Affamée de sexe à cause des attitudes maladroites de son mari, et aidées par les circonstances, Anissa va se libérer totalement sexuellement et ce voyage sera pour elle, une sorte de véritable dépucelage qui va lui ouvrir de larges horizons.
Proposée le 15/03/2024 par DALIDA
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Fantasme
Anissa qui était maintenant fixée sur la braguette de l’homme, vit le grand zob bondir, sa grosse tête la première, et se mettre debout presque à la verticale, et elle eut un hoquet de surprise, de joie et d’excitation. Elle l’empoigna encore plus fortement, sentit sa chair dure et douce à la fois, et n’y tenant plus, elle se pencha sur le gros zob. Elle l’empoigna mieux, maintenant avec ses mains, soupesa sa lourdeur et sa force, ce qui l’affola encore plus de désir, et commença à le lécher, timidement, d’bord sa grosse tête et sa couronne, excitantes, puis plus bas sur sa hampe large et douce. Si Tahar glissa sa main sous la femme penchée, dans la chatte ouverte et qui coulait désir sur les doigts de l’homme et sur le slip. De son coté, Anissa essayait d’enfoncer le zob dans sa bouche et ce fut difficile tellement il était large et gros mais elle continua à le lécher et sucer sa tête. Sa grosseur et sa longueur la rendaient folle et elle se donnait quelques coups du lourd zeb sur son visage à droite et à gauche, tellement elle le désirait.
Sa main empoignait la bite qu’elle désirait depuis le début, et la serra à fond. C’était son premier zob étranger qu’elle léchait et essayait de sucer. C’était enfin, sa propriété, cette queue longue, épaisse et dure et elle la sentait dure mais vivante et trépidante, impatiente comme elle, de donner son plaisir à sa chatte. La grande main de l’homme était dans sa chatte et sa main à elle, tenait fortement un gros zob. Elle se baissa mieux et réussit enfin à enfoncer un peu le zob dans sa bouche pour, enfin, le sucer comme elle désirait. Elle le sentait lourd et doux à l’intérieur. Elle n’avait sucé auparavant que le zob de son mari, aux débuts de leur mariage et pendant peu de temps car il n’était amateur. Elle heureuse comme femme en suçant la bite dure et douce d’un homme, mais elle désirait plus et l’homme l’a compris, mais l’endroit était trop découvert. Alors, il écarta doucement la femme, reprit le volant et s’éloigna assez de la route, et enfin. il trouva un endroit, assez caché et pratiquement invisible de la route et il arrêta la voiture.
Son gros zob, hors de la braguette, était en l’air et toujours debout et gonflé et attirait encore plus Anissa, toujours nue et excitée. Elle se jeta sur le zob debout, l’empoigna de nouveau et se pencha pour recommencer à le sucer et le branler. Si Tahar était impatient de la baiser, alors en vitesse, il enleva son pantalon et son slip. Anissa était déjà nue de la ceinture aux pieds, offrant ses cuisses et sa chatte. Alors, il la fit se relever un peu et se pencher devant lui, les mains sur le tableau de bord et il se positionna bien derrière elle pour la faire assoir sur ses genoux et cuisses. Il avait hâte de la baiser dans n’importe quelle position. Le contact de cette chair douce féminine affola encore son zob qui rebondit et se raidit encore plus. Ensuite, il caressa et ouvrit les lèvres de la chatte avec une main et empoigna son zob vertical de désir avec l’autre main et l’enfonça doucement dans la chatte de la femme.
Puis il la fit s’assoir complètement sur lui, et son zob s’enfonça dans les entrailles de Anissa, jusqu’aux couilles. Elle hurla sans retenue en goutant ce total enfoncement du gros zob en elle. Puis, elle commença à gémir en continue, bien remplie par ce gros et long zob. Si Tahar, le zob bien ancré au fond de la chatte, empoigna les hanches d’Anissa et commença ses mouvements de vas et viens de la croupe, en cadence, vers le haut et vers le bas. Anissa penchée sur le tableau de bord haletait et gémissait de plaisir, en continue. Sa chatte, affamée, malgré son carême de plusieurs jours loin d’un mari trop occupé ailleurs, s’était ouverte facilement au gros zob de Si Tahar. Ce dernier haletait autant que la femme qui, maintenant aidait l’homme dans leurs mouvements de vas et viens du zob dans la chatte.
