Un pasteur et sa femme partent en Afrique convertir une tribu isolée au cœur de la jungle. Ils vont être confrontés à des aventures au-delà de leur appréhension.
Proposée le 18/09/2023 par cerisemoche
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme
L'évangélisation est le fait d'annoncer la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ et donc de faire connaître la foi chrétienne en la résurrection, celle du Fils de Dieu puis des hommes. En tant que nouveau pasteur de vingt et un ans tout juste sorti de l'institut protestant de théologie de Montpellier c'était la mission que j'avais à cœur d'entreprendre. Finir de répandre la parole de Jésus aux peuples encore dans les ténèbres me paraissait être un devoir sacré, contrairement à d'autre pasteurs et amis je n'avais pas envie de passer ma vie en France à démontrer aux catholiques que vénérer le pape, les éloignaient de Jésus. Non, moi je ne voulais pas perdre mon temps avec des idolâtres qui avaient toute les connaissances de Jésus-Christ en mains pour savoir pécher, alors que des hommes honnêtes dans des contrés reculés mouraient sans avoir eu la chance d'entendre la Bonne Nouvelle et donc de rejoindre le paradis.
Au début de mes études théologique un ami de classe me présenta sa sœur aînée qui tardait à trouver mari à son pied. Protestante, de famille protestante, son prénom ne m’étonna pas, Katharina orthographié pareillement que la femme de Martin Luther. Je me rappellerais toute ma vie la première foi que je l'aperçus dans le salon de ses parents, entrain de lire dans un fauteuil club. Je découvris alors une sublime femme de vingt cinq ans soit à cette époque sept ans de plus que moi qui allais sur mes dix neuf ans. Les derniers rayons du crépuscule qui filtrait à travers une grande porte fenêtre faisaient luire ses cheveux de feux, je n'avais encore jamais vu une telle rousseur de ma vie avec des nuances de lave volcanique. Ses longs cheveux étaient tressé en deux nattes qui s'enroulaient de chaque côté de son crane pour se joindre dans son dos dégageant un visage de toute beauté. Sous des sourcils qui ne dépareillaient de la couleur dominante, de grands yeux vert se levaient alors de son livre pour plonger avec assurance dans les miens. Elle avait un nez fin légèrement retroussé, des pommettes hautes, le tout parsemé de taches de rousseur, qui loin de l’enlaidir rajoutaient à son charme. Des lèvres pleine, une mâchoire bien dessiné, un gracieux cou, dans une robe verte foncé je ne pouvais que voir les formes généreuses de ses seins, les belles lignes de ses hanches. Je devinait sous le tissus de longues jambes galbes tant Dieu ne pouvait avoir magnifié le haut pour enlaidir le bas. J'avais déjà eu quelques émois au lycée, mais là devant elle, j'étais comme frappé par un train à grande vitesse. Elle me dit bonsoir en me faisant la bise, le cœur à tout rompre je répétais le mot comme un perroquet en sentant mes joues me brûler. Perdant mes moyens, ne pouvant soutenir une conversation, même sur le temps qu'il faisait, je repartais sur que Katharina ne voudrait plus jamais me revoir. Il n'en était rien, le coup de foudre qui m'avait frappé avait aussi touché Katharina, je ne pouvais que penser que c'était Dieu qui nous avait réuni. Deux ans plus tard devant toute notre communauté on se mariait pour le meilleur et pour le pire, j'allais découvrir plus tard que meilleur et pire peuvent se mélanger.
Mon épouse me soutenait dans mon projet d'évangéliser ceux qui ne connaissaient pas la Bonne Nouvelle, pour ne pas mettre en péril mon projet nous nous abstenions de rapport charnel. Elle comme moi refusions les moyens de contraception, Dieu ne nous avait pas créé ainsi pour que nous détournions notre nature. Sachant cas notre époque nous avions le temps d'avoir des enfants, on avait décidé d'attendre quelques années pour que je puisses me concentrer sur ma la mission que je m'étais fixé.
