Cultiver une amitié entre hommes, c'est aussi laisser ouvertes certaines tournures qu'elle pourrait prendre. C'est ce qui m'est arrivé. D'invitation en invitation, nos relations ont fini par prendre une tournure plus personnelle. On prévoit se branle4 ensemble plutôt que chacun dans son coin
Proposée le 17/07/2023 par Sacha
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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Ce qui m'a toujours rassuré chez cet ami plus âgé, c'est qu'il avait deux chambres dans son appartement. La sienne, plus une chambre d'ami juste en face. Ainsi, me disais-je, si un jour je devais accepter son hospitalité pour la nuit, et s'il se trouvait mû par un désir irrésistible, il ne me défoncerait pas le cul en me prenant à la hussarde.
Il ne m'avait jamais caché son attirance pour les garçons, et sentait bien que cela m'émoustillait. Mais moi, je ne suis pas du genre à me faire mettre par le premier venu, je voulais d'abord cultiver une amitié, même sous ses facettes un peu troubles, celles de l'attirance physique, quitte à ce que cette amitié prenne éventuellement un jour une tournure charnelle.
En plus, j'ai aperçu un soir sa queue, quand il prenait sa douche, il bandait, mais son engin me parut aussi attirant que de taille raisonnable. Donc pourquoi pas?
J'ai enfin accepté un soir de rester dormir chez lui, à condition bien sûr que ce soit dans la chambre d'ami. Chacun alla donc se coucher de son côté. Vous vous retrouvez nu, tout seul, dans la moiteur d'une nuit d'été bordelaise, il fait même si chaud que vous repoussez le drap pour sentir un courant frais et léger sur vos fesses. Cela fait drôle, c'est même un peu troublant de se dire que, derrière la cloison, un homme vous désire, il vous l'a bien dit et fait comprendre à plusieurs reprises, comme vous-même rêvez de son approche. Se masturberait-il comme je suis moi-même tenté de le faire? Ce serait vraiment trop dommage, c'est tellement mieux à deux.
Cette attente me semblait donc interminable. Il me fallait jouir pour mieux m'enfoncer dans le sommeil. Mais de préférence pas tout seul. Et fort heureusement le miracle survint. À pas de loup il se glissa dans ma chambre. À tâtons dans la pénombre il trouva une croupe, la mienne, qu'il couvrit de caresses et de baisers durant une éternité, et qui à vrai dire n'attendait que ça.
Il crut nécessaire de se justifier. D'après lui, tout était de ma faute, je passais mon temps à l'émouqtiller, à l'aguicher, à l'exciter. Ce en quoi il ne trompait pas entièrement.
"Cambre bien tes fesses !", me dit-il. Je me suis exécuté de bonne grâce. Il put ainsi atteindre et malaxer mes bourses friandes de ses caresses en même temps que captives de ses mains expertes en matière d'amours viriles, puis saisit brusquement ma queue déjà bien raide. On aurait dit qu'il en mourait d'envie. Moi aussi.
Il bandait ferme. Je pris l'initiative d'empoigner nos deux queues dressées vers le ciel et de commencer à les branler, ces queues qui se sentaient si bien l'une contre l'autre. Puis à chacun sa queue, je veux dire celle de l'autre. Jusqu'à l'éjaculation. On giclait souvent en même temps.
Tout cela était si plaisant que, comme on s'en doute, ce scénario se répéta bien des fois. Jusqu'au jour où il me dit sur un ton un peu furieux qu'il avait passé l'âge de la petite branlette entre copains. Je pouvais bien sûr préférer en rester là, cela ne tenait qu'à moi, mais alors il allait changer de partenaire. J'en fus piqué, un peu jaloux même, presque honteux de m'être refusé à lui si longtemps. Il me compara à une biche effarouchée, toujours en rut mais jamais disposée à offrir ses charmes. Autrement dit, mon cul.
C'est que la biche en moi ne voulait pas décevoir le mâle qui l'attire tant. La fois suivante, je ne l'attendais pas bien sagement allongé sur le ventre mais à quatre pattes, comme soumise, en levrette.
"C'est comme ça que tu m'plais". Alors j'ai cambré davantage mes fesses déjà bien écartées, en signe de consentement. Il me flattait la croupe, comblait de ses caresses mes fesses rebondies, ma raie, et même ma rosette bien enfouie dans ma fente. Mon petit trou se contractait et se dilatait à mesure. Son gland s'aboucha à ma ventouse, je me dandinais du cul comme une petite folle. J'allais me faire prendre en levrette - et même pas honte ! La biche effarouchées tremblait d'appréhension en même temps que de désir, mais voulait son mâle.
Son gland me pénétra enfin complètement, puis bientôt toute sa hampe, enfin il me baisait, son va-et-vient me comblait, la fornication allait bon train, mon petit trou serrait sa bite, et il m'a fécondé de sa semence. Enfin la queue d'un mâle avait coulissé et joui en moi .
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