Une belle-mère comblée.

Dire que je me consolais en regardant des films pornos sans savoir que sous mon propre toit il y avait bien mieux. Je sais, c'est le fils de mon défunt mari, mais comment ne pas réagir en voyant comment la nature l'a gâté. Je n'en crois pas mes yeux.

Proposée le 2/11/2020 par mlkjhg39

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

LE HAREM DE PATRICK
9ème EPISODE
Je trouve sous mon toit mieux que dans les films porno.

Je m'appelle Anne-Marie, 41 ans, veuve depuis quelques années, 1m 72 avec une très belle poitrine et des fesses bien charnues. J'ai deux enfants, ma fille Annie, 20 ans et mon beau-fils de 19 ans, Patrick que j'élève depuis ses 8 ans, ils ont à peu près le même âge, mon deuxième mari ayant eut un fils avant de me connaitre.

Je peux avouer qu'il y a des moments où le sexe me manque. Mes deux maris n'étaient pas des bêtes de sexe et m'ont souvent laissée sur ma fin. J'ai rarement gouté au plaisir. J'ai eu quelques aventures avec des amants de passage mais ça n'est jamais allé bien loin.

Je vis dans un pavillon de banlieue avec Patrick, mon beau-fils. Ma fille pour ses études n'est plus à la maison. Ces temps ci, Je vois moins souvent Patrick, il me dit qu'il est chez sa copine, je ne l'a connais pas encore et il ne rentre des fois pas pendant plusieurs jours.

Le seul dérivatif que j'ai trouvé, c'est de temps en temps regarder des sites internet pour adultes, cherchant de préférence des vidéos d'hommes très bien membrés, mon fantasme. Les plus grandes teubs que j'ai connues ne dépassant jamais plus quinze ou seize centimètres. Une bonne moyenne.

Une nuit, étant rentrée assez tard du travail, persuadée que mon fils n'est pas à la maison, je regarde une vidéo ou un homme bien monté se fait deux jeunettes. Il a une si belle grosse bite que je m'assoie confortablement pour regarder ses prouesses sexuelles avec ses deux femelles.
Je me déshabille, bien calée sur ma chaise les jambes largement ouvertes, je ne peux empêcher que mes mains glissent entre mes jambes pour jouer avec ma chatte humide.
J’enfonce mes doigts dans ma vulve me massant ma poitrine avec l'autre main en regardant cette grosse queue.
Je vois sa main branler son chibre d'une vingtaine de cm, dur et gros, se faisant sucer par les belles filles à genoux. Ca fait environ vingt minutes que ça dure et je suis toute trempée, je suis sur le point de jouir quand j'entends un bruit derrière moi.
Je tourne vivement la tête et là, adossé au mur, mon beau-fils se branle en me regardant.

Mes yeux sont aussitôt attirés par son sexe, chaque mouvement de sa main laissant dépasser une hampe magnifique terminée par un gland turgescent. Comme pétrifiés, nous restons un long moment sans réagir. Se fixant mutuellement.
Soudain je reviens à la réalité et cache mon corps comme je le peux.

Ca le fait réagir, il retire la main de sa bite et regagne sa chambre sans se presser. Je vois alors une monstrueuse excroissance bien raide à l'horizontale poindre au centre de son corps et remuer de droite à gauche à chacun de ses pas, puis j'entends claquer la porte de sa chambre.
Je suis terrorisée, ne sachant comment réagir. Je revois la scène. Patrick me regardant me masturber comme une folle en train de branler un sexe immense.
J'enfile en vitesse ma robe de chambre et décide d'aller lui parler, il faut crever l'abcès immédiatement. Je me dirige vers sa chambre, pousse la porte et entre sans frapper.
Comment va-t-il réagir?

Je le trouve allongé sur son lit la bite à la main, se branlant doucement.
Pour la deuxième fois de la soirée je suis devant la queue énorme du fils de mon ex mari.
Il me voit et ne réagit pas, continuant à se caresser. Je m’approche et m'assois sur le bord de son lit, involontairement ma robe de chambre glisse de chaque coté de mes jambes. Il me regarde. Je lui souris et lui explique.

-Il n'y a rien de mal à se masturber. J'aime ça tout autant que toi, ni plus ni moins... Et il n’y a rien de mal non plus à simplement regarder une autre personne le faire, n’est ce pas?
Et je l'interroge.
- Je peux te regarder te caresser?
Il tient sa hampe magnifique fièrement au garde à vous.
- Tu as un sacré engin...il est énorme!!!

