Suite du premier épisode qui expliquait son histoire et son CV ; voici le moment de jouer la candidate dans ma boite. Et voilà comment cela pourrait se passer !
Proposée le 27/01/2025 par jules et Sandrine
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Se remémorant ces aventures avec excitation (et une bonne branlette avec son sex-toy préféré dont elle avait été représentante), elle a finalisé son CV et sa lettre de motivation. Pour améliorer son CV, elle a pris soin de mettre un peu de son odeur intime sur le papier : peut-être que cela influencera le recruteur…
Quand j’ai reçu le CV, cela correspondait parfaitement à ce que je cherchais. Pas ces midinettes inexpérimentées qui rechignent à la tâche dont j’avais obtenu quelques CV via France Travail. Là, Sandrine pouvait amener expérience, polyvalence, autonomie ; et on pouvait soupçonner a priori une grosse expérience coquine, sorte de cerise sur le gâteau… Je l’ai appelé tout de suite lui proposant un rdv dès le lendemain en fin de journée. J’ai aimé sa voix suave. Elle avait l’air ravie d’avoir un entretien et accepta immédiatement :
- Vous ne serez pas déçu de mes compétences et de mon expérience Monsieur
- Je l’espère Madame Fayol car j’ai vraiment besoin d’aide, et rapidement ! Nous ferons connaissance et vous m’expliquerez cela. Je compte sur vous demain à 17 h à mon bureau.
- C’est entendu, à demain. Dois-je amener quelque chose de particulier ?
- Prenez peut-être quelques éléments en lien avec vos missions précédentes, ce sera plus aisé d’évaluer votre expérience. Et soyez souriante : j’ai horreur des femmes ronchonnes.
- Cela me ressemble peu : vous verrez ! A demain alors.
- A demain, je suis impatient de faire votre connaissance.
- Moi aussi.
Je raccroche : j’ai senti une vraie osmose entre nous. Du coup, je suis drôlement impatient d’être à demain. Et la fin de journée est un peu erratique en termes de production.
Le lendemain, la journée est LLOOONNNNNNNGGUUEE ! 16 h 56 : sonnette.
- Entrez !
Elle entre : elle est magnifique. Une jolie robe rouge un peu serrée, assez décolletée, des jambes gainées de nylon, de jolies chaussures à talon, une élégante coiffure et un parfum délicieux (ça je le sentirai après…). L’archétype de la professionnelle efficace, expérimentée… Mais aussi sensuelle et désirable, une vraie femme !
- Bonjour Monsieur. Vous êtes bien M. Jules …. ? Nous avions rendez-vous je crois. Mais si vous êtes occupé, je peux attendre sans problème que vous ayez fini.
- Bonjour Madame Fayol, non entrez, je vous attendais. Prenez place en face de moi. Vous n’avez pas eu de mal à trouver ?
- Sans soucis, vos explications étaient claires.
- Très bien. Bon vous avez vu que je cherchais une assistante d’expérience. J’ai eu votre CV. Sur le papier, cela semble coller mais peut-être pourriez-vous commencer par m’expliquer votre parcours et votre motivation pour ce poste ?
(dans sa tête : à la dernière question elle aurait bien répondu : j’ai vu un beau mec comme futur chef et je me serai bien vu courbée en levrette sur le bureau baisée bestialement par lui…)
- Mais bien sûr. Alors voilà …. (blabla blabla elle me raconte son parcours et son histoire – voir épisode 1). Et avec ma famille, nous venons de déménager l’an dernier sur la région et je cherche donc un nouveau job. Je préfèrerai une structure réduite, familiale, qu’une grande entreprise : j’aime la chaleur humaine et que chacun se sente à sa place.
- Et vous vous voyez à quelle place dans ma société ?
(dans sa tête : entre tes jambes à te sucer la queue mon loulou…)
- Dans un rôle de collaboratrice polyvalente, investie, facilitante à aider mon boss à faire rentrer des sous dans la boite
(et sa bite dans ma chatte… J’espère…)
- A quoi mesure-t-on selon vous qu’une collaboratrice est assez investie dans son métier ?
