Histoire Erotique

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Pour l'amour de Dieu 4 (corrigé par AlexisPC)

(Préambule au chapitre suivant) Un pasteur et sa femme partent en Afrique convertir une tribu isolée au cœur de la jungle. Ils vont être confrontés à des aventures au-delà de leur appréhension.

Proposée le 27/09/2023 par cerisemoche

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme


J'étouffais sous les tropiques, j'étais trempé de sueur, mon sac à dos me sciait les épaules, je devais faire constamment attention où je posais les pieds tant le sol était irrégulier en serpentant constamment entre mille obstacles. Armé d'un coupe-coupe et d'une boussole le pasteur Charles-Michel ouvrait la voie suivit de Thérèse puis de mon épouse, Brigitte était derrière moi fermant la marche un fusil en bandoulière. Je n'avais jamais imaginé la difficulté de marcher en forêt tropical, les végétaux formaient une toile d'araignée qui nous engluait en ralentissant chacun de nos pas, la terre sous nos pieds était parfois meuble, dure, glissante, boueuse, le tout pouvant changer tout les dix pas.
Dès les premiers rayons du soleil on avait quitté la maison chargé de vivre. Le pasteur voulait me présenter à la tribu la plus enclin à la Bonne Parole. Charles-Michel avait baptisé une dizaine hommes et une quintaine de femmes mais il fallait les ramener régulièrement sur le chemin de Dieu tant sans pasteur pour les guider ils retombaient bien vite dans les superstitions, les esprits et une myriade de Dieux qui peuplaient la jungle. Un dénommé Bokamao, le chef d'une des sept tribus était tolérant envers les étrangers m'avait raconté le pasteur avant notre départ pour rejoindre sa tribu. Si la cérémonie introduction m'était insupportable Charles-Michel était presque sur de pouvoir m'évacuer sans mal. Mon esprit bloqua sur le ''presque'' mais j'avais confiance en Dieu cela me suffisait. Réussir à sauver une âme des limbes voilà ce qui me rendait vraiment nerveux, avais-je en moi la force de toucher les cœurs de ceux qui n'avaient connue la parole de Jésus-Christ que très récemment. Ma fonction de pasteur allait être mise à l'épreuve, si j'échouais des hommes, des femmes, des enfants serraient à jamais exclu du paradis. Au moins ils comprenaient le Français, la femme de Charles-Michel avait donné des cours pendant plus d'une vingtaine d'années, les femmes le parlaient à merveille du fait qu'elles sont beaucoup plus statique que les hommes.

Je m'attendais à découvrir des hommes à moitié nu il n'en été rien, je rencontrais mon premier homme des bois en fin d'après midi, il nous surprit au détour d'un arbre. Dans la vingtaine aussi noir que la nuit, plutôt grand, il était curieusement vêtu d'un treillis militaire. Un frisson parcouru mon échine quand Charles-Michel après l'avoir salué dans son dialecte me répondit sur ce fait étrange, les hommes des bois se vêtaient de la tenue des guerriers qu'ils avaient vaincu. Des prospecteurs à la recherche d'or et de diamants me raconta alors le pasteur en suivant notre guide, avaient l'année dernière pénétré sur le territoire des sept tribus, eux comme la petite milice qui les escortés n'étaient alors plus jamais réapparu dans le monde civilisé. Je me doutais qu'ils n'avaient pas fini en prison mais je n'avais pas osé demander de précision, je devais me concentrer sur mon devoir de pasteur pas avoir peur de mon ombre. Ce qui me gêna bien plus que la disparition des prospecteurs fut que l'homme des bois qui avançait sur un sentier qu'il était bien le seul à voir s'arrêta, fit volte face et marcha droit sur mon épouse pour sans un mot lui prendre son sac à dos. Il reparti aussitôt en tête avec la même facilité à se mouvoir dans la jungle. J'aurais du le remercier, Katharina était épuisée, j'avais peur qu'elle n'attrape un coup de chaud, mais au-lieux de gratitude la jalousie me traversa, j'avais l'impression qu'il venait de me marcher sur les pieds.

