Face à la crise des matières premières, Alitalia veut renégocier son contrat, mais qu’est-ce que le procédé habituel ? Le mentor de Cal, Francis pourrait bien avoir la solution. Un petit tout par là côte d’Azur avant d’aller à Milan s’impose.
Proposée le 26/06/2023 par Stan23JR
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Strip-tease
Personnages: FH
Lieu: Essayage
Type: Fantasme
Inès, Défilé très privée à Milan
28 Avril 2022 (Boutique Incanto Sensuale, Via Montenapoleone - Milan)
Cal et ses équipes étaient un peu perplexes devant le mail qu’il venait d’afficher sur le vidéoprojecteur. Il a été envoyé par la gestion contractuelle du groupe d’aviation italien Alitalia. C’est surtout par ce dernier passage qui posait question :
« Dans un contexte de crise et de trouble géopolitique pesant notamment sur le prix des matières premières, mais aussi avec un risque de récession majeur de la zone Euro, nous avons pris la décision d’ouvrir la procédure d’appel d’offres pour la fourniture de nos matières premières un an avant le terme de notre accord cadre et comme le prévoit le chapitre dix-huit, alinéa trois du CCAG. Comme vous êtes notre partenaire depuis près de 20 ans, nous vous réservons donc la primauté dans le cadre des négociations pour la signature du nouvel accord cadre pour la période 2023 - 2033, ces négociations devront se faire selon la méthode habituelle… »
Suivait tout un tas de règles contractuelles et de termes juridiques. La renégociation dans le cadre du contrat ne posait pas forcément un problème. Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, ce n’était pas le premier client à vouloir renégocier. Cal était habitué et rodé à ce genre d’exercice. Ce qui le laissait perplexe, c’était le « procédé habituel »
évoqué dans le mail.
Ce qu’il savait, c’est que ce contrat avait été remporté pour la première fois en 2003 et renouvelé en 2013. Il pensait disposer encore d’un an avant de devoir le renégocier. Il se dit, pendant que ses adjoints se penchaient sur la question, que la solution était évidente. Ce contrat avait été négocié par deux fois par son mentor. Son nom était apposé sur les contrats. En 2003, Cal ne faisait pas encore partie des effectifs et en 2013, il ne l’avait pas secondé sur ce dossier. C’était un de ces dossiers que Francis se chargeait de négocier seul.
Francis Loriot a été le meilleur directeur commercial de l’entreprise. C’est pour cela que Béa l’avait désigné comme tuteur pour Cal, à son arrivée chez Spittrain, « L’ancien », comme il aimait à l’appeler affectueusement lui avait appris toutes les ficelles du métier. C’est aussi à son contact qu’il avait entrevu le côté épicurien de sa personnalité.
Francis ne s'embarrasse pas dans la vie. Il prend la vie du bon côté, il collectionne les mariages et les divorces aussi. Il venait tout juste d’épouser en cinquième noce, Oleksandra, une ukrainienne à la chevelure bien blonde de 28 ans sa cadette. Le mariage a été célébré il y a un an. Cal était de la fête mais aussi de l’avant fête.
En effet, Francis est un candauliste. Il aime voir sa femme se faire baiser par d’autres et Oleksandra n’était pas farouche du tout. C’est exactement ce qu’il s’était dit avec les 4 autres témoins qui avaient eu la chance de lui passer dessus ce soir-là, dans sa robe de futur mariée.
L'alsacien dit finalement à ses adjoint(e)s qu’il avait peut-être une idée pour résoudre le problème, mais qu’il avait un coup de fil à passer pour cela. Il alla donc s’enfermer dans son bureau pour appeler son ancien mentor, qui depuis sa retraite il y a 5 ans s’était installé dans l’arrière-pays niçois.
- Allo ! Comment ça va mon cher Cal ? Lui répondit Francis au bout de trois tonalités, que me vaut le plaisir de t’avoir au téléphone ?
Il lui expliqua le souci et lui demanda ce qu’il voulait dire par « procédé habituel ».
- Bon on va faire simple, fais ce que je vais te dire : Confirme leur que tu acceptes leurs demandes. Prépare les propositions contractuelles et financières. Demande leur une date de présentation et vas-y seul, pas de délégation. Deux jours avant ton rendez-vous, je te propose de passer à la
maison. Tu seras plus près de Milan, je t’expliquerai tout ce qu’il y a à savoir et puis Oleksandra sera ravie de te revoir.
