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Pour l'amour de Dieu 2 (corrigé par AlexisPC)

Un pasteur et sa femme partent en Afrique convertir une tribu isolée au cœur de la jungle. Ils vont être confrontés à des aventures au-delà de leur appréhension.

Proposée le 18/09/2023 par cerisemoche

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FF
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme


Mon épouse et moi trouvions rapidement nos marques en république démocratique du Congo. Thérèse nous donna de nombreux conseilles pour faciliter notre vie dans la jungle, ce lever très tôt, faire une sieste aux heures les plus chaude, utiliser une huile essentiel pour chasser les moustiques, suspendre nos chaussures pour éviter araignée et autre insectes venimeux s'y loge, être parcimonieux avec l'eau potable. En attendant que le pasteur Charles-Michel revienne avec du ravitaillement je passais une dizaine de jours à étudier les meilleurs approches pour évangéliser les animistes. Pendant ce temps Katharina partait souvent avec Thérèse découvrir les environs, elle nous rassura en disait que léopard et autre danger serrait tenue à distance avec son fusil de chasse, elle emmenait aussi toujours une trousse de premier secours. Laissé à moi même dans la grande maison la solitude qui me faisait un peu peur était en faite agréable. Souvent sur la terrasse face à la rivière je me sentais un peu comme Robinson Crusoé ma bible était mon vendredi. Je n'avais rien promis au pasteur Charles-Michel mais en moins d'une semaine je savais pouvoir rester des années dans ce lieux qui osciller en enfer et paradis pour l'aider à répandre la Bonne Nouvelle.

En un début d'après midi quand le soleil brûlait tout ce qui n'était pas dans une ombre au lieu de faire une sieste comme à l'accoutumé je profitais de l'absence des femmes pour aller me laver. À mi chemin entre la maison et la cascade j'entendis des éclats de voix et des rires, je m'arrêtais pour tendre l'oreille. Les femmes étaient renter ça ne faisait plus de doute, je trouvais curieux qu'elles ne soient pas passé à la maison prendre des affaires de rechange. De mauvaises pensés suivirent, Katharina et Thérèse ne s'était jamais lavé ensemble cette perspective fouetta mon sang. Je n'avais aucun mal à imaginer le corps voluptueux de mon épouse, pour ce qui est de la jeune métisse la silhouette de son corps m'était maintenant familier . Élancé des seins moyens des fesses rebondis toutes européennes des jambes à n'en plus finir j'arrivais presque à me l'imaginer nue, mon esprit parfois m’effrayait bien trop éloigné de celui d'un pasteur. Je savais que ce n'était qu'une excuse mais une partie de moi avait envie de s'assurer que c'est bien elles, mes pas me conduire en vu de la cascade. Sous une accablante chaleur j'aperçus derrière la clôture qui fermait le point d'eau les cheveux flamboyant de mon épouse, ce qui m’intrigua c'est qu'ils étaient comme coiffé par des noirs crépus de la jeune métisse. La perspective pouvait me tromper elles pouvaient simplement se baigner dans l'axe de ma vision mais je notais que plus un rire ni une discutions ne résonnaient avec le chant des oiseaux, à pas de loup je m'approchais pour en avoir le cœur net. Je connais assez l'endroit pour savoir qu'un sentier montaient au sommet de la falaise, le ruisseau qui s'y jetais couvrait le bruit de mes pas. Je n'étais même pas sur qu'elles s'embrassaient pourtant je n'hésitais pas à m’approcher à quatre patte du précipice pour les épier. En contre bas à moins de cinq mètre j'eus la confirmation de mes soupçons, debout totalement nue de l'eau jusqu'à mi cuisses elles étaient enlacé l'une contre l'autre. Même si j'avais été à plus de cent mètre le contraste des peaux ne laissait plus aucune doute, mon épouse dos à moi avait son fessier d'une blancheur très clair pris par deux mains chocolat au lait. Mon cœur se serra pas de peine mais d'une vive excitation, allongé relevé sur les coudes je senti ma queue se tendre en un instant. J'aurais du rebrousser chemin puis appeler mon épouse à bonne distance pour la sermonner pourtant je restais rivé sur les deux sirènes dépareillés mais à la beauté troublante, sous la pression des doigts de la métisse les fesses de mon épouse s'ouvraient et se fermaient. J’aperçus clairement qu'elle relevait la croupe exposant son anus et une partie de sa vulve, j'en avais le souffle coupé. Mon épouse me trompait cella avait beau être avec une femme on s'était juré fidélité. Je ne ressentais pourtant aucune déception bien au contraire mon corps réagissait en dépit du bon sens, une vague de chaleur me compressa le tors. Les mains de Thérèse par mouvement giratoire s'approchèrent de la raie des fesses de mon épouse, j'entendis distinctement Katharina pousser un soupir quand les doigts passèrent sur son anus. Thérèse s'y arrêta caressant de deux doigts la rondelle en faisant pousser d'autre soupir à mon épouse, encore une fois je restais sidéré que ce geste d'une rare perversité m'enflamme de plus belle. Je me couvrais ma bouche d'une main de peur que ma respiration haletante leur parviennent. Je me comportais comme un voyeur j'en demandais pardon à Dieu mais le spectacle obscène me clouait sur place. Thérèse quitta la bouche de mon épouse pour lui sucer le cou, son majeur s'enfonça dans l'anus l'index glissa contre la fente.

