme étaient bien caractéristiques. Sa copine baisait avec le marchand cet après midi. Elle s’éloigna assez loin sans perdre de vue l’étalage concerné et quant elle vit le marchand rejoindre son poste, elle attendit un peu et voila Sara qui se pointait. Elle discuta avec le marchant et Anissa qu’il remettait de l’argent à sa copine qui, aussitôt s’éloigna. Anissa, d’un pas rapide, rejoignit son amie qui fut surprise.
Elle expliqua à Anissa qu’elle avait cogné à sa porte vers 10h mais personne ne répondait, Anissa était endormi profondément. Alors Sara était allée au marché mais les deux marchands concernés étaient à leurs postes. Le premier était occupé mais le second l’avait aperçue et lui avait fait signe. Elle s’est rapprochée et elle lui a promis de venir cet après midi, ce qu’elle vient de faire. Anissa lui jura qu’elle était fatiguée ce matin et endormi jusqu’à midi. Sara regarda bien sa copine et rapidement elle devina qu’Anissa avait passé une nuit agitée pour être tellement fatiguée le matin.
Arrivées à la maison de Sara, Anissa ne pouvait plus cacher ce qu’elle avait fait et Sara était au zénith de la joie. Ainsi, Anissa est allé plus loin qu’elle dans la luxure et avait invité un étranger dans son lit, toute la nuit. Elle avait envie d’en faire autant mais, à cause de ses filles, elle ne le pouvait pas. Mais elle était heureuse pour sa copine et lui a demandé de tout lui raconter, dans les détails jusqu’à l’arrivée des filles vers 17h.
Après avoir écouté avec attention et agitation, ce qu’Anissa lui a raconté, Sara était dans un état d’esprit passionné. C’était dans son caractère de désir et de liberté sexuels, même avec son mari. Elle savait et acceptait depuis toujours, que son mari Si Tahar était un grand baiseur, qu’il a toujours eu des maitresses, même parmi les femmes de ses collègues postiers et qu’il lui racontait tout sans problème. Il a même baisé, une fois, la femme d’un collègue sur leur lit conjugal en présence de Sara qui en a profité car elle est lesbienne, que Si Tahar acceptait sans gêne.
D’ailleurs, il a baisé et enculé Anissa chez elle, et en présence de Sara, qui en a profité pour amplifier ses relations lesbiennes avec sa voisine. Mais Sara aime aussi les hommes et leurs zeb, en particulier elle adore celui de son mari. Mais elle a eu aussi des amants, quatre au moins, dont deux parmi les collègues postiers de son mari, mais discrètement et sans que Si Tahar ne le sache.
Maintenant, elle à baisé avec l’un des marchands dans sa camionnette, et par deux fois, mais elle ne pourra jamais l’amener chez elle, dans son lit conjugal, jamais Si Tahar, son mari, n’accepterait cela. Si Anissa a eu l’audace et la possibilité de passer toute une nuit sur son lit avec l’un des marchands, Sara réfléchissait comment elle pourrait aussi baiser toute une nuit avec son marchand. Elle pourrait le faire chez Anissa durant ces jours d’absences de leurs deux maris, mais il y a ses filles. C’était un problème qui semblait sans solution, mais Sara était jalouse et passionnée et souvent elle ne pensait qu’à ses intérêts, et elle a trouvé une solution. Anissa étant plus jeune que Sara, elle avait des relations faciles avec les filles.
Dernièrement elles avaient trouvé et désiré faire une recette de gâteau, mais leur mère a refusé de gaspiller sa farine et son beurre. Alors Sara demanda à ses filles, discrètement, de convaincre Anissa de les inviter à passer cette nuit avec elle, dans sa maison pour faire ensemble cette recette.
Théoriquement Anissa était d’accord pour faire la recette chez elle, mais pour la nuit, cela gênait ses plans de recevoir son deuxième amant. Il était 18h passées, et elle avait projeté d’aller inviter son second amant tout à l’heure, vers 20 ou21h, pour l’amener chez elle. Mais Sara a aussi insisté car, soi disant, ce problème avec ses filles, la dérangeait depuis plusieurs jours. Elle lui a dit que ce n’est qu’à elle qu’elle peut faire confiance et confier ses filles pour la nuit, et Anissa trop confiante sur son amie, a fini par accepter.