Et les bruissements mouillés que faisaient les deux sexes en se frottant l’un dans l’autre, ajoutaient à leurs jouissances. La femme gémissait en continue et hurlait même à certains coups de reins trop brusques qui poussaient le zob à la défoncer dans ses enfoncements. Elle aidait elle-même au plaisir en poussant parfois son bassin brusquement vers le zob. Elle était aux anges et gémissait et hurlait sans retenue aux jouissances. Enfin, après le long carême sexuel, elle jouissait à fond avec un gros zob. Ils étaient impatients dans cette première baise, surpris tous les deux par la rapidité silencieuse de leurs désirs communs. Une étincelle qui a allumé un brasier dans leurs organes sexuels.
Lui, surpris par son zeb qui avait bondi, rapidement et totalement aguiché par cette belle femme dont la chatte était affamée. Elle, surprise par sa chatte qui mouillait par la seule présence d’un homme et de son zob qui gonflait sa braguette, et qui la fit se dénuder sans honte ni gêne. Ils se donnaient çà fond dans cette première baise, sans tenir compte de leur environnement. Heureusement qu’ils étaient inaperçus de la route qui était, d’ailleurs, déserte depuis qu’ils avaient commencé. Leur baise brutale, impatiente avait duré environ quinze minutes et la femme a eu, depuis le début quatre orgasmes. Le premier, fort et presque involontaire fut dès le premier enfoncement à fond du zob, ensuite l’homme avait continué sans tenir compte du débordement de mouille qui inondait son zob et le sol. Et Anissa fut reprise par le plaisir sans attendre et quelque minutes après, elle eut son second orgasme, et la, l’homme sortit son zeb un moment, pour libérer le plaisir de la femme qui hurlait de jouissances.
Ensuite il s’enfonça de nouveau en elle et reprit ses vas et viens et quelques minutes plus tard, elle eut son troisième orgasme mais Si Tahar ne s’arrêta pas car lui-même commençait à ressentir ses couilles se réveiller. Et il continua jusqu’à ce que son bas ventre ressente les premiers signes des éjaculations. Il informa Anissa qu’il allait sortir son zeb pour s’éclater à l’extérieur, mais elle exigea qu’il continue car elle prenait les pilules depuis longtemps et elle avait, surtout, une envie folle sperme, de ressentir, enfin, les puissants jets des éjaculations pour la remplir jusqu’au fond. Elle avait pratiquement oublié ce qu’on ressentait au fond de la chatte. Alors, Si Tahar fonça de nouveau en accélérant ses vas et viens, et il donna un autre orgasme à la femme avant d’atteindre son top. Alors, s’accrochant aux hanches de la femme, et par un coup de reins puissant et hurlant, il projeta son premier jet puissant et abondant de sperme dans les fondements de Anissa. Elle ressentit ce premier comme une délivrance de sa chatte négligée depuis longtemps, elle le ressentit comme un dépucelage agréable et hurla de plaisir. Puis un second jet, accompagné de son coup de reins la remettait dans les jouissances continues. Une troisième éjaculation inonda sa chatte et une quatrième moins forte termina la série.
Et enfin l’homme s’arrêta en soufflant fortement sa délivrance, sa victoire, mais il resta accroché fortement à ses hanches et son zob, toujours enfoncé dans les fin fonds de la chatte. Ils restèrent un long moment ainsi, collés par leurs sexes et goutant à fond leurs jouissances.
Et même quant le zob, toujours gonflé et luisant de sperme blanchâtre et de mouille des orgasmes, sortit de la chatte, et dans un bruissement érotique sifflant, ils poussèrent, en phase un long soupir de délivrance et de contentement. La femme resta assise totalement sur le zob et sur les genoux de l’homme, malgré le sperme qui était partout. Elle était épuisée et ressentait sur ses fesses, le gros zob qui lui semblait toujours dur, gonflé et prêt à recommencer. Durant tous leurs ébats, elle n’avait pas eu l’occasion de regarder l’homme, derrière elle, et maintenant, un semblant de honte la taraudait.
Et quant elle se tourna vers lui, il la regardait avec un sourire complice et de contentement. Il allongea ses lèvres vers elle et elle accepta le baiser. Ils étaient d’accord et avaient scellés leur complicité par ce premier baiser. Ils s’embrassèrent à fond et longuement et se regardaient maintenant franchement, sans gêne ni honte. Rassasiés enfin de leur impatience sexuelle, ils savaient qu’ils avaient encore envie de baiser, mais dans d’autres positions. Ils ont constaté que la voiture était assez bien cachée et qu’avec un peu de prudence, ils pouvaient rester ici pour continuer à baiser. Il était environ 13h et ils avaient encore beaucoup de temps.