Beaucoup de pasteurs par le monde demandaient de l'aide pour évangéliser des autochtones, je laissais ma femme m'aider à choisir l'endroit où je pourrais être le plus utile. Après plusieurs contactes international avec des pasteurs du monde entier, suivant les conseilles de mon épouse et avec l'accord de ma congrégation, j'acceptais de prêter main forte à un pasteur Belge nommé Charles-Michel installé depuis plus de quarante ans en république démocratique du Congo. Il nous rassura mon épouse et moi sur la sécurité du pays, qui en plus de s'être grandement amélioré avait épargné de la guerre certaine région dont la sienne.
Dans l'avions qui survolait la méditerrané, j'étais à la fois excité et en anxieux, j'avais très envie de faire renter Jésus dans le cœur des hommes, mais j'avais aussi très peur de ne pas être à la hauteur. Il n'était pas si facile de faire abandonner une fausse religion à ceux qui n'avait connu que celle ci toute leur vie. De plus bien des traditions ancestrales allaient souvent à l'encontre du chemin vers le paradis. Mon épouse à mes côté tête reposé sur mon épaule me rassura, avec son amour je me sentais prêt à gravir des montagnes.
Le long vol fut une partie de plaisir à côté du périple qui nous attendait une fois sur le tarmac de Kinshasa. Le pays était pas loin de quatre fois la France, recouvert en grande partie d'une forêt luxuriante. Je n'avais jamais connue une telle chaleur étouffant et humide, alors même que notre destination était bien plus au nord quasi au niveau de l’Équateur. On changea plusieurs fois de véhicules, voiture, 4x4, bus, et même un gros camion benne chargé de passagers. Sur des routes de terre cabossés, notre avançait fut lente et chaotique. Les moustiques et autre mouches suceuses de sang vinrent s'ajouter à notre calvaire. Je m'en voulais d’infliger ça à mon épouse, mais curieuse de tout Katharina ne se plain pas une seul fois. Elle tombait sous le charme de cette étrange pays qui regorgeait de peuples, de faunes et de flores. Enfoncé dans une forêt qui nous protégeait d'un mordant soleil, après deux semaines de voyage on arrivait à destination à pieds, déposé dix kilomètre plutôt par un chauffeur qui ne voulait pas aller plus loin. De l'autre côté d'une rivière, je vis une maison au toit en tôle de fer qui rouillé par endroit, sur pilotis sans étage une silhouette nous fit signe de la main de la terrasse.
C'est une des filles du pasteur Charles-Michel absent qui nous accueillit dans sa maison perdu au bout du monde. Métisse du haut de ses dix huit ans, Thérèse était plutôt grande et svelte. Sous une boule de cheveux crépus son visage harmonieux allait la beauté des deux races, si c'est encore possible de nos jours d’employer ce terme. Des yeux marrons clair comme sa peau, un nez épaté plutôt fin, des lèvres pleines jamais avar de sourires. Sous son chemisier blanc trempé de sueur, mes yeux s'arrêtèrent un instant sur sa poitrine moyenne dont les mamelons épousaient le tissu. Elle portait un short qui dévoilait de longue jambes galbes, Thérèse avait les atours de ce que je me faisais des mannequins.
Après avoir fait connaissance, Thérèse nous conduit à notre chambre qui donnait sur l'arrière de la maison. Exténué je me serrais bien jeté sur le lit en baldaquin fermé de moustiquaires, mais je macérais dans ma sueur depuis trop longtemps, Katharina ne me laissa pas le choix. Thérèse nous donna un pain de savon et des serviettes en nous indiquant un petit chemin à prendre sur une vingtaine de mètres pour trouver une salle d'eau en plein air.
