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Un CV pour ma femme (1)

Cette histoire raconte le fantasme qui est apparu de faire passer à ma femme un entretien d’embauche libidineux. Je lui ai écrit pour cela un « vrai faux CV » en inventant une histoire. Le déroulement de l’entretien qui a suivi sera pour la seconde partie.

Proposée le 27/01/2025 par jules et Sandrine

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Moi c’est Jules, 50 ans et ma compagne, c’est Sandrine (prénoms d’emprunt), même âge, un beau cul bien rond et une belle poitrine. C’est d’ailleurs son cul qui m’a attiré dès le début. Nous nous connaissons depuis longtemps et nous sommes mariés depuis plus de 20 ans. Nous avons eu deux (grands) enfants qui sont en train de prendre leurs ailes.

Un CV pour ma femme (1) Assez vite, j’ai suspecté une appétence aux choses du sexe chez Sandrine, un potentiel qui ne demandait qu’à émerger. Elle aime notamment la belle lingerie et ce n’était pas pour me déplaire car je suis moi aussi adorateur de la chose. Je fantasme beaucoup et développe de nombreuses pensées cochonnes. Avant les enfants, nous avons essayé pas mal de choses tel que baiser dans un cinéma en pleine séance. Mais nous sommes toujours restés à l’intérieur du couple. Bref, je savais qu’elle était capable de pas mal de choses coquines. Mais comme de nombreuses femmes, la maternité l’a calmé et nos rapports se sont malheureusement (beaucoup trop) espacés. Je crois que la présence des enfants dans la maison la limite très sérieusement, comme s’il y avait une honte à copuler en les sachant pas loin. Du coup, je prends mon mal en patience, me tape la veuve poignée en attendant. Et surtout, j’attends avec impatience que les enfants volent enfin de leurs propres ailes et que nous levions ces freins pour retrouver « ma maitresse » et vivre notre best life.


Entretemps, j’ai monté mon activité professionnelle de consulting et j’y prends du plaisir. Sandrine, qui travaille dans un cabinet d’expertise comptable, m’aide pour la gestion et me conseille sur les stratégies à développer. L’été dernier, alors que les enfants n’étaient exceptionnellement pas là, nous avons bénéficié d’une semaine seuls tous les deux à la maison. L’occasion de retrouver le plaisir ensemble. Et dans cette période, pour faire monter la tension entre nous, nous échangions quelques idées coquines à tester. Et je lui ai proposé un jeu de rôle : elle serait Laëtitia, en recherche d’emploi, venant candidater comme secrétaire dans ma société. Et moi, je pourrai abuser (un peu) de son souhait d’être embauchée durant un jury de recrutement un peu particulier. Mais la semaine s’est terminée avant que nous ayons pu mettre en pratique cette idée.


Mais l’idée a continué à tourner dans ma tête, retourner et se construire. Et même si j’étais sensible à la notion de « secrétaire dévouée » un peu comme tout le monde, cela n’était jusque-là pas un fantasme majeur chez moi. Mais il s’est renforcé au point d’être un bon motif de branlettes dont l’actrice principale était… Sandrine. Durant l’été, je lui ai même créé un personnage avec une histoire et lui ai rédigé un « vrai faux CV » devant servir de support à un entretien d’embauche libidineux.


A la suite d’un changement de région, Sandrine recherchait du boulot en exploitant ses expériences passées. Elle avait repéré mon offre d’emploi qui semblait dans sa cible. Un petit coup d’œil sur LinkedIn pour s’intéresser à l’activité de la boite. Tiens, un seul salarié mais cela a l’air intéressant. Beau gosse en plus, un certaine assurance et autorité qui m’émoustille. Je me verrai bien « travailler » pour lui… Hum, candidatons, on verra bien où cela nous mènera ! Première étape : refaire son CV. Cet exercice qui pourrait sembler bénin est en fait l’occasion de se remémorer son parcours professionnel qui est… disons-le, un peu olé-olé… Son mari lui laissant une grande liberté, elle a enchainé des expériences qui, à chaque fois, l’ont mené à des aventures dans son cadre professionnel.

Dans ce CV virtuel, Mme Laëtitia FAYOL a, après quelque petits boulots, pris un job d’assistante de direction dans une fameuse entreprise de lingerie. Outre le job (sympa et correctement payé) et l’équipe (sympa aussi), cela permettait d’assouvir son intérêt pour la lingerie fine. Elle au bout de 4 ans, elle a cédé à son boss, découvrant avec émotion le fait de devenir « dévouée » à son chef. Cette relation était surtout basée sur des turluttes sous la table et parfois des baises sauvages en levrette après le départ des autres salariés. La dépendance psychologique à son chef a été un révélateur pour ce qui a suivi. Mais en 2002, ce chef a été remplacé par une nouvelle cheffe qui a souhaité positionner une de ses relation sur ce poste. A cette période, son mari a eu une mutation du côté de Sète. Cela tombait bien. Bref, rupture conventionnelle (après une rupture affective avec son amant).