— Tu me fais du bien ma belle, dit mon épouse.
— Tu n'as encore rien vu je vais te lécher le cul jusqu'à ce qu'il fonde.

Dire que le matin même devant notre petit déjeuné on rendait grâce à Dieu. J'avais plus honte de mon comportement que du leurs pourtant malgré tout je restais à regarder, l'annuaire de la métisse rejoint le majeur dans le cul de ma femme. Je me berçais des petits soupirs que Katharina poussait au vas et viens des doigts. Thérèse lui suça le cou tendrement en caressant son corps de l'autre main, elles poussaient des expirations de contentement. Le temps d'un battement de cil les yeux marron clair de Thérèse se levèrent vers les miens, le cœur prêt à sortir de ma poitrine je m’aplatissais aussitôt au sol. M'avait-elle vu je n'en savais rien mais la peur d'être percé à jour me calma quelque peu, soufflant dans mes mains comme un beauf j'hésitais à reculer pour rejoindre la maison.

Les gémissements de mon épouse me fit redresser la tête, je n'aurais jamais imaginé une position aussi obscène. Katharina ma bien aimé était allongé sur la rive, plié en deux ses genoux quasi ramené contre ses épaules, agenouillé derrière elle Thérèse maintenait son cul fasse au soleil. Elles s'étaient mise dans mon axe comme pour me donner la meilleur vu possible, la métisse s'amusait à mordiller une des fesses de mon épouse qui poussa un soupir d'énervement.

— Je paris que ton époux ne ta jamais bouffé le cul princesse.
— Il commence à peine à me bouffer la chatte je ne vais pas le brusquer.