Elle prend le temps de réfléchir en décroisant ses jambes… Gloups, une vue nouvelle s’impose à moi : elle a bien pris des « échantillons » de ses missions passées avec elle. Et j’en suis tout ému. Le nylon correspond à des bas, tenus par ce qui semble être un porte jarretelle sombre. Et plus haut, quelques poils autour d’un string minimaliste rouge aperçu furtivement… Regloups… Même si la vision est courte, elle l’a fait suffisamment lentement et de manière naturelle pour que cela me file une gaule d’enfer. C’est-ce que j’aime chez les vraies femme. C’est bien une grosse salope que j’ai en face de moi !
- Eh bien je dirai, quelqu’une qui ne craint pas le travail, de veiller à son patron, de faire preuve de disponibilité en termes d’horaires et qui représente une image attrayante de l’entreprise.
- J’ai vu que vous étiez mariée : une grande disponibilité ne posera pas de problèmes avec votre conjoint ?
(mon mari adore me voir revenir fraichement baisée : donc la disponibilité, il s’en tape tant qu’il peut me baiser sauvagement après…)
- Oh, je crois qu’il est un peu habitué car j’ai souvent eu des métiers aux horaires « atypiques »
La salope en profite pour redécroiser ses jambes, cette fois-ci plus lentement. Une goutte coule le long de ma tempe. J’ai du mal à la regarder dans les yeux : allez savoir pourquoi…
- Oui je comprends, on ne choisit pas toujours. Très bien. Au cours de vos métiers précédents, quelle est la réalisation dont vous êtes la plus fière ?
Elle prend encore le temps de réfléchir. Et de redécroiser les jambes. Visiblement son entrejambe la chauffe… (hypothèse personnelle de l’auteur)
- Je crois que c’est au club au Cap d’Adge lorsque j’ai eu à monter un spectacle de fin d’année qui a très bien marché. J’ai monté seule cet événement qui a généré beaucoup d’entrées et beaucoup de remerciements de mon patron.
(j’ai monté l’événement mais me suis surtout fait aussi montée par l’équipe du spectacle : je m’en souviens encore… Et le boss m’a aussi bien récompensée après)
- Je vois. Ce doit être grisant de mener un projet comme cela à bout et de voir le résultat (en moi même : donc, si tu devais t’occuper de ma bite, tu pourrais rapidement être fière du résultat…). Dans la relation avec votre supérieur, qu’attendez-vous de lui ?
(une grosse bite qui me donne beaucoup de plaisir…)
- Hum, c’est une question piège ? (pour les questions embarrassantes, répondre par une autre question pour éviter d’avoir à répondre : pas folle la guêpe…)
- Écoutez Mademoiselle, c’est vous qui recrutez ou c’est moi ? Répondez à la question car vous aurez bien compris que moi, j’attends d’une collaboratrice qu’elle exécute ce que je lui demande (et toc !)
(ah le con, j’adore quand il me parle comme ça… Je mouille à fond… Détournons son attention). Décroisement lascif de mes jambes (et frottage de clito en passant).
- Pardon Monsieur, je ne voulais pas être désobligeante dans mes propos. Eh bien, pour avancer dans mon travail, j’ai besoin de consignes claires couplées avec mal d’autonomie pour voir comment me rendre utile efficacement vers la stratégie attendue.
(moi : ça les consignes claires, tu les auras : on va passer à la mise à l’épreuve dans peu de temps).
- Cela me semble un bon postulat de départ. Et vous seriez disponible quand ?
(immédiatement mon loulou si tu veux… J’ai une folle envie de cul !)
- Disons dès lundi, le temps de m’organiser. Comme je vous disais, je suis en recherche active. Mais il me faudrait d’ailleurs une réponse rapide car j’ai deux autres rendez-vous en parallèle (oh le gros mensonge… ça va le chauffer !)
La salope, elle me met la pression, je suis même à peu près sûr que c’est du bluff. Dans tous les cas, c’est déjà décidé : je ne laisserai pas passer une salope telle que celle-là…
- Je vous avais demandé de m’amener quelques éléments de références. Vous y avez pensé ?
(tu parles, le Womenizer n’a pas refroidi de l’après-midi !)