La nuit commençait à tomber quand on déboucha sur une petite clairière qu'une rivière traversait. De part et d'autre du cour d'eau il y avait des maisons conique sans mur faite de feuilles superposés. Une dizaine d'enfants de tout âge jouaient à se courir après, peut être une version de chat perché. Dès qu'ils nous virent on était devenu le chat à attraper. Le pasteur Charles-Michel avait prévu une parade, de son sac il sorti de la viande séché en nous expliquant qu'il ne fallait jamais leur donner des choses sucré, leurs dents ne s'en remettraient pas. Le butin obtenu les enfants repartirent en poussant des cris de victoire. Ce que j'avais présumé à tord pour les hommes était vrai pour les femmes, elles étaient toutes seins nue cintré à la taille d'une courte bande de tissu coloré. Je fus étonné de voir pour bijoux attacher dans les cheveux de certaines des capsules de bouteilles aux marques connus mondialement. Beaucoup de femmes avaient attaché en colliers et en bracelets des plumes d'oiseaux et des petits os. Charles-Michel et ses filles les saluèrent chaudement, Brigitte leur offrir une boite rempli de capsules, à leurs yeux cela brillaient comme de l'or. Je restais avec mon épouse main dans la main à observer l'ensemble du village qui me paru bien paisible. Je ressentais ce que les Apôtres avaient du ressentir il y a deux milles ans devant des villages païens. Le besoin absolu de leur venir en aide, leur faire comprendre qu'un homme merveilleux avait donner sa vie pour notre salut. La cérémonies obscène à passer pour être accepté parmi eux m'avait fait beaucoup hésité, surtout que mon épouse était impliqué. Mais maintenant devant toutes ces âmes à sauver j'étais sur que Dieu m'avait guidé en ce lieux pour leur faire gagner son royaume céleste.

Comme nous l'avait dit Charles-Michel, les hommes ne vivaient ni ne dormaient avec les femmes. Partageant les repas de la chasse ensemble, la nuit venu ils s'éparpillaient autour du village pour ne dormir que d'un œil et gare à la créature qui tenterait de passer ce cordon. À mesure que le crépuscule tombait, les hommes des bois apparurent au goutte à goutte. À deux, à trois, pas plus de quatre, ils transportaient dans des sacs de peau ou sur leurs épaules les prises de la journée. Chasseur-cueilleur, ils ne connaissaient ni l'agriculture ni l'élevage, ils déménageaient tout les deux ou trois mois pour trouver de nouvelle ressource de nourriture. Laissant mon épouse avec Thérèse et Brigitte prêt d'un feux je suivais Charles-Michel qui me présenta aux hommes qui par leur mode de vie étaient les plus difficile convaincre d'embrasser la Bonne Nouvelle. Ils étaient jeunes c'est ce qui me frappa au premier abord, le plus vieux devait à peine atteindre les trente-trente cinq ans. La loi de la jungle n'avait jamais été aussi vrai qu'ici, c'était terrible mais en plus des maladies, des accidents, des animaux venimeux, ceux qui ne pouvaient plus chasser ne pouvaient plus manger. Charles-Michel avait passé sa vie à essayer de faire changer cette coutume sans grand succès, les hommes des bois trouvaient absurde et même vexant de nourrir ou se faire nourrir alors qu'on apportait rien à la tribu.

Pendant que je discutais avec un homme des bois, un autre de vingt-vingt cinq ans, taille moyenne, plutôt costaux, portant une tenue de camouflage alla directement parler avec mon épouse à une dizaine de pas. Ma jalousie bondi quand il toucha sa chevelure de feux, ce que bon nombre d'enfants et de femmes avaient déjà fait. Je pensais aussitôt à la cérémonies, cette épreuve que je croyais pouvoir traverser pour l'amour de Dieu me paru au delà de mes forces. Si ce simple geste de curiosité m'avait énervé, qu'est ce que je ferais quand cette même main se promènera sur le corps tout entier. Je me reprenais en pensant à toutes ces âmes qui m'entouraient. Après avoir salué plusieurs hommes je me posais devant lui la main tendu en essayant de cacher ma colère de le voir si tactile avec mon épouse.

— Bienvenue pasteur, me répondit-il en me serrant la main. Je m'appelle Bokamao chef des hommes.

