Je suis Anne, j'ai 21 ans et je vous raconte comment je suis devenu la maitresse du père de ma meilleure amie. Un homme proche de la cinquantaine, que je connais depuis toujours quasiment. Et cela va chambouler ma petite vie tranquille
Proposée le 19/07/2021 par anne
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Je m’appelle Anne, j’ai 21 ans. J’ai quasiment toujours vécu dans la même ville et depuis le CP, je suis amie avec Sophie R.
J’ai grandi en immeuble et Sophie en maison. Quand mes parents ont divorcé, la famille et la maison de Sophie sont un peu devenues miennes. J’étais toujours bien reçu et la porte était toujours ouverte. J’appelais sa mère Martine mais je disais toujours Monsieur à son père. Sauf quand je parlais de lui, je disais Richard.
Même avec l’éloignement du lycée et après du boulot, Sophie et moi avons continué à nous voir dès que nous le pouvions.
Un jour, je devais rejoindre Sophie chez ses parents où elle vivait encore alors que j’avais un petit appartement à quelques rues de là.
Comme partout où je vais, j’arrivais avec 15 minutes d’avance. Le père de Sophie était dans le jardin et vint me dire bonjour quand il me vit. Je lui dis que j’avais rendez-vous avec Sophie, que j’étais en avance et lui demandait si je pouvais m’asseoir sur le muret, au soleil, pour l’attendre. Il me répondit que oui.
Je profitais du soleil les yeux fermés quand une ombre se posa devant moi. J’ouvris un œil et vis Richard. Il me dit que Martine venait d’appeler, qu’elle et Sophie étaient coincés dans les bouchons et seraient en retard. Il me proposa d’entrer boire un verre et j’acceptais.
J’allais m’asseoir au bout du plan de travail. C’est une habitude que Martine m’avait donnée quand j’étais petite. Je ne la gênais pas pour préparer nos gouters ou le diner.
Richard me demanda ce que je voulais boire, je répondis un jus de fruit. Il me servit et m’apporta mon verre. Il prit appui contre l’ilot central et nous commençâmes à discuter de tout et de rien.
Je remuais mes pieds et ma tong tomba. J’allais descendre pour la remettre quand Richard me dit de ne pas bouger. Il se baissa et la remit à mon pied. Je vis son regard qui bloquait au niveau de mon entrejambe.
Je me rappelais alors que je portais une jupe et un débardeur sans sous-vêtement. Je resserrais mes jambes et Richard se releva.
Je ne porte jamais de soutif et quand je ne travaille pas, j’ai la mauvaise manie de ne pas mettre de culotte.
Je dis à Richard que j’étais désolée, il me répondit que ce n’était pas grave. Je zieutais le fond de mon verre, gênée par la situation. Je vis par un regard détourné qu’une bosse se formait sur le devant de son pantalon.
Je descendis du plan de travail et lui dit que j’allais attendre Sophie sur le muret. Il ne dit rien mais baissa les yeux sur moi. Je ne sais pas ce qu’il me prit, je l’embrassais. Je reculais d’un coup et sorti.
Sophie arriva quelques minutes plus tard et nous partîmes comme prévu.
Quelques semaines plus tard, Sophie débarqua chez moi en fin d’après midi, en larmes. Sur le coup, j’ai cru qu’elle s’était engueulée avec Nico, son copain, en déplacement professionnel depuis 15 jours. Mais a priori non. Elle me demanda si je pouvais l’accueillir jusqu’au mardi suivant, date du retour de Nico. Je lui dis que oui, qu’elle était ici chez elle.
Je lui servi un verre et je réussi tout de même à lui extirper quelques renseignements. Sa mère était partie, son père serait absent quelques jours aussi et elle ne se sentais pas de rester seule dans la maison familiale.
Elle me demanda si je pouvais faire un saut à la maison le lendemain matin afin de lui récupérer quelques affaires et laissa ses clés sur la table basse. Vers 20h30, elle s’endormit dans le canapé. Je posais une couverture sur elle et pris la décision d’aller chez ses parents ce soir.
J’entrais dans la maison et filais directement dans la chambre de Sophie. Je connaissais les lieux par cœur et il ne me fallut pas longtemps pour remplir son sac. Je passais par la salle de bain et je finissais son sac quand la porte de la chambre s’ouvrit. Je sursautais en poussant un cri.
C’était Richard, qui croyant trouver Sophie à la maison, venait discuter avec elle.
Je m’excusais d’avoir crié et lui expliquait que Sophie était chez moi et qu’elle m’avait demandé de venir lui chercher des affaires.
Il ne dit rien et descendit à la cuisine. Une fois le sac fini, je descendis aussi et allait dire au revoir à Richard.
Il était appuyé contre l’ilot central, un verre à la main et pleurait. Il me tournait le dos et ne savait pas que j’étais là. Je toussais un peu pour le prévenir de ma présence et il se retourna.
Il me demanda si j’avais un peu de temps et me proposa une bière. Je m’assis sur le plan de travail et acceptais la bière. Il m’expliqua que Martine était parti, en laissant une lettre sur la table. Qu’elle avait quitté la famille et la maison sans un regard en arrière. J’étais surprise car pour moi, ils formaient une famille unie, sans problème.
Je ne savais pas quoi dire sauf : « Mr R. je suis vraiment navrée pour vous et Sophie. Je ne sais pas quoi dire si ce n’est que je serais là pour Sophie et vous si besoin.