Ses yeux se sont fixés dans les miens. Mon esprit disjoncte, je ne pense plus qu'a cette énorme bite à quelques centimètres de moi.
Patrick ne sait pas trop quoi faire. Il lâche son sexe qui tombe sur son ventre cachant son nombril, d’énormes veines pulsent en cadence du sang sur toute la longueur de sa verge. Je ne peux quitter des yeux la grosse tête bulbeuse de cette queue massive qui se tient devant mes yeux.

- Mon dieu! Elle est d'une épaisseur incroyable. Tu as une queue magnifique!
Je ne peux retenir ma main, qui tel un automate, s'approche de sa virilité brandie et j’entoure de mes doigts cette monstrueuse colonne de chair, ils n'en font pas le tour.

Il laisse échapper un gémissement au contact de mes doigts entourant sa majestueuse trique. Je fais courir ma main sur toute la longueur de cet incroyable chibre.
-Il mesure combien?
Cette queue géante mesure à vue d'œil au moins 23cm et un bon 18cm d'épaisseur, c'est monstrueux. Mon beau-fils est monté comme un taureau.
Soudain je réalise, que sans le vouloir, ma main animée d'une vie propre, est en train de le branler, sentant ses veines palpiter à travers mes doigts.
Mon autre main c'est saisi de ses couilles, elles sont du même calibre que sa queue, énormes et gonflées.

- Continue Anne-Marie... C’est bon!

Je reviens sur terre, il gémit sous la caresse. Complètement subjuguée par la taille de son manche dans ma main, je me lance et lui murmure d'une voix douce.

-Tu es drôlement bien membré. Je ne savais pas qu'il y avait sous mon toit encore mieux que dans les films pornos... Tu veux que je continue?

Qui ne dit rien consent, je continue donc à branler doucement son beau pénis pendant près de dix minutes. Il est devenu d'une dureté ferrugineuse.

- Si tu veux, joue avec ma chatte pendant que je m'occupe de ta belle bite!
Je n'en reviens pas de ce que je viens de dire, c'est mon beau-fils, mais je l’ai élevé, mais je ne vois plus en lui qu'un énorme gode de chair.
Il me sourit et hoche la tête
Je lâche à regret sa bite, enlève ma robe de chambre et grimpe sur le lit, nous mettant tête- bèche. Patrick commence à frotter sa main sur ma vulve humide et je reprends en main sa grosse teub en parfaite érection.
Je lui suggère d'une voix rauque et profonde.

- Oh oui mon bébé, joue avec la chatte de maman !

Il roule ses doigts autour des grandes lèvres de ma foufoune, avant de glisser l'index sur mon clitoris et de travailler ce bouton sensible. Je suis surprise de sa dextérité.

- Putain ... ta bite est vraiment monstrueuse, elle est dure comme du bois !
Ça fait bien vingt minutes que je branle et secoue cette trique géante de jeune mâle et il n'a toujours pas joui. Patrick n'est pas un éjaculateur précoce, il a une sacrée endurance pour un jeunot.
Je sens qu'il s'impatiente et que l'instant fatidique approche. Mais comme j’ai trop envie qu’il me prenne, je mouille encore plus à l'idée de cet énorme phallus enfoncé dans ma grotte.
Mais est ce que je vais supporter l'introduction de sa tête chercheuse? Elle est vraiment énorme ! Alors je lui suggère ;

- Retourne-toi et jouis sur ma chatte... Je veux sentir ton sperme brûlant sur moi.

Tel un bon élève, il obéit et agrippant à pleine main sa grosse queue vigoureuse, et il se masturbe de plus en plus vite en approchant son gland violacé vers ma cramouille excitée, il en frotte les lèvres en même temps que je caresse celle-ci de mes doigts.
Il appuie tellement son gland contre ma chatte que je commence à me demander s’il ne va pas me le mettre en moi.
Soudain il me serre fortement dans ses bras, m'empêchant de bouger et glisse ses premiers centimètres à l'intérieur de ma chatte. Je pousse un cri mais ne peux me dégager de ses bras puissants.
C'est comme si mon vagin était écartelé en deux parties au fur et à mesure que son gland complètement décalotté progresse à l’intérieur de mon sexe.