- Bien sûr Monsieur. Est-ce que cela répond à votre question ?
Elle écarte les jambes, cette fois sans les resserrer après. Reregloups… Nouvelle goutte de sueur, je ne regarde plus du tout son visage. Elle aime se savoir puissante envers moi : cela la fait kiffer…
- Vous vouliez des consignes claires : virez-moi ce string immédiatement.
(elle : oh ouiiiii ! Mais attention à ne pas montrer ma fébrilité : il faut qu’il bande à fond ce con)
- Heu Monsieur, est-ce bien raisonnable pour une première rencontre ?
- Il me semble que cet entretien visait à faire connaissance. Cela y contribuera. Magnez-vous ou barrez-vous !
(moi : putain, pourvu qu’elle choisisse la première option…)
- J’ai vraiment besoin de reprendre une activité professionnelle… J’hésite, ce n’est quand même pas convenable (oh non… et heureusement)
- Ma consigne n’était pas claire alors ?
Elle se lève en cherchant une pièce à l’écart pour le retirer. Voyant son regard, je lui dis :
- Ici et maintenant ! Hâtez-vous.
La salope fait semblant d’avaler sa salive comme si c’était une épreuve insurmontable et prend les bords de sa jupe pour commencer à la relever ; mais s’arrête.
- Je ne sais pas si…
- Magnez-vous on n’a pas que ça à faire !
Cette fois-ci, elle lève la jupe plus haut, dévoilant le haut de ses bas, joliment décorés et les attaches du porte jarretelle. Arrivée au string, elle hésite encore. Puis descend lentement le petit bout de tissu. A ses chevilles, elle lève alternativement les pieds pour sortir le string.
- Donnez-le-moi ! Immédiatement !
Elle se baisse en me tournant le dos (gloups encore car je sais sa chatte accessible maintenant) et le pose sur le bureau avec grâce, un tantinet timidement. Je m’en saisi et le porte à mon nez. Émoustillant !
- Si je vous embauche, vous n’aurez pas besoin de strings pour travailler. Vous me le laisserez en dépôt pendant la journée. Je suis peut-être trop vieux pour les doudous, mais les culottes mouillées, ça me rassure.
- Je comprends Monsieur, si cela vous fait du bien, cela s’entend. Si nous devons faire équipe, comme je vous l’ai dit il est important que vous vous sentiez bien. Puis-je faire autre chose ?
- Est-ce tout ce que vous avez amené ?
- Euh… Je craignais que ce soit un peu… malvenu… de tout montrer dès le début (ah ah la bonne blague).
- Rasseyez-vous alors. Je veux voir vos cuisses écartées. Je suis habilité à faire les visites médicale de prise de poste (hé hé ^^).
- Oh.
Elle s’assoit et lentement écarte largement les cuisses en gardant les yeux baissés en guise de soumission. Nous y voilà : une attitude qui me plait ! Décidément, elle sait y faire la garce. On va la tester encore :
- C’est bien Madame Fayol. Je vois que cela a l’air accessible.
- Pour mon boss : toujours !
- Très bien, voici une attitude positive. Vous gagnez un point. En me rasseyant aussi en face : maintenant, j’aimerais que vous vous caressiez devant moi. Je veux voir jusqu’où vous pouvez aller dans la collaboration.
(elle : avec toi, au bout du monde…)
Elle mime une hésitation prude (la garce) avant d’approcher ses doigts de sa chatte. Cette dernière est bien gonflée par les masturbations de l’après-midi et l’écarte permettant d’exhiber le clitoris bien tendu.
- La vue est intéressante mais obtempérez : caressez-vous comme je vous l’ai demandé !
Elle se passe les doigts sur la chatte, titille le clito. C’est son point sensible et elle monte vite dans les tours : plus question de jouer un rôle, il faut juste apprécier le plaisir qua d il se présente. Sa moule semble trempée et cela fait des bruits obscènes.
- Madame Fayol, cette humidité est-elle régulière ou est-ce la situation qui la provoque ?
- Hum… (soupir) Un peu des deux je crois (à peine chuchoté).
- Pardon ? Parlez plus fort : on n’entend rien !
