Sergio n'a guère connu du sexe que la violence, quand il se faisait mettre au séminaire. L'attirance que j'éprouvais pour lui m'a confirmé que j'étais gay. Mais du sexe j'ai voulu aussi lui montrer la tendresse, lorsque fatalement nous nous sommes enlacés nus, nos queues serrées l'une re l'autre ...
Proposée le 2/08/2023 par Sacha
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Thème: Couple, passion
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Sergio était un garçon charmant, juste un peu efféminé. Je l'avais connu quand il était séminariste.
Je l'ai rencontré par hasard, dans la rue, quelques années après. On a pris un café, on s'est parlé et raconté toutes sortes de choses. Il avait quitté le séminaire, cultivait pour survivre des fruits et légumes.
Sergio me confia assez vite que les bons pères avaient bien abusé de lui sexuellement, il ne pouvait résister à leurs avances et à leurs assauts nocturnes, sinon il se faisait virer - et alors quels moyens de subsistance ? Plus de gîte, plus de couvert.
J'avoue avoir été ému par son cas. Du sexe il n'avait connu au fond que la violence, jamais la tendresse. Je l'ai pris en affection, et on se voyait souvent.
Je l'invitais parfois au restaurant. C'était près de chez lui, et il m'invita un jour à prendre un café chez lui, dans sa modeste demeure, il voulait me donner aussi quelques légumes de sa production.
C'était un été caniculaire. Sergio me demanda la permission de se mettre torse nu, ne gardant que le short. Je n'y voyais personnellement aucun inconvénient.
Après avoir rapporté de son modeste potager quelques courgettes très appétissantes, entre autres légumes, il s'affaissa sur ce qui lui servait de couche.
Son corps très svelte s'offrait à moi, du moins à ma vue. Ses aisselles, ses seins, son ventre. Du nombril partait un mince duvet de poils, allant rejoindre, sous son short, je ne sais quelle divinité assoupie et rêvée. Mais ce n'était pas très dru, en sorte que j'imaginais sa toison pubienne comme étant elle aussi un duvet plutôt qu'une forêt.
Il fermait les yeux, comme savourant le plaisir de se sentir regardé, admiré, désiré peut-être. Son short blanc était si flottant qu'il béait un peu, laissant apercevoir ses petites boules et même un peu de sa queue.
J'ai embrassé son nombril pour le mettre à l'aise, pincé ses seins. J'ai passé ma langue dans ses aisselles, dans le creux parfumé et chez lui peu boisé. J'ai même un peu soulevé le haut de son short, poursuvant mon exploration de ce si beau corps juvénile, à peine sorti de l'adolescence. Il fallait aussi que je voie où menait au juste cette languette de poils sombres qui partait de son nombril. Je ne m'étais pas trompé: sa toison pubienne était un léger et charmant duvet, mon homme n'était pas très poilu.
Sergio se sentait parfaitement en confiance, il se laissait faire comme une donzelle. Mes caresses ont pris une tournure plus directe lorsque j'ai plaqué ma main contre son short. J'ai senti alors sa queue frémissante. Je lui ai d'un coup retiré le short, et il n'avait rien en dessous. Sa toison pubienne était comme un délicieux gazon, et ses petites couilles parsemées de rares herbes folles.
À partir de là, nous n'avons pas tardé à nous retrouver tout nus l'un et l'autre et l'un contre l'autre, amoureusement enlacés. Comment ça s'est fait, je ne sais plus, l'émotion était trop forte, j'ai la mémoire qui flanche. Toujours est-il que nos queues complices, heureuses et désirantes
bandaient ferme l'une contre l'autre. On s'embrassait, on se touchait les fesses, on se frottait l'un contre l'autre. J'aimais bien aussi lui lécher les couilles.
On a joué au jeu: tu me fais c'que j'te fais. Tout était partagé, symétrique et follement tendre et amoureux. Il me cuisinait la rondelle au moment où je le doigtais. Lorsqu'il sentit mon gland épouser sa rosette, il voulut me faire pareil, c'était la règle du jeu. Et ça me rendait fou, de sentir son nœud presser mon petit trou.
Qui allait prendre qui? Personne, nous étions déjà tant épris l'un de l'autre. Enlacés, on s'est encore frottés langoureusement l'un contre l'autre, queues tendues, et puis ça a giclé sur son ventre comme sur le mien.
Je suis reparti, comblé, avec les courgettes.
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