Une cascade se jetait dans un point d'eau bordé d'une clôture de bois, des pierres plates et polis servaient de carrelage. Je n'étais pas très alaise de me déshabiller en plein air, d'autant que la clôture n'arrivait même pas à mes épaules, elle devait servir simplement à éloigner les bêtes sauvages. Sans pudeur aucune, Katharina passa par dessous tête son tee-shirt, tomba son soutien-gorge, baissa pantalon et culotte. Puis sans attendre passe sous la cascade en poussant un cris de joie. Ses cheveux roux coiffé en une longue tresse épousait comme un serpent un des lourds seins, mes yeux ne purent que suivre sa direction vers une toison au nuance plus sombre. Je pouvais distinguer les contours de son intimité, il y avait pas cinq minutes je tombais de sommeil, maintenant j'étais plus que réveillé. Je dois avouer que le sexe m'avait toujours mis mal alaise, on était à l'image de Dieu néanmoins les rapports charnel nous rapprochaient bien plus des bêtes que du divin.
Mon épouse sous les rayons qui filtraient des grands arbres était de toute beauté, elle posa ses yeux verts sur moi en esquissant un sourire coquin.
— Ne soit pas timide, nous sommes mari et femme, me dit-elle. Viens approches, je vais te frotter le dos.
Je l'avais déjà reprise sur sa façon de me parler par moment, mais en cette instant je ne pouvais qu'obéir à mon aînée de femme. Cachant d'une main mon érection, je glissais sous la cascade d'eau fraîche. Le savon n'était qu'un prétexte je le savais, Katharina était d'accord avec moi pour ne pas concevoir dans les premiers années de ma mission, néanmoins elle me harcelait régulièrement pour que je la contente de caresses. Dans mon esprit de pasteur ça n'avait pas de sens, mais pour mon corps ça en devenait presque vital, face à ma sublime épouse nue, je laissais toujours le dernier l'emporter.
Je posais mes mains sur ses hanches, elle passa ses bras autour de mon cou, nos bouches se trouvèrent avec bonheur. Depuis notre départ nous n'avions pas eu un moment d'intimité, aussi je la sentis plus empressé cas l’accoutumé, sa langue passa rapidement mes lèvres. L'eau ruisselante allié à mon épouse entreprenante me fit un bien fou, je rendais le baisé avec fougue en glissant mes mains sur les fesses rondes. Mon épouse qui déjà pressait ses seins contre mon torse, appuya son pubis contre ma queue tendu. Sous la canopée raisonnant de mille bruits d’oiseaux, j'avais l'impression d'être dans le jardin d'Éden.
Je poussais ma langue contre la sienne en malaxant les fesses rondes depuis un moment quand Katharina me poussa à descendre. L'épuisement physique avait aussi affaibli mon esprit, j'avais toujours refusé de lui sucer les seins chose destiné à nos futur enfant, pourtant en ce jour sans résister je fléchis les jambes. Suçant son cou palpitant, j'entendais à travers le bruit d'eau ses soupirs m'encourageaient à continuer, léchant une fine clavicule je passais sur la naissance de la généreuse poitrine. Les doigts de mon épouse passèrent dans mes cheveux pour me guidant sur un sein, je les avais caressé mainte fois, mais ce fut rien à côté de poser ma bouche sur un mamelon quasi plat. Une bouffé de chaleur m’envahit, je ne comprenais pas que de simple attribues destiné à l’allaitement me trouble autant. Trouvant une petite éminence à sucer je la pressais entre mes lèvres, mon épouse se crispa en soupirant de plus belle, sous ma langue je sentis le mamelon pointer en durcissant.
— Caresses moi la chatte en même temps, me souffla-t-elle.
Lâchant une fesse je glissais ma main contre sa vulve, malgré l'eau fraîche qui y ruisselait je sentis bien sa chaleur accompagné d'une viscosité que j'avais découvert à notre nuit de noce. Elle m'avait appris à la caresser, aussi je passais doucement mes doigts contre sa fente, elle leva le bassin en écartant les jambes.
