Anne est amie avec Sophie depuis 15 ans. Une belle amitié qui a fait que la famille de Sophie considère Anne comme une des leurs. Un membre de la famille qui se dévoue pour garder une amitié et réaliser ses fantasmes.
Proposée le 7/07/2023 par anne
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Nico rentra et Sophie alla s’installer chez lui. Quelques jours plus tard, elle me contacta pour me demander si je pouvais aller diner avec Richard, elle et Nico pour l’anniversaire de celui-ci. J’étais réticente à l’idée de passer la soirée avec Richard mais j’acceptais car mon amitié avec Sophie passait avant tout.
Elle avait réservé dans un magnifique restaurant où la tenue de soirée était de rigueur. Je mis un chemisier blanc et une jupe longue noire, fendue sur le côté. Nico et Sophie vinrent me prendre, Richard devait nous rejoindre de son côté.
Nous nous installâmes et commandèrent notre diner. C’était une soirée avec orchestre et Nico invita Sophie à danser. Un silence gênant s’installa entre Richard et moi. Il me proposa de danser, je refusais. Mais je ne résistais pas à l’envie de lui caresser l’entrejambe sous la table avec mon pied. Il fit de même. Je pris mon portable et lui envoyait un message disant que je portais un string noir. Il me répondit que je mentais.
Les amoureux revinrent à table et nous continuâmes notre soirée. Richard invita Sophie à danser et Nico en profita pour me demander des explications sur le départ de Martine. Je lui dis le peu que je savais et lui demandait comment allait Sophie. Il me dit qu’elle encaissait mais n’en parlait pas. Il s’inquiétait car elle-même s’inquiétait pour son père.
Richard et Sophie revinrent à table et je filais aux toilettes. Sophie me rejoignit et me demanda ce qui se passait. Je répondis que je ne voyais pas de quoi elle parlait. Elle me dit que son père et moi avions l’air mal à l’aise, alors que depuis toujours nous étions en bons termes.
Je lui expliquais que j’avais surpris Richard en train de pleurer le soir du départ de Martine, que j’étais gênée et surement lui aussi. Sophie accepta mon explication et partit. J’en profitais pour envoyer un message à Richard afin qu’il tienne le même discours si elle lui posait la question. En revenant à table, je réussis à glisser, discrètement, mon string dans la poche de la veste de Richard.
Au moment de partir, Nico demanda à Richard s’il pouvait me raccompagner car il avait préparé une suite pour la soirée pour Sophie. Richard accepta et nous nous séparâmes.
En cours de route, Richard changea de direction et stoppa sa voiture sur un petit parking caché par des arbres. Je lui demandais pourquoi, il ne répondit pas. Il sorti de la voiture, la contourna et vint ouvrir ma portière. Je sortis et attendis. Je ne savais pas ce qu’il voulait faire, il ne disait toujours rien.
D’un coup, il me tira par le bras et me poussa sur le capot. Relevant ma jupe, il constata que je ne portais pas de sous vêtement et me dis « menteuse », je répondis « regarde dans ta veste ». Il trouva mon string. Il baissa son pantalon, il ne portait pas de boxer. Sa verge était déjà bien dressée, son gland énorme m’attirait. J’essayais de me retenir mais je cédais.
Me laissant glisser sur le capot, je me mis à genoux et pris sa queue en bouche. Dieu que c’était bon. Il me remplissait jusqu’à la glotte. Je le suçais avidement comme si c’était la dernière fois que je pouvais en profiter. Il gémissait de plaisir. Je me relevais, me couchais dos contre le capot, levant les jambes. Il s’approcha, posa son gland contre ma chatte détrempée et me pénétra d’un coup. Je gémis de plaisir. Il me laboura la chatte. Ses couilles claquant contre mes fesses à chaque coup de burin. Il se retira juste avant d’envoyer la sauce afin de pouvoir déverser sur mes seins son sperme.
En grande faim de sexe, j’en redemandais. Je me tournais sur le capot afin qu’il m’encule. J’adore cela. Il vint tout doucement puis de plus en plus vite. Sa main s’occupait de mon clito, j’hurlais de plaisir. Nous jouîmes ensemble et nous restâmes quelques minutes comme cela.
Nous reprîmes la route et il s’arrêta chez lui. Je descendis, lui dit bonne nuit et parti en direction de chez moi. Il entra dans la maison. Je reçu un message me demandant si je voulais boire un verre. Bien que sachant que je ne devais pas, je fis demi-tour, sans répondre au texto. Je pénétrais dans la maison le plus doucement possible et, dans l’entrée, je retirais mes vêtements.
