Paul et Clémence arrivent dans la soirée échangiste où Clémence est choisie.
Proposée le 11/05/2016 par le baron
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme
La fin d'après midi avait paru interminable à Paul qui s'imaginait toutes sortes de choses. Il voyait Clémence se donnant à d'autres hommes, devant des inconnus. Cela le rendait à la fois fébrile et curieux. Il s'interrogeait sur les sentiments de Clémence, sur les siens. Comment allaient-ils se sortir de cette aventure?
L'heure arriva enfin. Paul, à la demande de Clémence, avait enfilé un complet très chic. La soirée promettait d'être élégante à tout le moins. Clémence portait pour sa part une robe échancrée, laissant son dos nu jusqu'à la naissance de ses fesses mises en valeur de manière particulièrement réussie.
Elle était sublime et très désirable. La soie rouge, légère comme le vent, soulignait ses formes avec une indécente volupté.
Paul sentait son désir monter. Il apprenait à connaître sa femme, ses expressions dans cette situation nouvelle si éloignée de ce qu'ils connaissaient jusque là. Même si Clémence aimait beaucoup décoller avec lui dans leurs jeux amoureux, Paul savait qu'ils étaient aujourd'hui à un carrefour dans leur relation : plus rien ne serait comme avant et cela l’effrayait mais l'excitait tout autant.
La voiture avancée par Mathieu, le frère de Clémence, Paul qui s’engouffre dedans et le chemin de la dépravation qui s'étend sous les roues. Clémence tenait la main de Paul, déjà perdue dans ses pensées, déjà prise dans ses pensées...
Elle ne pouvait être la guide qu'elle aurait voulu pour Paul. Son excitation prenait le pas sur le rite initiatique de son homme. La plaisir était le plus fort.
Arrivés en bas d'un chemin de graviers blancs, les invités descendaient des véhicules pour être emmenés à l'aide de carrioles tirées par des chevaux. Des hommes en tenue d’apparat accompagnés de femmes superbes toutes plus désirables les unes que les autres se pressaient en ce lieu.
Paul suivit Clémence dans la clairière où des tables étaient préparées pour le jeu.
Clémence libéra le bras de Paul. Il devait se joindre à un groupe d'hommes et Clémence à un de femmes.
Les cartes furent distribuées après que le maître des lieux eu accueilli avec politesse les invités.
Les parties furent rapidement jouées pour Paul qui n'avait pas de jeu. Il perdit. Il vit alors l'homme qui avait gagné le plus de points dans les trois donnes se diriger vers la table centrale. Il fut accompagné de trois autres hommes venus de groupes différents. Autant de femmes étaient présentes.
Ils tirèrent des cartes jusqu'à ce que les paires royales se trouvent. Chacun avait alors trouvé son partenaire.
Paul fut surpris de constater que tous se rassemblaient autour de ces couples formés et qu'ils allaient faire l'amour au milieu des gens, dans des lits de paille, sur les tables, sur les chariots selon leur volonté mais toujours entourés des autres joueurs.
Paul sentait la pression monter dans ses veines. Les femmes présentes étaient superbes mais il savait que Clémence serait peut-être choisi par les cartes la fois d'après.
Une autre partie sans que Clémence ou Paul ne furent gagnant passa puis Clémence fut gagnante. Paul regarda sa femme rayonnante comme jamais se livrer au jeu du hasard. Il y avait un jeune homme, très distingué, blond ; un homme élégant et fort comme un chêne ; un homme extrêmement posé aux cheveux grisonnant ; un dandy haut en couleur et au physique chétif. Paul n'arrivait pas à savoir avec lequel il préférerait voir Clémence. Aucun sans doute ou tous, son esprit était perdu par les images déjà observées avec les autres couples. Elle allait se donner comme les autres, avec aussi peu de pudeur, devant les invités. Inconnus pour lui mais pour elle? Peu importait d'ailleurs. Son frère n'était-il pas également membre de l'assemblée? Etait-il possible que la chose se fasse?
Paul vit alors Clémence tirer la dame de cœur. Le dandy avait déjà formé un couple avec la dame de trèfle, le jeune blond au sourire adamantin partit avec une femme au décolleté tout bonnement ahurissant, appel au péché s'il en était.
Restaient l'homme mûr et le quarantenaire taillé dans l'armoire normande. Une femme magnifique tira la paire royale de carreau avec le plus expérimenté des prétendants. Il ne restait donc que le bûcheron!
Clémence se fit prendre la main et il la conduisit sur une table de jeu. Il la posa délicatement après l'avoir soulevée de sol sans aucune espèce d'effort. Il était vigoureux et Paul voyait sa femme dans les bras d'un athlète qui pourrait sans risque de se tromper la briser sous les coups de reins. Il était pour autant attentionné, relevant la tête de Clémence pour lui donner un coussin. Il releva la jupe et entreprit de déposer le plus excitant des baisers sur les lèvres offertes et gonflées par l'excitation de Clémence. Il savait qu'elle était au plus profond d'elle-même hypnotisée par ce qu'elle faisait. Dans leurs rapports déjà il lui semblait qu'elle partait seule dans des pays inconnus où elle se perdait dans tous ces sens, dans tous ses sens.
La robe relevée maintenant au nombril, les mains du partenaire de jeu, vigoureuses, englobait les seins de Clémence avec force. Elle avait les yeux humides, perdus, elle respirait fort avec si peu d'intérêt pour Paul. Il n'existait plus. Elle était perdu dans son plaisir, sa jouissance du moment présent. Elle ressentait chaque coup de langue sur son clitoris, chaque passage sur ses lèvres, mouillant de plus belle. Elle prenait du plaisir et ne s'en cachait pas, mais cette soirée était faite pour ça.
L'homme torse nu maintenant entreprit de prendre Clémence après une première jouissance dans laquelle Paul avait pu constater des traits semblables à ceux que Clémence arborait dans leurs ébats. Elle ne cachait rien, ne feignait rien.
L'homme très bien membré se présentait dorénavant face à Clémence dont les seins gonflés par le désir saillaient sous les regards de l'assemblée. Les autres couples avaient fini et s'étaient pressés autour d'eux, ce qui faisait que toutes les personnes étaient concentrées sur Clémence et son amant. Paul avait la tête prête à exploser de par la situation mais une autre montée de sang l'empêchait parallèlement de partir. Il devait la voir, jusqu'au bout, ressentir le plaisir dans les bras d'un autre. Son sexe tendu ne le privait de devoir reconnaître l'incroyable envie que cette situation lui procurait. Il était troublé, excité, empli du désir de regarder sa femme jouir.
Son amant savait s'y prendre par ailleurs. Il ne la ménageait pas, lui procurant vagues de plaisir sur montées de jouissance.
Clémence n'était plus qu'un corps offert au plaisir. Son amant la faisait crier malgré elle.Sa cyprine inondait la table. Le pénis tendu de son bourreau allait et venait sans retenue dans son sexe ouvert sous l'excitation. Elle s'évanouit dans ses bras dans une énième explosion des sens.
La soirée se termina sur cette ultime jouissance de Clémence, inondée par son vigoureux amant. Les invités repartirent avec le sourire et sans mot dire.
Paul regagna la voiture avec Clémence qui avait des traînées de sperme sur la robe et entre les cuisses. Elle le regarda et ils se sourirent. Leur couple avait survécu mais plus encore ils entraient dans une ère nouvelle de leur relation amoureuse.
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