Il se sentait plus léger lorsqu’il raccrocha. Il était maintenant en position de sauver ce contrat à plus de 15 millions d’euros annuel (l’un
des dix plus gros). Et surtout il avait la perspective de passer un très bon moment dans l’arrière-pays niçois, et sûrement aussi l’arrière train
d’Oleksandra.
Le rendez - vous étant fixé à Milan pour le 29 avril. Il décida de prendre de l’avance et de se rendre dès le 26 dans la rade de Villefranche-sur-Mer, en face de Saint-Jean-Cap-Ferrat. La villa les pieds dans l’eau d’à peu près vingt millions d’euros était une demeure majestueuse. Francis avait toujours eu des goûts de luxe et il aimait montrer qu’il avait réussi dans la vie.
Oleksandra fut vraiment ravie de le revoir, son mètre quatre-vingt-sept juché sur des plateformes vertigineux le dépassait presque. Son petit débardeur ventre nue et sa minijupe ne cachaient vraiment rien de ces formes. Sa main qui lui soupesait les boules commençait à le faire durcir de plus en plus. La poignée de main de Francis était ferme. Il lui servit un bon Whisky single malt de 30 ans d’âge qu’il avait ramené d’un de ces voyages en Écosse. Ils commencèrent à parler de l’actualité et bien sûr de la guerre
en Ukraine qui touchait directement la famille d’Oleksandra.
- Tu crois que j’ai attendu que ce fou lance sa guerre ? tonna Francis. J’ai demandé à Sandra de me lister tous les membres de sa famille vivant encore en Ukraine et dès la mi-janvier, j’ai fait affréter un jet privé pour tous les récupérer. Ils venaient presque tous de Marioupol et quand tu vois ce qui se passe là-bas, je me dis qu’heureusement, on a pris les
devants.
- Oui ! Mon ours est un homme si prévoyant et si prévenant, embraya Oleksandra, tout en caressant le torse velu de Francis. Papa, Maman et ma
petite sœur sont installés dans une des maisons que possèdent Francis à Nice. Mon frère Aleksi, sa femme et mes deux neveux sont du côté de Toulon.
- Par contre, j’ai rien pu faire pour son cousin Oleg, lui est persuadé que c’est les russes les gentils dans l’histoire et n’a rien voulu entendre.
- Oleg a toujours été une tête de mule, précisa l’Ukrainienne. Il habite Kherson avec sa famille et on a plus une seule nouvelle depuis que la ville a été prise. Je crains vraiment le pire surtout pour mes nièces et mon neveux, finit-elle l’air vraiment inquiète.
- Rassure toi ma puce, ton cousin ne rêvait que de collaborer avec les russes. Il doit être ravi à l’heure qu’il est. Lui ne craint rien, mais si la ville est reprise, il a intérêt, je pense, à ne plus être là.
Ils parlèrent ensuite de sujets plus légers et ils finirent par aborder le sujet de la venue de Cal au moment où furent servies les olives aux anchois. Mais la blonde voulait une autre sorte d’apéro. Elle ne portait désormais plus qu’un string jaune devant et bleu derrière, elle portait bien les couleurs de son pays, et venait de déboucler la
ceinture de Calvin pour prendre avec assurance son membre qu’elle enfonça directement dans sa bouche avant de le sucer avec douceur.
Francis laissa son invité savourer un peu la pipe de sa femme et embraya :
- Ton dossier je le connais bien. C’est moi même qui l’ai négocié il y a près de vingt ans. Tu te rappelles de Giorgia De Marco, Cal ?
Le pauvre Cal ne pouvait pas répondre prit par la furie qui s’acharnait à essayer de le sucer jusqu’à la moelle, et donc Francis continua :
- C’est elle qui était directrice commerciale à l’époque. Mais les italiens étaient déjà était clair à l’époque, ils ne voulaient pas de délégation. Il
aimait la discrétion et donc on a négocié en face à face avec Giorgia. Quels bons souvenirs.
À son expression, il comprit que son mentor avait pris son pied avec Madame De Marco. Par ailleurs, en parlant de pied, il était en train de déverser
une bonne quantité de foutre dans la petite bouche d’Oleksandra, qui ne laissait rien filtrer de la commissure de ses lèvres.