Elle pourra toujours passer la nuit suivante avec son amant. Mais laisser la mère toute seule inquiétait les filles, alors Sara les rassura, car elle n’était pas loin et il y a le téléphone entre elles, point final. Alors, rapidement, les filles se chargèrent de prendre tous les ingrédients pour la recette et, suivant Anissa, elles s’en allèrent, toutes heureuses, chez leur voisine.
Sara, restée seule, continua son plan suivant ce qu’avait fait Anissa. Il était maintenant 19h et elle voulait inviter son amant à 21h, alors il fallait le prévenir. Elle s’habilla rapidement et rejoignit la zone du marché et toqua à la porte arrière de la camionnette qui s’ouvrit immédiatement. Le gars était torse nu et visionnait une petite télé sur batteries. Il fut bien sur, étonné de sa présence, il jeta quelques coups d’œil partout mais la zone était vide et sombre, alors il aida Sara à pénétrer son véhicule. Elle s’assit sur la grande couverture qui couvrait le sol à coté d’un lit de camp déjà installé. Il y avait aussi une table sur la quelle plusieurs aliments étaient installés.
Avant que l’homme sorte de sa surprise, Sara, rapidement prit la parole et lui explique que son mari est absent, loin en ville, et elle veut inviter l’homme à venir passer la nuit chez elle, dans son lit conjugal. Il la regardait, un peu méfiant, mais elle le rassura qu’ils seront seuls et sans danger. Puis, sans le laisser trop réfléchir, elle lui prit le bras et lui dit qu’elle allait lui montrer sa maison comment y pénétrer.
Il se vêtit de sa chemise et veste et éteignit sa télé. Puis ils sortirent et il ferma sa camionnette avant de suivre la femme jusqu’à la zone de sa maison qui était pratiquement identique à celle d’Anissa. Alors, Sara lui fit contourner le bloc et dans l’étroite ruelle des poubelles, derrière la maison, elle atteignit la porte arrière de sa maison. La ruelle était vide et sombre et Sara ouvrit la porte et fit entrer son amant dans le petit jardin et referma derrière eux. Ensuite, elle le guida vers l’intérieur de la maison. Quant il pénétra le couloir principal qui était allumé, l’homme était encore inquiet, mais Sara l’enlaça et le serra contre elle et l’embrassa goulument dans la bouche, alors, il s’abandonna à la femme.
Elle le guida directement dans la chambre et enleva rapidement ses habits et l’homme en fit autant. Son zeb n’était qu’à moitié gonflé car il était inquiet mais maintenant que le corps de la femme était devant lui, contre lui et nu, son zeb se réveillait et s’allongeait et se gonflait de désir. Il jeta la femme sur le lit et elle écarta largement ses cuisses pour lui offrir sa chatte qui mouillait depuis qu’elle avait pénétré la camionnette.
Rapidement, il lui tendit son zeb et elle l’empoigna pour le branler et le sucer et le lubrifier. Il était maintenant pressé de baiser, alors il reprit son zeb, poussa la femme sur le lit et se courbant sur elle, il poussa son zeb vers la chatte. Moite et chaude, elle l’avala sans gêne et le zeb s’enfonça en elle jusqu’aux couilles. Sara hurla sa jouissances et remercia, en pensées son amie Anissa.
Ensuite, pendant une bonne partie de la nuit, il la baisa plusieurs fois face à face et par derrière, à genoux sur le lit. Il l’encula aussi par deux fois car il aimait beaucoup les terma féminines ou masculines. Ils prirent des douches et ne se s’endormirent que tard, épuisés de plaisir et de jouissances. A l’aube, Sara le réveilla pour faire l’amour encore deux fois dans sa chatte et dans son cul, puis, à 5h passées, elle le guida vers la sortie derrière et lui promis de le rejoindre encore plus tard dans sa camionnette.
Sara retourna se doucher et se recoucher et à 7h, elle alla chez Anissa pour ramener ses filles, leur préparer le petit déjeuner avant l’école. Ensuite, elle retourna chez Anissa qui s’était recouchée, en nuisette. Elle lui raconta sa nuit avec le marchand et ce n’est qu’à ce moment qu’Anissa comprit toute l’affaire, mais elle pardonna à son amie, son ainée. Puis elles scellèrent leur amitié en faisant l’amour entre elles, avec leurs chattes, leurs bouches, langues et doigts. Elles se donnèrent plusieurs orgasmes bien mouillés et ne s’arrêtèrent que vers 11h pour aller se doucher et permettre à Sara de retourner chez elle, préparer le lunch de ses filles vers midi.
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