Il me demanda pourquoi je l’appelais Mr R. alors que je disais Martine à sa femme. Je lui répondis que Martine était un peu une seconde maman pour moi et que l’appeler par son prénom m’était venu naturellement. Mais que lui m’avait toujours impressionné. Il me demanda de l’appeler Richard dorénavant et j’acceptais.
Il me proposa une seconde bière que j’acceptais bien que la première me montait à la tête. Quand il me l’apporta, je perdis la raison. J’enserrais sa taille avec mes jambes et plantais mon regard dans le sien. J’étais en jupe et comme à mon habitude, je ne portais rien en dessous. Je frottais mon bas ventre contre le sien et lui proposais de le réconforter. Il se pencha sur moi et m’embrassa dans le cou. Je frémis en sentant ses lèvres sur ma peau. Cela eu pour effet de faire pointer mes seins, que mon petit débardeur ne cacha pas. Il releva celui-ci et prit mon sein en bouche. Je serrais plus fort l’étreinte de mes jambes et il se redressa. Il décroisa mes jambes et recula en s’excusant d’avoir perdu la tête, qu’il ne pouvait pas faire cela car j’étais la meilleure amie de sa fille.
Pour être honnête, j’étais déçu car bien que proche de la cinquantaine, il était bien foutu.
Je lui dis « Richard, je suis peut-être la meilleure amie de Sophie mais je suis une femme que vous ne laissez pas indifférente. Je sais que vous êtes malheureux car Martine est partie et je ne veux pas abuser de la situation mais je ne vous en voudrais pas si vous me preniez la maintenant sur la table juste pour vous défouler ».
Il ne répondit pas et je décidais de jouer mon va tout. Je m’approchais de lui, défis les boutons de sa chemise, desserra sa ceinture et déboutonna son jeans. Il ne me repoussa pas alors je fis tomber chemise, pantalon et boxer. Je le fis assoir sur une chaise et me mis à genoux devant lui. Je caressais son torse et descendais doucement mes mains.
Quand je posais ma main gauche sur sa verge, je compris qu’il n’était pas réticent à mes caresses. Je faisais des va et vient sur son sexe et de l’autre, je lui caressais les bourses. Il pencha la tête en arrière en fermant les yeux. Je me relevais et enlevais mes vêtements. Je m’assis face à lui et serrais mes seins contre son torse. Je sentais sa queue se dresser entre nous.
Il me regarda, se leva, je serrais mes jambes contre sa taille et il me coucha sur l’ilot central. Ses mains me caressaient, ses lèvres aussi. Sa langue entra dans ma chatte déjà détrempée. Je me cambrais sous l’effet de l’excitation. Il me demanda si j’étais sûre de mon choix, je répondis que s’il arrêtait maintenant, je ne lui pardonnerais jamais. Il me releva et me porta. Il me laissa glisser jusqu’à ce que sa queue soit au contact de ma chatte. Il hésita un instant alors je mis un petit coup de rein pour m’empaler sur son engin.
Il me regarda et me dit « tu n’as pas l’air comme ça à te voir » je répondis « cela fait longtemps que vous me habitez mes fantasmes ».
Il se coucha sur le sol de la cuisine et je m’empalais de nouveau sur son membre. Il était très bien monté et j’eu du mal à le faire entrer en entier. Je montais et descendais en serrant mon vagin à chaque descente. Lui me caressait tantôt les seins, tantôt le clito.
Je me penchais sur lui et lui demandait de me titiller le cul. Dans mes fantasmes, j’adorais que Richard m’encule. Il commença à me caresser l’anus et enfonça un doigt. Puis deux. Puis trois. J’étais au bord de l’extase. Sa grosse bite qui me remplissait la chatte et ses doigts le cul. Je lui demandais s’il aimait enculer, il me répondit que Martine n’aimait pas cela, qu’il n’avait pas fait cela depuis longtemps.
Ni une ni deux je sortais sa bite de ma chatte et présentais sa queue à l’entrée de mon petit trou. Tout doucement, je descendais, laissant à mon sphincter le temps de s’adapter à la taille de son membre. Je commençais des va et vient. J’adorais la sensation d’être rempli par lui.
Je jouis comme jamais quand il m’emplit de foutre.
Nous nous relevâmes et il s’excusa d’avoir perdu la tête. Je lui répondis qu’il n’avait pas à s’excuser, que j’avais aimé cela et que j’étais prête à remettre ça quand il voudrait.
Je m’habillais rapidement, lui caressa la queue une dernière fois et lui dit de m’appeler quand il aurait besoin de réconfort.
En rentrant chez moi, je vis Sophie qui dormait toujours dans le canapé. Je filais sous la douche et me dis que j’étais devenu folle, que l’avenir allait être compliqué.
Je n’imaginais pas à quel point…….
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Mais qu'est-ce que c'est c'est que cette manie d'utiliser le passé simple quand on ne sait pas le conjuguer. L'imparfait et le passé simple exigent un peu (juste un peu) d'adresse pour s'en servir, sinon le récit devient incohérent. Je ne comprends pas la note élevée de ce récit.
Posté le 13/01/2024
Anonyme
Super bon! Encore!
Posté le 10/08/2023
Lolo67
J'ai vraiment hâte de connaître la suite de l'histoire d'Anne. Félicitations
Posté le 13/08/2022
Anonyme
Vivement la suite
Posté le 27/07/2021
Anonyme
J'attends donc les suites avec impatience
Posté le 19/07/2021
Zebulon_Michel
C très mignon, j'en rêve.
Posté le 19/07/2021
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