J'en revenais pas que mon épouse parle de mes perversités, j'avais déjà du mal à assumer mes actes devant Dieu maintenant je devrais chaque jour faire face au jugement de Thérèse. Celle ci par baisé s'approcha de l'anus mon épouse qui poussa un gémissement quand la langue passa dessus. La tête reposé sur sa chevelure cuivré fermant les yeux Katharina se laissa complètement aller à la caresse buccale. Infatigable Thérèse tournais sa langue sur la rosette l'enfonçais puis recommençait, encore une fois son regard passa sur le mien une fraction de seconde. J'en fut bouleversais par un mélange de peur de honte et d'excitation qui afflua dans mon corps déjà chauffé à blanc, je restais immobile avec une main sur ma bouche pour atténué le bruit de ma respiration haletante. Perlant de sueur le visage rougie mon épouse commença à pousser des gémissements régulier, sa vulve luisante de nectar s'ouvrait comme un fleur sa toison cuivré brillait de mouille. Elle m'avais fait découvrir son goût j'avais envie de descendre les rejoindre pour la lécher, ma conscience et ma foi m’empêchèrent de devenir une bête. Pendant un moment Thérèse continua à léché l'anus en caressant les cuisses de mon épouse, d'où j'étais l'avais l'impression que l'anus se dilatait la langue y rentrait avec facilité. La métisse fini par se redresser son regard se posa sur moi, cella décupla encore mon excitation j'avais l'impression d'une tentation que le pasteur que j'étais eu du mal à rejeter. Thérèse me sourit en enfonçant deux doigts dans l'anus de mon épouse qui poussa une expiration de contentement, puis la boule de cheveux crépus me boucha la vu de la toison cuivré. Aux gémissements que poussa mon épouse nul doute qu'elle lui léchait la chatte, les yeux toujours clôt Katharina poussa d'autre bruit toujours plus obscène. J'épiais ma propre femme m'enflammant de ses infidélités, ma queue plaqué contre le sol m'en faisait mal je dus lutter pour ne pas ajouter à mes péchés celui de me masturber. Tourmenté par mes manquements de pasteur, de croyant, de mari, je haletais dans mes mains incapable d'une décision tranché.
Restant à mon poste je fus étourdi par le changement de position. Face à moi Thérèse était maintenant agenouillé entre la tête de mon épouse, je passais mon regard sur ses seins moyens qui pointaient de désir, son ventre plat perlé de sueur, restant accroché par sa toison noire taillé en triangle. J'étais si obnubilé par son sexe sous le nez de mon épouse que je sursautais quand mes yeux revinrent sur ses yeux plantés dans les miens, ses lèvres esquissèrent un sourire coquin. Sans me quitter des yeux Thérèse baissa son bassin, mon épouse passa aussitôt sa langue entre ses lèvres intimes. D'où j'étais je pouvais distinguer le rose de la langue pousser la vulve, Thérèse poussa un gémissement en amorçant un petit mouvement de bassin.

— C'est pas la première fois que tu lèches une femme.

Thérèse releva le bassin pour laisser ma femme répondre, me répondre. Je devinais que la métisse voulait me tourmenter, ses yeux marron clair posé sur moi brillait de perversité.

— J'ai fait quelques espérance au lycée.

J'en croyais pas mes oreilles, ''quelques'' donc plusieurs mon épouse avait dévié du chemin de Dieu bien avant d'arriver dans ces lieux. Disant cella elle tendit le cou pour lécher la vulve avec un plaisir certain, sous les bruits de la cascade je captait un soupir. Ondulant sur le visage rougie de plaisir Thérèse se malaxa les seins en me dévorant des yeux, elle était belle me montrait son corps sans réserve, après l'aveu de mon épouse j'étais plus en clin à la tromper.
Je déraisonnais complètement m'imaginant descendre de mon perchoir pour les baiser toutes les deux, la chaleur allié au spectacle allait me rendre fou. Thérèse commença pousser des gémissements régulier mon épouse s'activait à lui sucer le clitoris, j'aperçus le petit bourgeon étonnamment rose pointer entre les poils noirs.

— Sors ta langue ma princesse.

Thérèse ondula d'abord doucement sur la langue de mon épouse, puis peu à peu en gémissant de plus belle elle accéléra. J'avais l'impression qu'elle baisait avec la langue de mon épouse, son bassin fut prit de mouvements saccadés puis se cabrant en s'immobilisant Thérèse poussa un énième gémissement. Alors qu'elle reprenait sa respiration mon épouse lui donnait de petits baisé à l'intérieur de la cuisse, retournant dans l'eau elles s'embrassèrent tendrement. Pendant qu'elles se rhabillaient je fonçais à la maison en espérant pouvoir d'ici leur retour cacher mon érection, la bible sur la commode de ma chambre me rappela à mes obligations. Je devais me reprendre, arrêter de pécher, aider mon épouse à faire de même, j'étais un pasteur ce n'était pas un vœux pieux mais l'essence même de ma fonction.

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