Je parcourais les pièces de la maison à la recherche de Richard, quand une main se posa sur ma bouche et que je sentis un corps derrière moi. Du coin de l’œil, dans un miroir, je vis Richard nu, sa queue d’enfer au garde à vous tel un militaire au 14 juillet. Je m’appuyais contre lui et laissais ses mains parcourir ma peau. Il m’électrisait.
Il me plaqua de face contre le mur et fourra sa grosse bite dans ma chatte détrempée. Il me lamina de toute ses forces. J’hurlais de plaisir. J’allais prendre mon pied quand il se retira et m’encula sans ménagement et se déchaina. J’hurlais mais cette fois, de douleur. Il semblait hors de contrôle.
Il me remplit le cul de foutre, se retira et sortit de la pièce. J’étais atterrée, pantelante me demandant ce qui venait d’arriver à Richard. Je gagnais l’entrée, me rhabillait et rentrait chez moi. Je couru sous la douche pensive et le cul endolori.
En me couchant, je regardais mon portable. J’avais un message de Sophie et un de Richard. Sophie me demandait de la rappeler, Richard me disait qu’il était désolé.
Décidant de ne plus m’occuper de Richard, j’appelais Sophie. Elle me demanda si elle pouvait passer me voir le lendemain car il était important qu’elle me parle. Je lui proposais de diner entre fille. Rendez-vous était pris pour 19H.
Sophie arriva à l’heure et sans même dire bonsoir, entra dans le vif du sujet « mon père a une maitresse ».
J’étais abasourdie et en stress. « Comment ça ton père à une maitresse ? t’as des preuves ? Tu sais qui sait ? Tu la connais ? »
« Hier soir, après être rentré avec Nico, je devais parler à papa. Je me suis rendu à la maison et je suis entrée. J’ai vu des vêtements dans l’entrée, et j’ai entendu des cris. J’ai avancé doucement dans le salon et j’ai vu mon père, nu, en train d’enculer une meuf qui hurlait tout ce qu’elle pouvait »
Je n’avais qu’une peur, c’est qu’elle ait reconnu mes fringues. « tu as vu la femme ? Tu l’as reconnu ? »
« Oui je l’ai vu mais non je n l’ai pas reconnu. Mais tu te rends compte, mon père à une maitresse. »
« Une maitresse, une maitresse, c’est vite dit. Tu l’as vu couché avec une femme. C’est tout. C’était peut-être un coup d’un soir. »
« Il ne t’as rien dit quand il t’a déposé après le resto ? »
« Non, il s’est arrêté devant chez vous et je suis rentée à pied. Puis tu vois ton père me faire des confidences ? »
« Non c’est vrai. Mais si tu savais quelques choses, tu me le dirais ? »
Il me fallait mentir à Sophie, 15 ans d’amitié et d’honnêteté qui volaient en éclats. « Bien sûr mais je ne suis pas la mieux placé pour en apprendre sur les relations sexuelles de ton père »
« Encore vrai mais cela me perturbe. Je sais que maman est partie et qu’il a, comme tout homme, des besoins mais voir mon père faire l’amour m’a choqué. Et après coup, tu vois, cela m’a excité. Pas parce que c’est mon père, mais le coté bestial qu’il dégageait. Nico est trop doux, trop planplan. »
Richard qui me malmène, Sophie qui m’annonce qu’elle nous a vu (sans savoir que c’est moi) et ensuite Savoir que Nico est planplan au plumard. Que me réserve la suite de la semaine ?
Pour détourner l’attention de Sophie de la maitresse de son père, je lui demandais si elle avait pensé à essayer de pimenter ses ébats.
« Oui, j’ai essayé les sex-toys, les menottes, les jeux de rôles, les déguisements. Mais Nico est très traditionnel. »
« Tu as déjà pensé à faire cela à 3 ? » « Oui me dit-elle. J’en ai même parler à Nico. Il serait d’accord si le troisième est une femme »
« Et tu te vois avec une femme qui couche avec ton homme avec ton accord ? »
« Oui si cela est toi »
Cette bonne blague. Je couche en douce avec le père, faudrait que je me mette à coucher avec la fille. « Mais Sophie, tu n’y penses pas. Tu es comme ma sœur, notre amitié pourrait ne pas résister »
« Justement, tu es la seule que j’accepterais. »
Super, magnifique, merveilleux. Je vais péter un plomb.
« Si tu veux réveiller le coté bestial de Nico, il faudrait plutôt qu’il mate ton père quand celui-ci besogne sa bonne amie »
« Tu me voies demander cela à papa ? moi non et Nico non plus »
« Tu me fais confiance ? Laisse-moi parler à ton père, je sais que le bonheur de sa fille lui importe beaucoup.
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