— Continues mon lapin c'est bon.
J'avais en horreur ce surnom, mais ne trouvais pas la force de lui en faire encore part tant tout me poussait à la contenter. Suçant le deuxième mamelon, je la pénétrais d'un doigt. Elle recula pour s'adosser à un rochet polis, la cascade dans notre dos faisait un rideau d'eau, cela m'incita à me détendre. Je passais un deuxième doigts dans son vagin qui déclencha un mouvement de bassin, suçant un mamelon je suivais le mouvement de la main. Mon épouse poussait des gémissements régulier en me caressant la tête d'une main, j'avais l'impression d'être à son service, ça me plaisais énormément. Poussant à mon tour une expiration de bonheur je me laissais porter par mes envies, mordillant le mamelon je roulais ma langue dessus avant de reprendre la succion, mon épouse gémit de plus belle. Par à-coup je sentais le vagin presser mes doigts, mon épouse n'allait pas tarder à jouir.
— Un peu plus vite mon lapin, oui comme ça continue.
Suçant le mamelon fougueusement, je faisais aller et venir mes deux doigts rapidement dans son vagin, elle haleta en ondulant du plus belle. Je pensais que mon épouse voulais jouir mais elle m'arrêta en m'agrippant le poignet. Reprenant son souffle le visage rougie, Katharina me couva d'un regard brillant de désir. Sans un mot, elle guida ma main poisseuse de son nectar vers ma bouche. J'avais le cœur à tout rompre par ce qu'elle me demandait tacitement, je sentis l'odeur entêtante de son intimité. J'aurais du lui dire qu'elle exagérait, que ça ne se faisait pas, mais déjà je suçais mon majeur. Cela m’enflamma j'avais l'impression de commettre un péché, mais ne pu m’empêcher de sucer le nectar odorant sur mes autres doigts.
— Alors mon lapin tu aimes mon jus d'amour.
— Non, menti-je en me redressant. Je n'aurais pas du me laisser aller de la sorte.
Elle ne me laissa pas le temps de reprendre mon rôle de pasteur, ses lèvres trouvèrent les miennes, sa main mes couilles. La frustration du voyage avait fait surgir une partie d'elle que je ne lui connaissais pas, mon épouse était bien plus entreprenante. Sous sa langue intrusive, Katharina malaxa rudement mes testicules, son autre main plaqué sur ma nuque me défendit de bouger. Je poussais une petite plainte qui la calma quelque peu, je me laissais allé à ces caresses un peu rude en retrouvant avec bonheur les plus belles fesses de France. Elle me dérouta, en finissant par sucer ma langue, décidément ce nouvel horizon lui donnait des ailes.
Malgré la cascade qui éclaboussait en permanence mon dos je commençais à avoir chaud. Les nouvelles caresses que me prodiguait mon épouse m'échauffait de plus en plus. Je poussais mon bassin pour lui faire comprendre de me masturber, Katharina n'en fit rien, ses doigts continuèrent à enserrer mes couilles, sa bouche à sucer ma langue. Elle me dominait, j'en pris conscience, mais la chaleur qui en découlait m’empêcha d'y mettre un terme. Mon épouse du sentir ma faiblesse, me tirant les cheveux en arrière elle plongea son regard brillant dans le mien.
— Mon lapin, ça me faire vraiment plaisir que tu me lèches la chatte.
J'avais encore en tête le goût de son intimité, ma langue brûlait de découvrir la source, ma profession de pasteur me retint.
— Nous ne devons pas pervertir l'acte de la procréation, soufflais-je.
— Alors baise moi.
— Si tu tombes enceinte je devrais repartir avec toi.
— Tu vois mon lapin, que ta langue est encore la meilleur des solutions.
Adossé contre le rochet, le visage tant rougie qu'il faisait presque disparaître ses tâches de rousseur, Katharina dévoila d'un sourire ses dents blanches, elle avait gagnait et le savait.