- En 2013, elle était venue avec celle qui allait devenir sa remplaçante pour la former. Elle était encore un peu timide la petite jeune mais elle
avait vite appris. J’ai été ravi d’apprendre que j’étais le premier à lui faire le cul dans un cadre pro. Par contre, elle s’est bien rattrapée
depuis, et notamment à mon défilé.
En effet, Spittrain avait organisé une superbe réception pour le départ à la retraite de Francis, il y a cinq ans, pour service rendu. A l’époque, Cal était encore marié et fidèle, donc il n’avait pas participé à l’after, qui apparemment avait été mémorable.
- Quoi qu’il en soit, je suis certain que tout marié et fidèle que tu étais, tu l’as remarqué. Jana Lorenzi, la fille toute menue et toute petite, à peine un mètre cinquante-huit, mais tu n’as pas pu la rater dans sa robe blanche et rouge.
Au moment où il allait répondre, Sandra se remit entre eux, elle ne portait toujours que son string et avait les seins encore à l’air, elle lui massait doucement les bourses :
- Oui effectivement. Cette petite brune avait vraiment tout pour me plaire. Dommage qu’à l’époque je ne savais pas ce que je sais maintenant sur les
mœurs de mon ex. Mais bon, de l’eau a coulé sous les ponts. Tu me conseilles quoi pour me démarquer des autres ?
- En fait, ce n’est pas tant ta proposition qui importe pour elle, mais plutôt ta façon de le dire. Ta façon d’être, ta personnalité et probablement aussi ton audace, lui expliqua-t-il sous le regard surpris de son interlocuteur. Moi, par exemple, lors de notre dernière entrevue à Milan avec Georgia, je lui avais offert un collier de chien et une laisse.
- Ah oui vraiment ? C’est très particulier.
- T’inquiète pas, j’avais bien toute ma tête. Elle avait beaucoup aimé que je la promène la nuit dans le parc de l’hôtel. En revanche, pour Jana, la chose que je me rappelle et qui pourra t’aider je pense, c’est qu’elle adorait la belle lingerie et très chère de surcroît. Si je ne m’abuse, tu as une amie dans le domaine de la mode je crois ?
- Oui Stella fait de la haute couture et à Milan en plus. Je vais l’appeler, ce ne sera pas superflu je pense.
Il monta lui passer un coup de fil. Cette dernière était enthousiaste à l’idée de l’aider et lui proposa un déjeuner à Milan dans deux jours afin que déjà, ils se retrouvent et qu’elle l’aident ensuite.
Le restant du séjour chez Francis fut très plaisant. Il baisa l’Ukrainienne un nombre incalculable de fois devant son mari consentant. Par moment, celui-ci participait même à des double pénétration incroyable.
C’est donc plutôt content qu’il quitta Villefranche-sur-Mer pour se rendre de l’autre côté de la frontière. Il avait laissé son Aston Martin chez Francis et avait pris le jet privé de l’entreprise pour rejoindre la Lombardie. Quelques heures plus tard, il était attablé sur la terrasse du restaurant
Laura e Giu sur la Via Madonnina, avec Stella et devant des assiettes de Salade Caprese.
C’est lui qui démarra la discussion :
- Comment tu vas, chère Stella ? Comment va Gina ? C’est bien comme ça
qu’elle s’appelait je crois ?
- Oui c’est bien Gina, lui répondit-elle. Mais je ne suis plus avec elle
depuis déjà un mois.
-Ah bon, tout avait l’air de bien se passer quand on s’est vu juste après le nouvel an
pourtant.
Avec un sourire énigmatique, elle lui dit sur le ton de la confidence :
- En fait, j’ai rencontré sa sœur Giulia et elle a un petit truc en plus. Peut - être qu’elle est plus jeune ou qu’elle a moins de tabou.
- Tu es impayable Stes (il l’appelait souvent par ce surnom affectueux). J’imagine qu’elle aussi été hétéro avant de te rencontrer.
- Tout juste mon cher Cal. Et puis tu n’es pas en reste il me semble. Je crois que tu es passé par ce bon vieux Francis avant de venir ici et tu ne t’es pas gêné pour honorer comme il se doit sa femme.
- On ne peut rien te cacher. Mais justement c’est Francis qui m’a suggéré de venir te voir.