Alors Si Tahar poussa la femme à se redresser pour lui permettre de rejoindre son siège, devant le volant. Mais Anissa préféra rester debout à cause du sperme qui était dans sa chatte et sur ses fesses et cuisses. Comme ils étaient nus de la ceinture aux pieds, ce fut facile et Anissa constata que le zob de Si Tahar était encore debout, gonflé et désirable. Leurs yeux étaient suffisamment éloquents, ils allaient encore baiser. Alors, Si Tahar sortit de la voiture et avec un mouchoir, il nettoya un peu son zob. Il expliqua à Anissa de passer dans les sièges du milieu qui étaient plus larges et pratiques. Elle jeta un coup d’œil vers la route, heureusement cachée, invisible. Alors, toujours nue de la ceinture aux pieds, elle sortit de la voiture, s’accroupit pour se vider encore du sperme de sa chatte, s’essuya un peu avec son grand mouchoir, puis pénétra les sièges derrière. L’homme l’aida à s’allonger dos sur les sièges, puis il lui écarta les cuisses, lui mit une jambe sur le dos du siège avant et l’autre jambe sur le dos du siège arrière. Ainsi, Anissa était bien écartée, jambes et cuisses largement offertes, sa chatte brillante de mouille et palpitante, face à l’homme.
L’homme qui avait éteint, en partie, le feu de la chatte, par leur première baise, murmura à Anissa, qu’il allait maintenant l’enflammer de nouveau pour la baiser à fond, sans se presser. La femme approuva par un sourire complice et écarta encore plus ses trésors et redressa un peu plus son bas ventre pour s’offrir. Il se pencha sur elle, saisissant son zob, et l’enfonça cette fois, avec douceur dans la chatte et ensuite il poussa pour le glisser totalement jusqu’aux couilles. Et encore une fois, elle hurla dans le silence de la région, tellement la jouissance a été forte. Et l’homme, repris lui aussi, par le désir, les mains de part et d’autre sur le siège, redémarra les vas et viens de son zob, d’abord au ralenti, puis avec force et rapidité. Il haletait et poussait des « Ahhhh ! Ahhhh ! » de contentements. De son côté, Anissa gémissait bruyamment en continu et haletait, la gorge roque et marmonnait quelque chose.
L’homme pencha sa tête sur elle et entendit, pour la première fois Anissa lui murmurer « zid ! zid ! dakhal ! » (encore !encore ! enfonces !). Il était content d’elle. Elle était écartée, ouverte et le zob bien enfoncé en elle, alors elle jouissait et demandait plus, poussée par le plaisir et ses fantaisies, alors elle redressait un peu son torse, les coudes sur le siège, pour voir ce gros zob se mouvoir dans sa chatte. Et elle hurla de désir encore plus, de ce tableau érotique, inespéré il y a juste un jour. Elle observait cela et ses jouissances s’amplifiaient. Même les claquements des deux bas ventres étaient une source de jouissances pour elle. Les couilles de l’homme tapaient l’intérieur de ses cuisses et la rendait folle d’excitation par leur lourdeur et les frottements de leurs poils. Dans cette position, pour la première fois face à face, ils se regardaient et baisaient, les yeux dans les yeux.
Ils voyaient leurs sexes se faire plaisir, et leurs souffles, leurs halètements se confondaient. Anissa surtout, avec le zob devant elle qui se mouvait dans sa chatte, avait des sensations inédites. Elle ressentait encore mieux sa liberté sexuelle, dans la possession du zob sur sa chatte et les jouissances qu’elle recevait, dans le plaisir de s’être offerte, loin de son cocu de mari, dans le fait que, à sa façon, Si Tahar ne la baisait pas seulement, mais il la niquait, avec force. C’était comme une victoire contre ses malheurs, contre ses obligations, les exigences qui lui avaient été conditionnées par ses parents et son époux et surtout contre les isolements sexuels de son mari. C’était son premier zob étranger et elle l’appréciait comme une folle à sa mesure, gros et épais comme un bras, et long jusqu’au fond de ses entrailles. Et Si Tahar l’a baisée longtemps et à fond, à corps perdus.