Son grand sourire dévoila des dents seines, il avait des cheveux crépus mi cour, des sourcils un peu anguleux, de vifs yeux noirs, un nez épaté don les narines formaient un v, une fine moustache sur des lèvres charnues, une barbe englobant une mâchoire plutôt carré. Ajouté à un cou de taureau et une carrure de pilier de rugby, il en imposait naturellement, sa fonction lui allait comme un gant.

— Je vous remercie de nous accueillir chef Bokamao, j'espère pouvoir devenir pour vous et votre tribu un guide qui vous conduira vers la lumière de Dieu.
— Toi et ton épouse êtes les bienvenus, j'ai envoyé des hommes pour prévenir les six autre tribus. Quand leur représentant serrons tous arrivé, alors nous fêterons comme il se doit votre venue.

J'eus du mal avec son accent, il articulait mal certain son mais je compris que fête dans sa bouche voulait dire cérémonie. Je remerciais intérieurement Dieu de me laisser encore du temps pour fortifier mon âme à l'épreuve.

Assis sur un rondin mon épouse s'était endormit sur mon épaule pendant que moi et Bakamao discutions sur la bible que j'avais entre les mains. Il était très intéressé par les miracles, insistant un moment pour savoir comment Jésus avait ressuscité Lazare, je me prenais déjà à rêver de le baptiser un jour.

Les deux semaines à attendre les représentants des six tribus me fut pénible, du moins la nuit. Contrairement Charles-Michel, ses filles et mon épouse je n'étais pas autorisé à dormir dans le village. Chaque nuit Bokamao me donnait à la charge d'un de ses hommes, enfoncé dans la jungle sur une centaine de mètres je n'aurais su revenir sur mes pas tout seul. Je dépendais entièrement de mon garde du corps qui me faisait plutôt penser à un gardien, la première nuit je dormais à peine. Quand on est à l'abri dans une chambre on ne ce soucie pas des bruits d’animaux environnant, mais quand on est entre les racines d'un grand arbre à même le sol avec pour seul arme un couteau suisse il n'en va pas de même. Chaque craquement, chaque froissement de feuilles, chaque ombre que fait bouger le vent devenait pour mon esprit apeuré un grand prédateur, un serpent, une araignée. J'avais bien en tête la vipère du Gabon qui en photo était effrayante alors en visu dans la nuit, pour la première fois de ma vie j'eus du mal à m'en remettre entièrement à Dieu.
Une autre chose me faisait mal dormir, j'avais fini par voir sur les tenues des hommes des bois des déchirures recousu avec les moyens du bord. Au début je n'y avais pas prêté attention puisque dans cette jungle il était difficile de ne pas s'accrocher à quelque chose, puis je notais que beaucoup de déchirures recousus étaient au niveau du cœur. En n'y regardant de plus prêt le tissu à ce niveau s'était assombri. J'avais donc chaque nuit à mes côtés un possible meurtrier toujours armé d'une lance, d'un arc ou d'un gourdin. Ces hommes avaient les mêmes goûts que ceux de France, mon épouse attirait tout les regards, j'avais noté que certains revenaient bientôt de la chasse pour aller lui parler. Quelque peu paranoïaque, je me disais que ma mort réjouirait pas mal de monde, d'autant que plus d'un était hostile à la Bonne Nouvelle que j'enseignais chaque jour à qui voulait l'entendre. Puis une nuit seul avec mon gardien qui dormait à moins d'un mètre je réalisais que dans ce lieu coupé des lois moderne, ces hommes des bois étaient totalement libre de pencher vers le mal. Ils me permettaient de prêcher, me nourrissaient et dans un sens me logeaient. Ils étaient bon envers moi de leur propre volonté, leur nature était enclin au bien. J'eus des remords de les avoir soupçonné du pire pendant des jours. Le climat et le manque de sommeil avaient altéré mon jugement, je me repris pour enfin dormir chaque nuit sur mes deux oreilles.

