Puisque je n'en fais rien, pourquoi ne pas vous le partager. Si ça vous plait, je posterai la suite :) Je précise que ce récit est fictif. Une soumise arrive dans un château pour rejoindre son maître et rencontre des personnages et traverse des événements pour la faire évoluer dans sa soumission...
Proposée le 14/08/2023 par Amy-Lee
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: SM, bondage
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme
Je ne connais pas cet endroit, je sais juste que j'ai reçu un message de lui, me demandant de venir à cette adresse pour 20h.
Je suis en retard…
J'ai toujours été lente à me préparer et ne sachant pas ce qui m'attendait, c'est comme si le stress m'avait empêchée de me dépêcher. Je suivais mon GPS en essayant surtout de ne pas me tromper de chemin. Quand j'ai entendu "Vous êtes arrivée à destination.", je me suis garée et je me suis retrouvée devant un grand portail. Je l'ai passé et j'ai traversé le jardin (ou devrais-je dire le parc) à pieds, en essayant de ne pas trébucher avec mes talons comme je le fais si souvent.
Je ne pouvais pas porter de sous-vêtements et il avait exigé que je porte une robe avec des bas, pas de gaine ni de shorty par-dessus comme je le faisais toujours pour essayer de cacher mes formes. Je m'étais évidemment rasée, comme à chaque fois que j'avais rendez-vous avec lui. J'avais opté pour des boucles dans mes cheveux et je m'étais maquillée de façon sobre et élégante.
Le soleil était déjà en train de se coucher et, un peu apeurée, j'essayais tant bien que mal de suivre l'immense sentier qui menait droit vers la cour, là où se trouvait la porte d'entrée du manoir.
Tout autour de moi, je pouvais voir des fontaines, des statues, des arbres et des chemins qui menaient plus loin dans le domaine. Celui-ci devait faire plusieurs kilomètres carrés!
Quand je suis arrivée dans la cour, après avoir passé un autre portail, je vis un grand bâtiment en forme de U tout autour de moi. Toutes les fenêtres étaient éclairées. Ne sachant où aller, je me suis dit que je devrais certainement monter ce grand escalier qui se trouvait devant moi donnant sur une porte principale un peu plus grande que les autres. Il n'y a pas de sonnette, seulement un heurtoir. Je le prends et frappe 3 fois. J'attends.
J'entends des bruits qui proviennent de l'autre côté de la porte et, tout d'un coup, elle s'ouvre.
Deux femmes et un homme que je ne connais pas me regardent. Ils sont grands, beaux et extrêmement élégants.
Je me sens vraiment honteuse avec ma robe achetée dans une friperie du quartier… Mais c'est tout ce que j'ai à porter, je ne mets jamais de vêtements de grande marque.
-"Bonsoir, mademoiselle. Entrez, je vous en prie.", dit l'homme.
J'entre, je suis extrêmement gênée. J'ose demander:
-"Qui êtes-vous?"
Une des deux femmes me répond:
-"C'est très impoli de ne pas nous saluer et d'oser tout de même nous demander notre identité, le savez-vous, jeune fille? Votre maître en sera informé. De plus, cela n'a aucune importance. L'important c'est que votre maître vous attend déjà, et que vous êtes en retard."
Je rougis et je bafouille, quelle idiote je fais…
-"Je… Je suis désolée, je ne voulais pas…"
-"Assez de bavardage, vous avez la langue bien trop pendue", me répond la deuxième femme.
Entre temps, ils avaient traversé plusieurs pièces de la demeure à grands pas et j'essayais de les suivre, tant bien que mal, courant presque, en essayant à tout prix de ne pas tomber devant tout le monde. Au fur et à mesure que je progressais dans le manoir, je pouvais voir que d'autres personnes s'y trouvaient, jeunes et moins jeunes, hommes comme femmes. Certains mangeaient, d'autres buvaient un verre ou discutaient…
Ils dégageaient tous une allure naturellement classe, de par leurs tenues et leurs attitudes. Ils me dévisageaient tous comme si j'étais une petite chose bizarre et sans grand intérêt. Pas étonnant, vu ce à quoi je devais ressembler en cet instant: une lilliputienne rougissante, essoufflée et bégayante presque en train de courir pour essayer de suivre trois géants parfaitement à leur aise dans ce magnifique endroit.
Cette propriété devait certainement avoir un grand intérêt historique, malheureusement, je n'osais même pas penser à m'arrêter pour admirer la beauté des lieux, ayant trop peur des conséquences. Je pus également entendre qu'on jouait une musique de style baroque/ époque victorienne. J'aimais ce genre de musique, je trouvais cela vraiment agréable à écouter.
Tout à coup, mes hôtes s'arrêtèrent devant une porte, l'ouvrirent, me dirent d'entrer, ce que je fis. Une femme m'attendait à l'intérieur, elle avait une allure familière mais elle portait un masque, je n'étais donc pas sûre de savoir à qui j'avais affaire.