— Mets toi à genoux mon lapin, remercies comme il se doit ton épouse qui t'a accompagné et soutenu dans ta divine mission.
Elle dégageait dans ces moments une telle énergie sexuel qui me laissait désarmé, incapable de raison. Ses mains sur ma tête, ses yeux brillant dans les miens, suffit à me faire fléchir les jambes. Haletant, je regardais ce que l'ancien testament interdisait formellement. Des poils drus roux foncés, encadraient une fente d'une rose chair, dont les petites lèvres dépassait à peine. L'odeur entêtante bien plus que la pression de mon épouse me fit poser la bouche sur la vulve brûlante. J'eus la poitrine compressé d'une violente boule de chaleur, tout mon être exultait à ce contacte. Fébrilement je passais ma langue contre les lèvres intimes, mon épouse poussa une expiration de libération. Elle releva le bassin pour que j'enfonce encore plus franchement ma langue dans l’extrême douceur de sa fente. Emplissant ma bouche de nectar, je n'avais jamais connue un telle plaisir d'en donner. M'agrippant aux cuisses de mon épouse, je ne la quittais plus des yeux en découvrant de la langue sa vulve qui me faisait tourner la tête.
On était en plein jour, Thérèse pouvait nous surprendre à tout moment, au lieux de me calmer cela m'excita de plus belle. Mon épouse ne s'en inquiéta pas le moins du monde, ses gémissements réguliers accompagnaient le bruit de la cascade. Une main toujours dans mes cheveux, elle commença de l'autre à ce malaxer un sein.
— Tu aimes me lécher la chatte mon lapin ?
Un sourire malicieux aux lèvres, elle me tira la tête en arrière pour que je répondes. Reprenant ma respiration, ne pouvant nier l'évidence, j'avouais.
— Oui j'aime beaucoup ça.
Sans me lâcher du regard, elle descendit sa main sur son pubis, ses doigts firent ressortir au sommet de sa fente une petite boule rose pointant entre des poils. D'une pression de son autre main elle me fit poser ma bouche dessus.
— Suces délicatement mon clitoris.
En feu, j’obéissais avec joie, passant ce petit bout de chair entre mes lèvres je le suçais doucement en laissant échapper un soupir qui me fit honte. Dieu et ses commandements s'éloignaient de mon cœur, mon épouse Le remplaçais. Agenouillé entre ses cuisses, je n'avais qu'à cœur que de lui plaire. La bouche entre ouverte, poussant des gémissements crescendo, Katharina amorça un petit mouvement de bassin. Plongé dans ses beaux yeux vert qui avaient perdu toute innocence, je susurrais l'éminence puis le titillais de la langue.
— Petit coquin, tu cachais bien ton jeux, me dit-elle d'une voix suave. Sous tes airs de pasteur doctrinaire, tu as une nature libidineuse.
J'écoutais à peine ses provocations, tout mon être voulait la faire jouir, je glissais deux doigts dans son vagin qui la fit taire. S'arquant, Katharina se mordit la lèvre en m'agrippant les cheveux des deux mains, elle était déchaîné. Ses mouvements de basin devinrent saccadé, j'avais du mal à rester sur son clitoris, mes doigts se faisaient presser par son vagin.
— Si tu t'arrêtes je te tue, me cria-t-elle avant de pousser un gémissement.
J’accélérais mon doigtage, je sentais le nectar coulait sur mon avant bras, sous ma langue le clitoris en durcissant avait pris un tel volume que ça m’effraya autant que ça m'excita. J'avais l'impression de sucer un micro pénis, guidé par les soupir de mon épouse je roulais ma langue dessus, le titillais avec plus de fougue.
— Je vais venir, c'est bon mon lapin, vas-y encore un peu.