Il s’enfonce tout en douceur au plus profond dans ma caverne frémissante, je n'arrête plus de geindre, mes yeux fixant cette verge qui pénètre cm par cm et écartèle mes chairs.
J'ai finalement réussi, sans trop crier, à mettre son bélier de chair entièrement dans ma fente. Le bout de son gland a heurté le fond de mon con et mes muscles vaginaux ont comprimé l'immense verge épaisse.
Je regarde Patrick et je me dis que je suis une belle salope.
Mais le plaisir que je ressens avec son beau pénis qui remplit si bien ma chatte me fait vite tout oublier.

- Ooohhh... Ouiiiii… je suis pleine de ta bite …. Mon dieu !!! Baise-moi bien Patrick!!! OH !! OH !! OH !!

Il m'a redressée, c'est assis sur le bord du lit après avoir mis mes jambes autour de ses hanches, son manche toujours fiché en moi, je ramène mes pieds sur le lit et me soulève en faisant sortir sa queue couverte de mouille et redescends jusqu'aux couilles.
Nos pubis s’entrechoquent et je pousse des gémissements de plaisir à chaque poussée de sa bite épaisse.

- Patrick, ta grosse queue défonce ma putain de chatte!

Mon vagin compresse sa verge. Je donne de violents coups de croupe sur sa bite, c'est si serré qu'un fort bruit de succion résonne à chaque fois que son chibre compresse l'air dans le fond de ma chatte.

-Baise-moi...Plus fort, encore, encore !
Je hurle presque, mes gros seins rebondissent sauvagement sur le visage de Patrick qui essaie de les attraper, ses grosses couilles frappent mon cul à chaque fois que je claque mes fesses sur ses cuisses.
À l'intérieur de mon temple d'amour je sens bien cette bite démesurée en moi.
J'arrête d’aller et venir sur son engin et assise sur lui, je contracte les muscles internes de mon vagin, malaxe et comprime toute la surface du membre emprisonné.
Je broie lentement ce monstre de chair qui décidément ne veut pas jouir. Ma chatte est maintenant complètement trempée et je sens qu'un orgasme va me faire vibrer de toutes les fibres de mon corps.

- Ahhhhhh !oui là ... oui c'est bon ! Tu es si dur, ahhhhhh... Enfonce-la à fond ! Oui comme ça ...ouiiiii, , ahhhhhh, maman va bientôt jouir sur ta putain de bite.
- Jouis, jouis sur mon nœud, vas-y... laisse toi aller car je ne tiendrai pas longtemps.
- Aahhhh, je vais exploser, ahhhhhh je vais jouir, c'est si booonnn !!!

Je sens les muscles de mon vagin serrer sa queue, et je sens également que ma fontaine de plaisir est sur le point d'exploser.
Je n’ai jamais pris des coups de bite aussi puissants.
J'ai crié si fort, que ma voix a couvert les claquements de nos corps et le grincement du lit au-dessous de nous.

- Maintenant ! Jouis ! Lâche-toi...aaagghrr..Putain, je coule...

Je sens d'énormes quantités de sperme gicler et frapper les parois internes de mon sexe, et au plus profond de ma matrice comme jamais je ne l’ai connu auparavant.
Patrick gémit de plus en plus fort et continue de frapper mon sexe avec son monstre et n’arrête pas d’expulser sa semence à l'intérieur de moi. Je le sens gicler et se répandre, inondant ma chatte au plus profond de celle-ci, inondant mon utérus avec une crème chaude et bienfaisante, et d'un effort surhumain il arrache mon fourreau en feu de sa bite, me jette sur le lit et continu de gicler.
Je regarde les jets épais et lourds de son sperme atterrir sur ma chatte, sur mon ventre sur mes seins.
- OH OUI, C'EST MON BÉBÉ QUI JOUIT ! Va y, mets en partout....Arrose bien mon minou!

Sur le moment je ne peux encore réaliser la quantité phénoménale de sperme qu'il éjacule sur moi. L'extérieur de ma chatte est couvert de son foutre et elle se vide à chaque contraction incontrôlable de mon vagin du trop plein de jus dans ma raie des fesses vers mon trou du cul.
Je pense à ce qui vient de se passer et n'en reviens pas que mon beau-fils soit devenu un vrai homme, mais ce qui m'étonne le plus c'est sa maturité sexuelle digne d'un amant très fougueux, de la façon qu'il a de prendre le contrôle de nos ébats torrides.
Et comment fait-il pour avoir une telle endurance, sans parler de la quantité effroyable de sperme qu'il expulse en une seule jouissance?
Je me redresse et me lève du lit et vois ébahie son énorme sexe turgescent toujours raide. Patrick bande toujours!!!!!!