L’homme haletait et criait souvent, poussé par le plaisir de son zob et la femme le suivait par ses hurlements et ses agitations. Ce fut pour eux, un temps infini où Anissa a eu, encore au moins deux orgasmes et libéré sa cyprine en hurlant. Elle pensait que c’étaient des orgasmes de femme infidèle, et elle les goutait encore plus. Elle avait complètement oublié si elle avait eu des orgasmes avec son mari dans les premiers temps de leur mariage. Mais elle savait que si elle en avait eu, ils n’avaient aucun rapport, ni en genre ni en force avec ceux qu’elle a avec Si Tahar. Les couilles de cet homme, rien qu’en les regardant ou les touchant de la main et contre ses cuisses, n’avaient aucune commune mesure, par leurs grosses dimensions, leur volume avec celles de son mari.
L’homme l’a baisée durant tout ce temps, dans cette position de liberté totale qu’elle a appréciée. Ensuite, après son second orgasme et hurlements de jouissances, Si Tahar se bloqua, bien au fond de la chatte. Elle avait cru deviner qu’il allait juter son sperme, et elle l’acceptait d’avance avec contentement. Elle voulait qu’il lui remplisse encore une fois sa chatte, mais Si Tahar n’éjacula pas. Il avait d’abord chauffé Anissa et il s’était arrêté juste pour mieux préparer la suite. La femme a eu ses orgasmes mais l’homme voulait renforcer cette baise. On voyait qu’ils aimaient baiser tous les deux presque comme de nouveaux mariés, affamés de sexe. Si Tahar voulait une baise très forte, alors il reprit ses mouvements, mais avec des enfoncements plus vigoureux qui sifflaient et qui faisaient hurler Anissa à pleine gorge, et avec des retraits rapides de son zob qui permettaient à Anissa de souffler un peu. Ils niquèrent un temps inconnu, perdus dans leurs plaisirs et jouissances.
Enfin Si Tahar se bloqua de nouveau et poussa son zeb le plus profond possible en elle. Cette fois ci, elle décida de se concentrer sur le zob et de ne rien perdre de toutes les sensations de sa chatte et du pieu qui la remplissait, de tous ses mouvements et ses vibrations. Et ainsi, elle put ressentir quelque chose de nouveau, pour la première fois de sa vie, une sorte de gonflements et d’allongements supplémentaires du zob, en prémisses de ses éjaculations, allant jusqu’à toucher le fin fond de sa chatte. Et soudain, le torrent de sperme jaillit de son zob et inonda ses entrailles. Quatre fois, il éjacula, et chaque fois en abondance et avec un coup de reins supplémentaire. Cela dénotait qu’il avait enfin atteint la pleine mesure de son désir sexuel pour cette femme qui lui offrait sa belle chatte affamée.
De son coté, elle ressentait que le zob se gonflait et semblait s’allonger encore au fond de la chatte jusqu’à atteindre son ventre et elle en était presque étourdie de bonheur. Elle n’avait jamais ressenti cela avec son mari, jamais. Après le quatrième jet, elle continuait à observer les sensations du zob assouvi. Alors elle ressentait qu’il continuait à frétiller en elle, par de petits sursauts, de petits mouvements brusques, qui ajoutaient aux jouissances de la chatte. Et ce n’est que lorsque son zob semblait s’être calmé que Si Tahar le retira de la chatte.
Alors il sortit de la voiture et resta debout, encore sous le charme de la baise. Anissa resta allongée sur les sièges, la chatte ouverte, comme une bouche affamée en espérant le retour urgent du gros zob. L’homme récupéra encore une fois son mouchoir pour se nettoyer. Son zob, que la femme regardait avidement, était énorme et brillait de sperme blanchâtre et de sa mouille. Anissa aurait souhaité le sucer et aspirer ses restes de sperme alors qu’il était encore chaud et gonflé. Elle avait encore envie de sa force, de son volume et de sa douceur dans sa chatte. Elle le voyait maintenant, encore si épais et si long qu’elle était étonnée comment sa chatte avait pu l’accepter, l’engloutir et le laisser jouer en elle sans aucune douleur ou gêne. Au contraire, elle l’avait aimé, serré en elle, obtenu des jouissances et enfin apprécié ses abondantes rasades de sperme. Elle pensait que le gros zob est une arme redoutable entre les cuisses des hommes, quant ils sont capables de savoir s’en servir, comme Si Tahar, contrairement à son mari.
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