Petit récit erotique écrit au moment de ma découverte du BDSM, il y a 5 ans (2)

Suite à une bonne note et un commentaire encourageant d'une de mes lectrices (que je remercie), voici la deuxième partie de cette histoire: punition pour Amy et découverte d'un plaisir nouveau... Si je reçois des notes/ commentaires positifs pour cette deuxième partie, je vous partagerai la suite :)

Proposée le 20/11/2023 par Amy-Lee

Votre note pour cette histoire érotique
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Thème: Femme soumise
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme

Je cherche mon Maître des yeux et je le vois, il est assis sur le canapé, il semble m'ignorer. Lui aussi est habillé de façon très classe. Je me dis que je ne devrais certainement pas le fixer ainsi alors je baisse les yeux et j'attends. Il se lève et allume les bougies qui se trouvent dans la pièce; ensuite, il ferme les tentures qui se trouvent de part et d'autre des deux grandes fenêtres dont la lumière m'avait éblouie tout à l'heure. Il ne dit toujours rien, alors, j'ose dire:

-"Maître…"

-"Tu ne sais absolument pas te taire, n'est-ce-pas?"

-"Pardon, je…"

-"Silence, chienne! Es-tu stupide au point de ne pas comprendre un ordre?"

Je sursaute. Je ne m'attendais pas à être sermonnée… Alors, je me tais. Il reprend, tout en m'enlevant ma laisse et mon collier:

-"Premièrement, tu es en retard. Je t'ai déjà punie pour ce genre de comportement irrespectueux, mais tu n'as toujours pas retenu la leçon, on dirait. Deuxièmement, tu ne salues même pas nos hôtes. C'est grâce à eux si tu es là, ce soir. Tu n'imagines même pas la chance que tu as d'être ici. Cet endroit n'est pas accessible à n'importe qui, tu sais. Troisièmement, tu poses des questions indiscrètes à des gens que tu viens de rencontrer. Je t'ai déjà dit que la curiosité est un vilain défaut mais, visiblement, ça non plus, tu ne le retiens pas. Quatrièmement, tu ne peux pas t'empêcher de parler pour ne rien dire. Tu parles beaucoup trop et ça aussi, je te l'ai déjà dit. Cinquièmement, tu oses protester devant nos hôtes alors qu'ils étaient en train de te préparer pour moi. Tu te comportes vraiment comme une petite chienne mal élevée, et tu vas être punie pour cela."

Ce qui veut dire que les trois géants lui ont tout raconté… Soudain, je le vois s'avancer vers moi, il me tire par les cheveux pour me faire lever et me plaque face contre le mur qui se trouve derrière moi.

-"Reste là et ne bouge pas.", me dit-il, menaçant.

J'entends des bruits de pas s'approcher de moi, je suis sûre que ce sont l'homme et les deux femmes de tout à l'heure. Ensuite, je sens qu'on place une cravache dans ma main. Mon Maître et eux sont tous en train de me regarder de dos.

-"Tu vas te donner 5 coups de cravache pour te punir d'avoir été si malpolie envers nos hôtes. Avant chaque coup, tu t'excuseras pour l'offense que tu as faite. Après chaque coup, tu compteras, jusqu’à arriver à 5."

-"Je suis désolée d'être arrivée en retard."

Je frappe une fois sur mes fesses. Je n'ose pas frapper trop fort… Je compte:

-"Un."

-"Plus fort."

Je tremble. Je me sens tellement humiliée…

-"Je vous prie de m'excuser de ne pas vous avoir salués."

Je frappe, un peu plus fort, je commence à sentir des picotements dans mes fesses, je continue à compter:

-"Deux."

-"Pour la dernière fois, plus fort, je te dis. C'est un ordre."

-"Pardon d'avoir été indiscrète."

Je frappe encore un peu plus fort, j'ai les larmes aux yeux.

-"Trois."

-"Visiblement, il faut que je fasse tout moi-même."

On m'arrache la cravache des mains.

-"Mains à plats contre le mur, penche-toi et cambre-toi, ton cul bien exposé."

J'obéis. Je n'ose plus parler…

-"Hé bien, tu es devenue muette? Continue à t'excuser."

-"Pardonnez-moi d'être trop bavarde."

Un nouveau coup s'abat sur mes fesses. Une larme, de honte plus que de douleur, coule de mes yeux.

-"Compte."

-"Quatre."

-Demande pardon pour ta dernière offense."

-Excusez-moi de m'être rebellée quand vous avez voulu me déshabiller."

Le dernier coup, enfin. Il fait tout aussi mal que les autres, peut-être même plus mais je suis enfin libérée. Je termine de compter:

-"Cinq."

Et je m'effondre sur le sol. J'entends que nos hôtes quittent la pièce. Je reste par terre, figée, j'ai l'impression que mon corps est fait de pierres tellement il est lourd. Tout d'un coup, je sens les bras de mon maître autour de moi. Je m'accroche à lui. Je veux sentir sa chaleur contre moi, alors, je blottis ma tête dans son cou. Je sens qu'il me soulève de terre dans ses bras et je m'endors.
Quand je me réveille, je suis attachée au lit et j'ai un bandeau sur les yeux. J'essaie de bouger, de me débattre, d'enlever mes liens comme je le fais souvent mais c'est totalement impossible. Je commence à paniquer, suis-je seule dans cette pièce?