-"Bonjour Amy", me dit-elle.
Je connaissais cette voix, je l'avais déjà entendue, plusieurs fois même.
J'aurais voulu demander à cette personne qui elle était, pourquoi j'avais l'impression de la connaître, ce qu'il se passait, pourquoi j'étais ici, mais par-dessus tout, je voulais lui dire que j'avais peur, mais je ne le fis pas.
Les trois géants m'avaient suivie dans la pièce et ils avaient l'air de s'impatienter.
-"Tu ne salues pas cette dame non, plus, visiblement. Ton maître ferait bien de t'apprendre les bonnes manières.", dit l'homme.
-"Bo… Bonjour Madame."
-"Laisse-la tranquille, répondit la 3ème femme à l'intention de l'homme, tu vois bien qu'elle est terrifiée. Ecoute Amy, je sais que tu as peur et que tu ne comprends pas ce qu'il se passe mais je connais ton maître, et tu le connais aussi, tu sais qu'il ne fera jamais rien qui te serait préjudiciable. Il a préparé tout cela pour toi ce soir pour que tu arrives à dépasser tes limites physiques et psychologiques et pour que tu puisses aller plus loin dans ta soumission. Aies simplement confiance en lui et tout ira bien."
Et elle m'embrassa. Je connaissais ces lèvres, leur façon tellement agréable de m'embrasser, pourquoi n'arrivais-je pas à me rappeler qui était cette femme?
Tout d'un coup, un bandeau fut placé sur mes yeux. Je sursautais de surprise, ne m'attendant pas à cela. Une main caressa doucement mon bras, comme pour me rassurer. Puis, je sentis 4 mains qui commencèrent à m'enlever mes chaussures. Une fois qu'elles furent enlevées, je les enjambais. Ensuite, les 4 mains enlevèrent ma robe. Par réflexe, je cachais ma poitrine et mon sexe. N'ayant pas pu porter de sous-vêtements, mon intimité était exposée à ces 3 femmes et à cet homme dont j'ignorais l'identité. Je ne voulais pas qu'ils me voient, je ne voulais pas qu'ils puissent me regarder alors que je ne les voyais pas. Qui sait quelles pensées lubriques ils pouvaient avoir en me regardant… Je m'accrochais au dernier vêtement qui m'empêchait d'offrir ma nudité à leurs regards, mes bas. Les 4 mains tentèrent de me les enlever mais je refusais:
-"Non, s'il vous plait, pas ça."
-"Silence, soumise."
Je ne reconnaissais même plus les voix, je n'avais aucune idée de qui pouvait bien avoir dit cela. Moi qui étais si complexée par mon corps, je ne savais plus quoi faire, je me sentais tellement honteuse.
Je sentis qu'on attrapait mes mains et elles furent maintenues fermement dans mon dos, me forçant à ne plus bouger. Les 4 mains impitoyables enlevèrent mes bas. J'étais nue et immobilisée devant 4 inconnus qui pouvaient me regarder et faire ce qu'ils voulaient de moi.
J'allais me mettre à pleurer, les suppliant de me relâcher quand soudain, je sentis qu'on me mettait un collier autour du cou et qu'on y accrochait quelque chose, une laisse sans doute. Une main caressa ma hanche,
je sursautais. J'entendis une voix:
-"Arrête, tu n'as pas le droit d'y toucher, elle lui appartient."
Il y eut un silence et la main baladeuse se retira de mon corps. On me tira ensuite par la laisse, me forçant à avancer, nue, debout, à la vue de tous. Je voulus attraper la main de la femme que je pensais connaitre pour qu'elle me retienne auprès d'elle, qu'elle ne les laisse pas m'emmener. Je sentis ses doigts frôler doucement les miens et s'arrêter aussitôt. Je devais continuer à avancer, je n'avais pas le choix. J'entendis le bruit d'un rideau qu'on ouvrait, je passais tout près, sentant le tissu effleurer mes cuisses.
-"La voilà.", dit la personne qui m'avait emmenée jusqu'ici.
-"Bien, laisse-la là, à genoux et enlève lui son bandeau. Après ça, tu sais ce qu'il te reste à faire."
C'est sa voix, je le sais, je la reconnais, il est là.
La personne me fit agenouiller, déposa ma laisse, enleva mon bandeau et s'en alla. Je suis aveuglée par une lumière vive en face de moi, peu à peu, j'arrive malgré tout à ouvrir les yeux et à m'habituer à cette semi clarté dans laquelle je me trouve. Je vois une pièce que je ne connais pas, avec des murs sombres, des meubles en bois, il y a un lit à baldaquin et des fauteuils, un plafond très haut et, un peu partout, plusieurs objets que je ne connais (ou reconnais) pas tout de suite.
Cette lumière qui vient de m'aveugler est causée par les deux grandes fenêtres qui se trouvent en face de moi, donnant une vue imprenable sur un magnifique jardin au soleil couchant...
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