Plaquant mon visage sur sa vulve, mon épouse poussa de bruyants gémissements en ondulant de manière saccadé. À l'orgasme qui l'empotait, elle ferma les yeux, tourna la tête d'un côté. Son visage était défait par le plaisir, ses lourds seins se soulevaient à grande vitesse, son bassin était pris de tremblement. Je n'avais jamais vu mon épouse dans un telle état de béatitude. Reprenant sa respiration en me relâchant, ses yeux brillants de gratitude s'ouvrirent sur moi, toujours agenouillé je fus à cette instant le plus heureux des hommes.
— J'aurais du t'amener bien plus tôt à me bouffer la chatte, me dit-elle sans pudeur.
Son pied se posa sur ma queue tendu, je laissais échappé un honteux soupir, elle poussa son ascendance sur moi en amorçant un mouvement de vas et vient.
— On ne devrait pas faire ça, dis-je sans conviction.
Contre la paroi de roche, Katharina avec l'assurance d'une reine me contempla de toute sa hauteur, son gros orteil et son voisin enserra ma verges.
— Ça n'a pas l'air de te déplaire, me dit-elle narquoise. Tiens toi les mains dans le dos, laisse moi faire ou j'arrête immédiatement.
Le besoin de jouir était si fort que j’obéissais en baissant les yeux de honte. Les mains dans le dos, le souffle court, je posais mon visage contre la jambe encré au sol en retenant mes soupirs à l'autre qui s’activait sur ma queue. J'avais l'impression être l'esclave de mon épouse autant que de mes pulsions. Ma raison et ma foi était étouffé par mes bas instincts. Les deux orteils qui prenaient ma queue en étau m'approchaient toujours plus de la jouissance tant désiré. J'étouffais mes soupirs si peu viril sous la cuisse de mon épouse.
— Je veux te voir jouir mon lapin, montre moi ton visage, fais moi entendre ta jolie voix.
Honte et excitation se mélangeaient en moi comme deux violents courants qui manquaient de me rendre fou. J'aurais voulu être assez fort pour arrêter le jeux pervers de mon épouse. Non contant de ne pas y arriver, je laissais échappé un soupir en croisant son regard amusé de ma situation.
— Tu aimes ça être soumis à mon bon vouloir.
— Non, mentis-je.
— Mon lapin ton corps est bien plus honnête, je sens ta queue palpiter.
— Ça va trop loin.
— Tu veux que j'arrête ?
— Non.
— Bien, dit le alors.
— Continues, fais moi jouir.
— Voila qui est mieux.
Les deux orteils enserrant la queue prirent un rythme régulier, remontant sur mon gland avant descendre jusqu'à mes couilles. Perdu dans les yeux d'une déesse, je ne retenais plus mes petits bruits obscène à ses caresses indigne pour un pasteur. Je ne pus retenir bien longtemps mon bassin d'aller en contre sens des mouvements des orteils. Agenouillé aux pieds de mon épouse, les mains dans le dos, je gémis de plus belle en perdant toute retenu, je péchais mais n'y pouvais rien. Ma queue fut prise de palpitation, mon épouse accéléra en me souriant. D'un énième mouvement, elle me déclencha une puissante décharge de plaisir qui partie du bout de mes pieds pour travers tout mon corps. Je poussais un gémissement de libération pendant que ma queue déchargeait en de grand jet de foutre toute ma frustration. Mon épouse continua un instant, avant de me relever pour me donner un tendre baisé. Contre son corps chaud j'étais mortifié tant l'excitation comblé, ma honte reflua avec force. J'avais péché, je m'étais perverti, je m'étais conduit comme un dépravé. Dieu qui voit tout, devait me juger doublement coupable, moi qui était son messager sur terre. Étreignant mon épouse, je jurais intérieurement de ne plus me laisser aller. Ma mission sacré en tête, j’expirais mes fautes en faisant renter Jésus dans le cœur d'hommes resté dans les ténèbres, j'ignorais encore que l'inverse pouvait arriver.
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