A Sète, elle a profité de sa maternité avant de relancer une nouvelle recherche d’emploi. Et en cherchant, elle a trouvé dans un endroit inattendu : une grande discothèque du Cap d’Adge. A l’époque, le club n’avait pas la notoriété actuelle mais avait de grandes ambitions. C’est-ce qui lui a plu. Son job était en fait très varié : de l’assistance de direction avec ce que cela implique (rdv, accueil, secrétariat…) mais aussi un peu de comptabilité ; mais surtout, comme a rapidement obtenu la confiance de son boss, elle s’est vu confier des missions d’organisation d’évènements et de spectacles (publicité, préparation spectacle, veiller à la préparation, accueil des artistes, valorisation sur les réseaux sociaux…). Mais elle est aussi devenue rapidement une « aide technique » pour le boss : ses techniques de relaxation et sa disponibilité l’ont rapidement amenée à être rapidement culbutée sur le bureau. Les levrettes et les pipes goulues, parfois sous le regard compréhensif de son mari, ont rapidement rythmé ses activités professionnelles. Et la présence au Cap d’Adge a aussi conduit à élargir son réseau relationnel. Bref, c’est devenu une vraie salope, cochonne et vicieuse, aimant des amants qui exploitent son côté de soumise. C’était l’éclate !


Mais le travail a commencé à prendre trop de place pour bien gérer sa vie familiale et, d’un commun accord avec son boss, il l’a libéré de son métier. Ils se sont revus un peu après mais cela s’est vite arrêté car il a trouvé une nouvelle assistante, elle aussi très efficace. Pour rebondir : rien de plus facile pour Sandrine qui avait un bon réseau local grâce au club. Par bouche à queue (pour signifier que le contact n’était pas le biais habituel de recherche d’emploi…), elle a été embauchée comme assistante d’un cabinet médical pas loin. Normal, l’un des médecins l’avait baisé dans un club du Cap et avait adoré. L’embaucher, c’était l’avoir pas loin de soi, à sa disposition. Il n’a pas eu de mal à faire passer sa candidature aux deux autres médecins du centre qui ont rapidement compris qu’ils pouvaient en profiter aussi. Bref, elle est rapidement devenue indispensable au bon fonctionnement de cette équipe. Chacun avait son jour avec elle et ses trous restaient rarement propres jusqu’au soir. Mais dans l’ensemble, les horaires plus réguliers qu’au club étaient mieux adaptés à ses contraintes.


Mais fin 2015, son mari a été muté dans le Nord. Déménagement, changement de cadre… Elle avait quitté le Sud et sa chaleur pour la chaleur humaine des Ch’tis. Mais en arrivant là, il a fallut recréer un réseau de relations, d’amis. Sa vie sexuelle extra-conjugale s’est considérablement ralenti à son grand désespoir… Et puis, de fil en aiguille elle a fait son trou, en lien avec les activités scolaires et associatives de ses enfants. Et elle a rencontré Carla, 32 ans. Elles avaient beaucoup de points communs (nombreux déménagements, maris occupés, sexualité très active…) et ont vite sympathisé. Carla avait un travail un peu particulier : elle était démonstratrice des sex-toys à domicile pour une fameuse marque. Mais voilà, Carla a dû changer de région pour suivre à nouveau son mari et lui a proposé de prendre le relai en lui offrant son carnet d’adresse. Et voilà comment Sandrine est devenue démonstratrice à son tour pour cette marque. Et là, inutile de dire que sa salopitude développée dans le Sud est revenue très vite. Les démonstrations étaient l’occasion de nombreuses dérives que laissait passer la direction : tant que les ventes arrivaient, ils n’en avaient rien à foutre. Sandrine a connu à ce moment-là quelques expériences avec des femmes et surtout des rencontres et des aventures avec plusieurs hommes ; elle a eu une appétence immédiate pour la double pénétration, sa pratique préférée depuis. Parfois, son mari a pu l’aider sur certains rdv importants : il a pu s’envoyer quelques clientes pendant que Madame se faisait enfiler ; juste retour des choses en somme.


Cette activité se faisait cependant à des horaires atypiques et, bien que jouissif, cela est devenu pesant au fil du temps. Un client, la sachant dans cette dynamique, a proposé une mission dans son service (tiens tiens…) comptabilité au sien d’une marque de lingerie de la banlieue lilloise. Retour aux sources dans le domaine de la lingerie. Évidemment, elle a un peu donné de sa personne pendant cette mission et aidé parfois sur des négociations commerciales importantes (elle était très appréciée pour cela…). Là aussi, encore pas mal de cul, principalement avec des hommes.


Mais une nouvelle mutation de son mari l’a conduit à déménager à nouveau, cette fois dans ma ville. Et là pareil : besoin de recréer un réseau de relations, recherche d’un nouveau travail… Et c’est là qu’elle est tombée sur mon annonce.

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