Le dernier représentant des six tribus était arrivé depuis quelques jours déjà sans que débute la cérémonie, Bokamao me dit en substance que c'était aux esprits protecteurs de choisir le bon jour. Gagner du temps m’arrangeait bien, m’exhiber avec mon épouse devant tous en subissant des attouchements était quand même une sacré épreuve.
J'étais entrain d'expliquer à une dizaine de femmes et d'enfants pourquoi Jésus-Christ avait chassé les marchants du Temple quand un beau jour mon épouse vint m'annoncer que la cérémonie aurait lieux cette nuit. J'avais pris mes marques dans le village ayant déjà la certitude de pouvoir dans peu de temps baptiser certains. Une bonne partie des enfants étaient intrigué par le message de Jésus-Christ, leurs mères dès qu'elles en avaient le temps venaient m'écouter, les plus âgées comme pour les hommes ne devaient pas atteindre la quarantaine. J'eus du mal au début avec leurs seins d'autant que je n'avais plus d'intimité avec mon épouse, certaines avaient de très belle poitrine gorgé de lait. En leur présence je me concentrais sur leurs coiffes faite de capsules, de plumes, une avait même une fermeture éclaire fiché dans ses cheveux. Charles-Michel m'épaulait, à chaque fois que je buttais à leur faire comprendre un concept, mais je voyais bien qu'il restait en retrait pour que tous me considèrent comme le nouveau pasteur. J'étais à la fois flatté d'une telle confiance, mais aussi angoissé d'une telle charge. Je n'avais que vingt et un ans sans aucune expérience néanmoins j'avais la foi qui me donnait des ailes. J'avais pris la ferme décision de passer l'épreuve obscène de cette tribu, de toutes les tribus si il fallait en passer par-là. Mon épouse qui s'était un peu ensauvagé en restant pieds nues comme les autochtones était aussi bien décidé à rester, la vie dans la jungle lui plaisait de plus en plus. Elle me dit pour me rassurer sur notre épreuve à venir, que les mains des hommes des bois étaient si rugueuses qu'ils pourraient s'en servir pour poncer du bois, alors la faire succomber, impossible.
La nuit commençait à tomber, malgré toute mes résolutions je n'en menais pas large. Assis autour du feux mon épouse à mes côtés j'essayais de ne pas penser qu'un homme d'ici peu essayera de lui faire commettre l’adultère. Si je ne l'avais pas surprise avec Thérèse je lui aurais fait totalement confiance mais depuis un doute persistait, mon épouse m'avait redit plusieurs fois qu'elle me resterait fidèle sans m'en convaincre totalement. Quand à moi je n'avais aucun doute sur mes forces moral, jamais je ne quitterais le cercle pour devenir un momocou. Ne pouvant me soustraire à cette cérémonie si je voulais continuer de prêcher la Bonne Nouvelle j'allais donc m'en servir pour leur montrer à tous la conduite chrétienne à adopter.

La cérémonie ne se tenait pas au village, laissant les enfants à la garde de deux hommes, Bokamao nous invita à le suivre. Je tiltais en voyant le pasteur Charles-Michel et ses deux filles suivre le mouvement. Dans mon esprit ça me paraissait évident qu'aucun protestant n'avait envie d'assister à une cérémonie animiste d'une rare obscénité. Confus le pasteur m'expliqua en chemin que ne pas y assister offenserait les tribus. Dans leur esprit me dit-il en me tapotant une épaule, la tribu me faisaient à moi et à mon épouse un grand honneur en leur démontrant la force morale des étrangers.
On avait du marcher une dizaine de kilomètres quand la tribu s'arrêta comme un seul homme, les multiples bruits de la jungle retentissaient. Hommes et femmes tendaient l'oreille en cherchant des yeux un possible danger. Trempé de sueur, je serrais la main de mon épouse en pensant à un léopard tapis quelque par, bien que rarissime le pasteur depuis son arrivée en avait quand même vu une dizaine. Celui ci vient nous rejoindre avec ses filles, il me fit chute du doigt avant de me désigner un grand arbres à une dizaine de mètres. Suspendu aux branches je vis des sortes d'attrape-cœurs Indien, fait d'os et de liane. J'en comptais une cinquantaine de toute dimension, le plus grand devait faire ma taille. J'espérais que les os ne soit pas humain, dans le cas contraire si je réussissais l’œuvre de ma vie un jour on leurs donnera une sépulture descente.

La tribu resta immobile un moment avant de pousser des cris de joie général.