- Oui Francis connaît mes compétences et mes aptitudes, enchaîna-t-elle l’air toujours énigmatique.
- Attends ! Quoi ? Je croyais que tu t’intéressais uniquement aux femmes.
- Oui, c’est bien ça. J’avais une bonne relation et c’est toujours le cas, avec sa quatrième épouse Danika. On a fait pas mal de sorties shopping ici
à Milan. Et plus, depuis que tu nous a présentés il y a trois ans et demi.
- Eh bien, on pourra dire que je sais aussi être gentil de temps à autre.
- Par contre, j’ai réfléchi à ton problème. Moi je ne peux rien pour toi.Mais je sais qui peux. J’ai une amie ici à Milan, elle s’appelle Inès et elle possède une boutique de lingerie qui s’appelle Incanto Sensuale. C’est sur la Via MonteNapoleone. Je l’ai prévenu, elle t’attend dans l’après - midi.
- Merci beaucoup Stes. Tu me sors une sacrée épine du pied. Et puis ce nom d’enseigne c’est très intéressant diront nous. Par contre ton amie, c’est une amie ou une amie-amie ?
- Laisse tomber, j’ai tout essayé avec elle mais elle est désespérément hétéro. En fait, je me dis c’est tout à fait une fille pour toi. Et connaissant certains de ses ex-amants, crois-moi, tu ne vas pas t’ennuyer. En attendant redevenons un peu pro. Ta cliente, tu m’as bien dit qu’elle s’appelait Jana Lorenzi ? J’ai quelques histoires à te raconter sur elle
qui pourraient te servir dans ta négociation. On se connaît tous plus au moins dans le microcosme milanais.
Après ce déjeuner fort intéressant avec son amie, Cal se rendit sur l’une des avenues les plus animées de Milan. Il passa devant de nombreuses boutiques de luxe et s’arrêta devant une très large devanture avec d’innombrables mannequins portant de la lingerie très chics et surtout hors de prix. Le nom de la boutique s’affichait dans une couleur Or sur un fond bleu nuit.
Il entra et fut surpris. Au lieu d’aller déambuler au milieu de la lingerie, il se retrouva face à un grand desk avec une hôtesse toute pimpante et probablement portant la lingerie chic du magasin sous son tailleur rouge carmin.
Elle lui sourit et s’adressa à lui dans trois langues différentes dont le Français. Même s’il se débrouillait pas mal dans la langue de Dante, il choisit de poursuivre avec elle dans celle de Voltaire.
Il lui expliqua qu’il avait rendez-vous avec sa patronne, Inès Tonelli. Elle lui proposa donc de la suivre. Ces hauts talons claquaient sur le sol
de marbre. Elle avait une sacré démarche, un peu féline, et son déhanché du cul aimantait le regard de Cal.
Elle le mena jusqu’à un bureau au fond du magasin où elle lui servit à sa demande un Machiatto latte. Il n’attendit que deux à trois minutes avant qu’une
grande blonde juchée sur des escarpins avec un talon de dix centimètres ne le rejoigne.
Il voyait pourquoi Stes aurait bien voulu se la faire. Un beau visage, un petit nez en trompette, des lèvres bien dessinées. Ajoutez à cela une poitrine qui devait faire un agréable 90 B, qu’elle cachait à peine par un chemisier bleu nuit probablement une grande marque. Les deux boutons du haut étaient ouverts ainsi que deux du bas. Du coup, il avait une vue
directe sur son décolleté et le diamant qu’elle avait au nombril. Il ne voyait pas le côté pile. Mais il devait bien être mis en valeur par une jupe crayon, toujours de couleur bleue nuit et vraisemblablement des bas sombres.
Elle s’assit à son bureau et entama la discussion :
- Stella m’a expliqué votre demande. Je suis tout à fait en mesure de vous aider. Mais pour cerner votre recherche, je dois déjà savoir quelles sont vos limites.
- Si c’est de l’aspect financier que vous parlez, sachez que ma boite et moi-même n’avons aucune limite, sachant qu’il s’agit d’un cadeau d’entreprise.
- Je suis ravie de l’entendre. Mais j’abordais aussi la question d’un point de vue esthétique. Par rapport aux matériaux utilisés, notamment. Ou encore
du pays d’origine de nos matières premières. Beaucoup de nos clients nous demandent par exemple si nos produits sont écoresponsables. Cela peut-être des limites vis à vis des styles. Par exemple, vous pourriez ne pas vouloir un genre, disons… agressifs.