-J'ai toujours envie de toi! Me dit-il en me faisant agenouiller entre ses cuisses.

Il met ses deux mains sur ma tête et amène de force ma bouche sur son gland.
Il enfonce profondément son énorme bite dans ma bouche et je sens déjà mon coquillage qui commence à se contracter puis s’élargir. Je suis tellement excitée que mon jus de plaisir recommence à couler hors de ma chatte.

Je commence à sucer la queue extrêmement dure goutant nos sécrétions intimes, les yeux fermés, tout en m’émerveillant de la rigidité fabuleuse de cet engin.
Le sentiment d'avoir une bite aussi grosse et, en plus celle de mon beau-fils dans ma bouche est irréel.
Complètement désinhibée j’avance davantage ma bouche de la base velue, écartant les mâchoires autant que je peux, avalant entièrement toute cette colonne charnue.
J’ai l’impression que sa queue épaisse augmente encore de taille et de raideur. Le gland énorme s'appuyant sur ma luette.

Pendant une vingtaine de minutes, il m'oblige à continuer ma fellation, ma bouche n'en peut plus. Mes doigts serrés comme ils le peuvent sur la base de son énorme engin.
Sa bite palpite de plus en plus. J’ai hâte maintenant de sentir sa décharge dans ma bouche, et d’être obligée d’avaler aussi rapidement que je pourrai tout le sperme dégorgé par son énorme chibre.

- Ahhhhhhhhh... je vais juter ! Gémit Patrick. " Ooohhh! Ça va gicler ! Je vais tout lâcher!

Enfin ! J'ai réussi à le faire jouir pour la deuxième fois!
Sa verge se gonfle et décharge toujours aussi puissamment son sperme chaud qui remplit ma bouche affamée, et gicle dans ma gorge.
J'avale avec difficulté ce flot de sperme mais ne peux tout absorber, il remplit ma bouche de sa semence, je continue de m’accrocher à l’énorme bâton crémeux, appréciant le goût du liquide légèrement salé de Patrick.

Apres avoir dégluti, Je retire lentement de ma bouche sa queue qui a à peine baissée la tête et diminuée de grosseur. Je me gausse.
– Pouah !... Ta queue est toute poisseuse!...

Mais au moment où je me relève il me repousse sur son lit à plat ventre et présente sa verge contre ma chatte, afin de faire coïncider le gland avec l'ouverture de mon vagin et c'est reparti pour un tour.
Il reprend sa chevauchée fantastique, sa verge qui a reprit sa dureté ferrugineuse coulisse dans mon vagin dilaté.
La montée de la jouissance est plus longue, plus insidieuse. Le massage de sa queue sur mes muscles intimes accentue son plaisir et après 20 minutes sentant l'orgasme le gagner sans qu'il ne puisse le freiner, il crochète mes hanches.
Pour arriver rapidement à ma délivrance sexuelle, sachant que Patrick est aux portes de la jouissance, je glisse une main entre mes cuisses afin de me frotter le clitoris avec entrain.

Ne pouvant contenir plus longtemps cette éjaculation qui lui gonfle la queue, il se cambre convulsivement, enfonçant profondément son membre à l'intérieur de moi.
Dans un râle presque inhumain, il lâche pour la troisième fois son jus, le corps complètement tétanisé, les rafales de sperme jaillissant de la verge plantée dans mon sexe m’inondant à la manière d'un lavement, j'éprouve à mon tour un terrible orgasme.
Notre couple incestueux (enfin pas réellement) demeure ainsi, tendrement enlacé et intimement uni, un long moment à reprendre nos esprits.

Je m'éclipse à regret de sa chambre et gagne la mienne après une douche pour nettoyer mon corps couvert de foutre.
C'est incroyable, il ma besogné si longtemps et a envoyé trois fois des charges phénoménales et pourtant quand je suis sorti de sa chambre sa queue avait à peine débandée.

Ma nuit est pleine de rêves ou Patrick tient le rôle principal. Enfin vous voyez lequel.

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