Glisser un doigt pour ouvrir

Rencontré sur un site gay. Désiré me fait comprendre qu'il aimerait bien "faire des trucs" avec moi. Comme je suis depuis toujours attiré par les garçons, je lui dis que très volontiers. Je rêve de lui et de sa queue jusqu'au jour où ...

Proposée le 31/07/2023 par Sacha

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Thème: Jeu érotique
Personnages: HH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie

GLISSER UN DOIGT POUR OUVRIR

Tous les matins je m'étonne de lire cet étrange message sur l'écran de mon portable. Les opérateurs de téléphonie se rendent-ils bien compte de ce qu'ils écrivent? Les conseils d'ordre sexologique sont-ils inclus dans l'abonnement? Jusqu'où ne vont-ils pas fouiller et vouloir guider notre vie sexuelle !

Toujours est-il que moi personnellement, je suis plutôt gai, ou gay si l'on préfère. J'ai toujours éprouvé de l'attirance pour les garçons, je l'avoue sans honte, si un peu peut-être, sinon il n'y aurait plus le plaisir coupable et si jouissif de la transgresión. Mais enfin voilà, c'est dit, toute honte bue. Et en fait j'adore. Qu'est-ce qu'on peut bien s'éclater entre mecs ! L'histoire qui suit le confirme.

Je consulte donc assez souvent les sites de rencontre entre mecs. C'est quand même assez excitant, il faut bien le dire. Récemment, un homme m'a envoyé une photo de lui, entièrement nu, sur la plage entre des rochers. Désiré qu'il s'appelle, ou alors c'est son pseudo.

Sur la photo, que j'ai agrandie sur mon écran le plus possible, on voit son sexe un peu dressé. Il est épilé. Ça m'a donné une folle envie de le connaître. Une merveille. J'y peux rien, j'suis comme ça, son corps m'attire, m'excite et m'appelle. J'ai une folle envie de lui. Rien qu'à voir sa photo, nu entre les rochers, queue à l'air, ça me fait bander. Dans le message il me demandait si j'étais open et ouvert. J'ai juste répondu que pour lui oui. Je lui dis auusi qu'il m'arrive de me masturber en regardant sa photo. Et nous avons fini par nous donner rendez-vous.

On a passé pas mal de temps à faire connaissance au restaurant, et moi pendant tout ce temps je ne pensais qu'à son corps nu de bel éphèbe. J'avais réservé une chambre.

On a pris une douche ensemble, c'était génial. On s'est bien éclaté à se savonner mutuellement. Nos queues dressées se sont vite touchées, comme se toisant, et en frétillaient d'aise. On aurait dit deux poissons à peine sortis de l'eau. Sentir la queue d'un mec en érection contre la mienne à toujours été pour moi une jouissance incroyable. Et qu'à force de se toucher, de se frotter l'une contre l'autre elles n'en puissent plus, giclent en chachant leur sperme.

Il était donc temps de passer aux choses sérieuses. Au lit. Un queen size. Nos étreintes étaient si exquises et délicieuses qu'elles durèrent fort longtemps. Nous aimions tellement sentir nos corps si étroitement entrelacés, et nos queues serrées l'une contre l'autre en leurs fatales érections. Chacun faisait semblant de masturber l'autre, puis s'interrompait pour faire durer le plaisir. Mais il a vite compris que les fesses étaient chez moi des zones très érogènes.

Je n'en pouvais plus, je l'ai décalotté et sa queue, comme de son propre chef, est venue dans ma bouche. Je l'ai sucé à fond. Sa queue était bien raide. Lui en profitait pour me malaxer les fesses et même titiller mon petit trou. Faut bien dire qu'il était plutôt habile pour ça, et tout en douceur. C'était doux, tendre, voluptueux, amoureux. J'en pouvais plus.

J'ai senti que je l'aimais, et qu'il m'aimait, quand nos deux corps épris l'un de l'autre cédèrent, voulurent se souder l'un à l'autre et s'aimer enfin dans ce corps à corps passionné. On s'aimait. On faisait l'amour.


Alors j'ai voulu sentir sa queue. Faire de mon petit trou une vulve où s"aboucherait son sexe.

Il a vite compris que je suis plutôt femelle, et consentante, bref plutôt passive. Soudain autoritaire, mais en fait je ne demandais que ça, il m'ordonna de me retourner et, à quatre pattes, de lui offrir enfin mon cul. Je ne me fais pas prier. Je m'exécute docilement.


Mais au lieu de me sauter, il continua à honorer l'orifice que je lui offrais, mon cul, caressait encore mes fesses. Me doigtant ou mettant sa langue. C'était bon. C'était doux. Je sentis aussi sa queue contre ma raie. Il me la plaquait. Il m'écarta les fesses et je sentis son gland contre ma ventouse. Il poussa, il entra C'était bon de le sentir coulisser si bien dans mon cul, tout en me traitant de petite salope. Et il avait tous les pouvoirs, en tenant et branlant mon sexe tout en faisant aller et venir sa bite dans mon cul jusqu'à ce qu'on explose ensemble sauvagement, tendrement, entre mecs. Génial.

En fait, il suffisait de glisser un doigt pour ouvrir.

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