-"N'essaie pas de te débattre."

C'est la voix de mon maître.

-"Pourquoi m'avez-vous attachée? Pourquoi ne puis-je pas voir ce qu'il se passe?"

-"Tu poses bien trop de questions. Profite, c'est bien toi qui voulais être attachée complètement non? De plus, tu vas vivre une expérience que tu rêves de vivre depuis longtemps. Tu peux venir."

Il s'adresse à quelqu'un qui doit être à l'entrée de la pièce. J'entends des pas s'approcher doucement de moi, puis je sens quelqu'un monter sur le lit et remonter de plus en plus près de moi, jusqu'à avoir son corps juste au-dessus du mien. Je sens des lèvres se poser sur les miennes. Je reconnais ces lèvres, comme je les ai déjà reconnues tout à l'heure. C'est cette femme que je suis presque sûre de connaître. Je lui rends son baiser, cela me fait tellement de bien après tout ce que je viens de vivre. Nos langues se touchent et elle me mord la lèvre. J'aimerais tellement l'embrasser, encore et encore mais elle quitte ma bouche et m'embrasse dans le cou. En même temps, je sens deux mains se poser sur mes seins. C'est celles de mon maître, j'en suis sûre. Je frissonne. Cela veut dire que mon maître va s'occuper de moi, avec cette femme. J'ai déjà discuté plusieurs fois de cette expérience avec mon maître auparavant et il a été convenu qu'ils ne se toucheraient pas, l'un comme l'autre. Cela me rassure, je ne supporterai pas que mon maître touche une autre que moi. Il a aussi été convenu que la personne qui s'occuperait de moi ne serait pas nue et que je n'aurai pas le droit de la toucher. Effectivement, alors qu'elle est sur moi, j'arrive à sentir un tissu léger frôler mon corps, certainement une nuisette et même si la tentation de toucher son corps est grande, je préfère être immobilisée de cette façon, car je n'ai jamais vécu d'expérience similaire auparavant. Mon maitre prend mes seins dans ses mains, il les caresse, je sens ses pouces effleurer mes tétons et puis, d'un coup, il les pince, les tord presque. Je sursaute, je crie, mon corps se tord. Tout de suite après, je sens une bouche familière lécher mes tétons, je gémis, c'est tellement bon. Je commence à sentir des picotements d'excitation dans mon sexe… La bouche inquisitrice continue de sillonner mon corps, elle m'embrasse le ventre, les hanches,… Je commence à avoir des spasmes incontrôlés, mon corps avide réclame sa langue si douce sur ma peau. Mon maître met son doigt dans ma bouche et je le suce, comme si c'était un bonbon délicieux. Pendant ce temps-là, la langue de ma tortionnaire est descendue à la hauteur du haut de mes cuisses, elle les embrasse, les mordille et, d'un coup, elle est sur mon sexe. Je crie encore. Je deviens folle, je tire sur mes liens mais rien n'y fait. Puis, mon maître enfonce sa queue profondément dans ma gorge, sans que je ne m'y attende. Il viole ma bouche, sa main sur mon cou, m'empêchant presque de respirer. J'essaie de m'appliquer à le sucer mais c'est tellement difficile, cette femme continue de me lécher, elle fait aller sa langue sur mon clitoris et elle a déjà rentré un doigt en moi.

-"Applique-toi, sinon, tu peux dire adieu à ton cuni."

-"J'essaie Monsieur, j'essaie, je vous le jure mais…"

Il vient de me gifler.

-"Tais-toi et suce, petite catin."

Je redouble d'efforts, je lèche son gland avec gourmandise, j'aspire doucement sa queue, je la mordille, je fais des va et vient avec ma bouche le long de son membre. Pendant ce temps, j'entends mon maître s'emparer de quelque chose. Ma bourreau a maintenant introduit deux doigts en moi, et elle continue de me lécher sans pitié. Je crie de plus en plus fort, ma respiration s'accélère de plus en plus, les vagues de plaisir se répandent dans tout mon corps et sont de plus en plus rapides. Je vais jouir. Une des mains de mon maître se referme sur ma gorge et l'autre flagelle mes seins avec un martinet et je jouis, fort, je hurle, je tremble, je ne suis plus que sensations. Ensuite, cette femme s'en va, comme elle est venue. Pendant que je reprends mes esprits, mon maître me dit:

-"Tu vas rester là et attendre que je revienne. Je ne te retirerai ni tes liens, ni ton bandeau. Je vais aller profiter du banquet avec les invités. Tu as mangé avant de venir comme je te l'avais demandé, n'est-ce pas?"

-"Oui, Maître."

-"Bien. Sois bien sage, ma petite putain."

Et il s'en va...

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