— Ils ont attendu d'avoir la bénédiction des esprits, nous dit Charles-Michel. Nous allons rentrer dans un territoire sacré, les sept tribus considèrent ce lieux comme le centre de toute vie.

Pendant que Charles-Michel nous expliquait à voix basse que les sortes d'attrape-cœurs étaient des présents pour les esprits protecteur, la tribu nous avait encerclé sans même que je les entende venir. Même si je les connaissais tous leur silhouettes dans la semi obscurité avaient quelque chose d’inquiétant.

— Avant d'aller plus loin, reprit Charles-Michel. La coutume veut que vous et votre épouse vous vous rendiez à la tribu. Ils vont vous attacher, mais ne vous inquiétez pas rien de mal ne vous arrivera. Cela fait parti de la cérémonie, c'est même son commencement.

Encore une chose que le pasteur avait omis de nous raconter, cette fois je remarquais qu'il n'avait pas l'air désolé. Son visage grassouillet que le clair de lune éclairait, affichait même une certaine excitation.

— Tu es d'accord pour qu'on nous attache, demandais-je à mon épouse.
— Oui mon lapin, me soufflât-elle à l'oreille.

Je passais mon regard sur Charles-Michel pour savoir si il avait entendu mon surnom ridicule, il ne fit rien qui le laisse penser.

— Nous nous en remettons à votre jugement, lui dis-je. Nous sommes d'accord pour nous faire attacher.

Le pasteur me sourit de toutes ses dents, il devait être soulagé lui qui cherchait depuis tant années un pasteur prêt à endurer cette cérémonie avec son épouse. La tribu qui comprenait notre langue agit aussitôt. À grands cris des mains s’accrochaient à moi me séparant sans mal de mon épouse. Je fus plaqué au sol assez rudement puis retourné sur le ventre, je donnais mes mains à attacher mais au-lieux de me les lier entre elles ils me ramenèrent les chevilles vers mes fesses. J'eus la cheville gauche attaché avec le poignet gauche et la cheville droite avec le poignet droit. Une jeune femme dénommé Marie que Charles-Michel avait baptisé en lui donnant ce prénom et une autre dénommé Rofili glissèrent leurs lances sous mes genoux pliés pour me soulever comme un sac à main. La tête en bas totalement à leur merci sous des hurlements quasi hystérique je ne pouvais que m'en remettre à Dieu.

Durant notre avancée Dieu sait où, je cherchais mon épouse à travers les multiples jambes qui me bouchaient la vue, au moins ne criait-elle pas. Les hommes poussèrent des cris de concert qui raisonna dans la nuit, ils commençaient à s'agiter, ce qui dans ma situation était assez préoccupant. Tous armés, certains tapaient de leurs gourdins sur des arbres, d'autres entre choquaient leurs lances. Il commençait à faire vraiment sombre sous la canopée que le clair d'une demi lune avait du mal à percer. Je reconnus sous ma tête des pierres sans nul doute posé de la main de l'homme. Nous gravîmes un escalier qui serpentait en montant, puis on me reposa au sol sur les genoux. Je vs soulagé mon épouse porté en travers des épaules de Bokamao, les mains attaché dans le dos elle fut déposé à mes côté. Dans le brouhaha général je m’abstenais de demander à Katharina comment ça allait, les dès étaient jetés nous étions dans la main de Dieu à mille lieux de tout civilisation.