- Un peu des deux Monsieur je crois.
- Dois-je en conclure que vous aimez vous exhiber comme cela devant un presque parfait inconnu ?
(oui : à fond !)
- Heu… Disons que j’en suis… Troublée.
- Et cela vous plait ce sentiment ?
- C’est surtout que c’est nouveau Monsieur (menteuse, menteuse…)
- N’avez-vous jamais eu de relations avec vos anciens supérieurs ?
- Pas à la première rencontre en tous cas…
- Et vous aimeriez que cela change ?
- …
Elle se caressait toujours doucement, les yeux toujours baissés. Floc floc.
- Vous allez vous lever et venir à genou devant moi
Elle se lève doucement, les doigts mouillés. Je sens d’ici son odeur très féminine, ce qui ajoute si besoin était un piment supplémentaire à la situation. Elle vient se placer devant moi et se met à genou devant mon siège.
- Madame Fayol, je croyais qu’une fois que des consignes claires vous avaient été formulées, vous aviez le sens des initiatives. Qu’est-ce que vous attendez ?
- C’est que Monsieur, je suis un peu… émue.
- Action !
Lentement, elle met ses mains sur ma braguette et la descend. Ziiiiippp. Juste ce son me rend encore plus dur. Elle s’en rend compte mais ne dit rien. Elle ôte le bouton et la ceinture et baisse mon froc jusqu’aux genoux. Elle tâte ma verge à travers le caleçon avec application.
- C’est bien comme cela Monsieur ?
- Je préfèrerai voir vos beaux yeux emplis de lueurs lubriques…
Elle relève alors (enfin) ses yeux vers moi pour me regarder intensément. Faisant cela, elle baisse lentement le caleçon et caresse ma bite.
- Madame Fayol, qu’aimeriez-vous faire quoi de cet échantillon ?
- Heu… Je préfèrerai avoir des consignes… plus claires… Oh…
Je profite de sa bouche ouverte pour rentrer dedans.
- C’est plus clair comme cela ?
- Humpf humpf…
- Si je vous embauche, vous savez que je vais vous demander beaucoup.
- Humpf… Je chai… Humpf…
- Et vous êtes là pour ça, n’est-il pas ?
Sortant ma bite pour parler :
- Humpf… Chai possible.
Elle reprend son travail et je lui caresse les cheveux.
- Vous savez que je n’abuserai pas que de votre bouche ?
- Humpf… Je chai auchi… Humpf…
- Vous aimeriez que je vous traite comme la grosse salope que vous êtes ?
- …
Dans sa tête, c’est le déclencheur de son orgasme : j’ai trouvé son point faible ! Elle a besoin de s’abandonner à son partenaire, de se faire diriger. On va bien s’entendre tous les deux…
Son bonheur provoque le mien : je m’épands immédiatement à gros jets dans sa bouche en lui tenant la tête entre les mains. Elle fait son possible pour tout avaler et déglutit. Après une minute à reprendre nos émotions :
- Ai-je passé le test de manière concluante Monsieur dit-elle de manière ingénue ?
- Vous commencez lundi 9 h
- Merci Monsieur, vous ne serez pas déçu !
- Je l’espère ! Nous sommes une petite entreprise : nous ne pouvons pas nous permettre d’embaucher des gens qui ne font pas parfaitement l’affaire.
- Alors à lundi Monsieur
Et c’est comme cela que cette affaire a commencé.
Ce texte, issu d’un fantasme, toute correspondance avec une situation réelle est purement fortuite. Mais j’ai bien l’intention d’envoyer le lien de cette histoire à Sandrine… Enfin Laëtitia Fayol. Et j’espère que cela sera pour elle une belle inspiration à se masturber avec vigueur en mon absence. Et qui sait, peut-être voudra-t-elle me raconter la suite en développant les pensées perverses que cela pourrait lui inspirer, me suggérer à quoi notre jeu de rôle pourrait mener. Comme je l’ai dit au début, je suis sûr qu’elle est capable de beaucoup. Me surprendra-t-elle ?
Et qui sait, peut-être écrira-t-elle elle-même une suite ?
Ma chérie, je t’aime !
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