À travers la végétation et ceux qui nous précédaient je vis l'ouverture d'une grotte mangé par la végétation. La tribu firent un arc de cercle autour de leur chef, Bokamao leur parla dans sa langue, sa tribu lui répondait en hurlant et en entrechoquant leurs armes, de vrai hooligans. Une grosse gourde fait de vessie de je ne sais quel animal passait de main en main. Je n'eus pas à attendre que le pasteur me mette le bec dans la bouche pour comprendre que tous s’enivraient. Je bus avec parcimonie une étrange boisson alcoolisé avant que Charles-Michel fasse boire mon épouse, je voyais dans ce partage un bon signe.
Bokamao continua à exciter la foule qui sautillait sur place en poussant des cris qui me parurent bestial. Le chef du parler de moi et de mon épouse car à ses mots la foule agité nous encercla, Charles-Michel s’éclipsa aussitôt avec ses filles. À cause des vêtements moderne des hommes, je m'étais peut-être un peu avancé sur leur degré de civilisation. Continuant à pousser des cris de concert, les hommes et les femmes qui nous cernaient affichaient clairement de l'hostilité. Des coups de lances virent frapper le sol à quelques centimètres de mes genoux, je sentis au dessus de ma tête le vent fouetter par un gourdin. Sous cette pression mon épouse vint se blottir contre moi, ils pouvaient nous massacrer à tout moment. J'hésitais à demander à Bokamao qui hurlait avec les autres si ça faisait parti de la cérémonie ou si nous les avions offensé d'une quelconque manière. Ma peur me rendit muet, je n'arrivais même plus à le regarder dans les yeux, ni lui, ni aucun de la tribu femme comprise.
J'essayais de calmer ma peur, mais à un énième coup de lance qui frôla mon mollet, ma peur s'emballa pour de bon. Je tirais sur mes liens instinctivement se qui me fit basculer sur le dos. Le cœur au bord des lèvres je poussais un cris à un coup de gourdin qui s’écrasa à un cheveux de mon crane. La foule poussa alors un hurlement qui sonnait à mes oreilles comme une victoire, ils voulaient me faire peur et ils y étaient arrivé.
Sautillant toujours sur place le cercle d'hommes et de femmes s'ouvrir sur l'entrée de la grotte. Des torches furent allumés, Bokamao don j'arrivais à identifier la voix parla un moment dans sa langue. Sa tribu lui répondait en cœur de ce qui devait être chez nous des hourras, Bokamao reprit sur ses épaules mon épouse. Rofili et Marie en firent de même avec moi. Les flammes des torches illuminaient l'entré d'une grotte peinturluré d'une multitude d'empreinte de mains, à mesure de notre avancé des peintures d'animaux suivirent puis des hommes. La tête en bas avec une foule qui m'entourait en sautillant et en poussant des cris ne me permis pas de comprendre tous les dessins ou Dieu sait alors que j'aurais demandé à ce qu'on me détache pour quitter cet endroit à tout jamais.

Je ne sais combien de temps dura ma descente et monté sous terre j'avais l'impression de faire les montagnes russe, à certain passage élevé on me passé comme un bagage. Les deux lances glissé sous mes genoux commençaient à me faire mal quand le conduit peinturluré donna sur l’extérieur. Prenant un bol d'air pur je pouvais voir le quartier de lune qui baignait le lieux d'une atmosphère mystérieuse. On devait se trouver dans une faille géologique, j'arrivais à distinguer au-dessus des falaise qui nous entouraient la silhouette d'arbres découpé par une myriade d'étoiles. J'entendis un bruit d'eau, une rivière peut-être. Les deux femmes me déposèrent sur le dos, je me trouvais toujours aussi ridicule les poignets attachés aux chevilles mais si il fallait en passer par là pour être accepté parmi eux ce n'était pas cher payé. De ce que les flammes des torches illuminaient la paroi la plus proche montait telle un mur de plusieurs dizaine de mètres, des cavités dans la roche servirent de brûlot. À mesure que la tribu s'éparpillait des feux espaçaient de quelques mètres jaillir contre les parois. Je pu constater que c'était bien une faille géologique qui devait être longue d'un kilomètre ou plus, et large d'une centaines de mètre. Cela formait un losange étiré traversé par un ruisseau. J’aperçus mon épouse les mains toujours attachés dans le dos, Bokamao la portait en travers de ses épaules comme les grosses proies que les hommes des bois ramenaient de la chasse. Le chef de la tribu la déposa à quelques mètres de moi, d'un regard Katharina me dit que tout allait bien. Ses cheveux cuivré ramené en chignon dégageait un visage serein, avec ses tâches de rousseur illuminé par des flammes me faisant penser à un léopard. Je pris conscience que ce n'était pas l’insouciance qui la définissait le mieux, mais l'assurance. Même attachée au milieu d'une tribu sauvage, Katharina gardait l'assurance d'un grand félin. Mon aînée de sept ans me donna de ses beaux yeux vert un peu de son courage, ensemble et avec l'aide de Dieu nous traverserons l'épreuve sans mal.

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