- Non. Rassurez-vous. Aucune limite non plus de ce côté-là.
- Nous allons donc passer aux essayages, je vais vous proposez de me suivre
dans nos salons privées situés juste en dessous.
Il la suivit et pu ainsi admirer l’arrière de sa jupe qui couvrait à peine le porte-jarretelles noir qu’elle portait en dessous ainsi que ces bas. Ils passèrent une porte située derrière son bureau et descendirent un escalier en colimaçon. Ils arrivèrent dans une pièce bien décorée avec des étoffes posées un peu partout. Tout à côté, étaient disposés de moelleux canapés en cuir bleu nuit. Les couleurs du magasin allaient jusqu’au choix des canapés.
Une fois dans la pièce, elle lui donna quelques explications :
- Ce salon est totalement séparé des autres, on ne peut y accéder que par mon bureau. De ce fait, c’est moi même qui vous présenterai les modèles.
Cela vous convient-il monsieur Liénard.
- Mais il n’y a aucun problème, cela me convient parfaitement, Madame
Tonelli.
- S’il vous plaît, appelez-moi Inès. J’ai conservé le nom de famille de mon ex-mari uniquement pour des raisons professionnelles.
- Je vous comprends tout à fait chère Inès, mais à votre tour je vous invite à m’appeler Cal, si vous le voulez bien.
- Mais bien entendu Cal. Connaissez-vous les mensurations de la personne à laquelle votre société va faire ce cadeau ?
L’absence de réponse de Cal en disait long :
- Je m’y attendais. Vous avez de la chance Cal, reprit Inès. Il se trouve que Madame Lorenzi est une de nos clientes. Par conséquent, nous les
connaissons. Oui Stella m’a prévenu au sujet de votre cliente. Elle m’a dit aussi qu’il serait déplacé que votre secrétaire appelle la sienne pour
connaître les mensurations de sa patronne.
- Je vois que vous êtes très professionnelle. Stella a eu raison de vous recommander.
- Nous mettons un point d’honneur à satisfaire les besoins de nos clientes et de nos clients, termina-t-elle avec les yeux pétillants. En prévision de votre venue, j’ai pris la liberté de mettre des modèles de côtés pour vous les montrer. Je vous laisse patienter quelques minutes dans nos fauteuils. Je reviens très vite.
Elle déplaça son mètre soixante-douze d’une démarche assurée vers une pièce située à gauche de la salle principale.
A peine cinq minutes plus tard, il entendit de nouveau claquer ses talons. Il tourna la tête et faillit la laisser sur place. Il pensait qu’elle allait revenir avec tout un tas de cartons qu’elle déballarait devant lui. Surtout pas qu’elle essaierait les modèles elle-même.
- Je vous présente le modèle Sensory Illusion limited édition de chez Aubade, dit-elle juchée sur ses talons et ne portant plus qu’un ensemble soutien-gorge corbeille rose avec une petite bande de tissu à l’entre seins. Le string coordonné avec le soutien-gorge ainsi qu’un porte-jarretelles légèrement parcheminé devait être très doux au toucher.
Pour parachever le tout, elle avait mis des bas roses.
Elle déambula dans la pièce comme un vrai mannequin, permettant ainsi à Cal d’admirer ses belles fesses. Puis elle vint se poster devant lui :
- Vous pouvez toucher si vous voulez Cal.
Sans se faire prier, il remonta sa main le long des bas qui crissèrent légèrement et caressa les attaches du porte-jarretelle. En effet, c’était vraiment très doux. Puis sur son accord, il frôla légèrement son string avant de remonter vers son soutien-gorge pour toucher ses seins à travers la dentelle. Elle eut un frisson à ce léger contact, mais se reprit pour
lui donner d’autres explications, d’une voix très professionnelle.
- Ce modèle diffère du modèle que vous devez connaître dans le commerce car il est fabriqué à partir de dentelle de Calais. C’est ce qui le rend si doux au toucher. Vous ne trouvez pas ?
- Si Inès, cela correspond parfaitement aussi à la douceur de votre grain de peau, lui répondit-il, tandis qu’il effleurait la peau de son ventre du
revers de sa main.
- Si vous voulez bien, nous allons passer au modèle suivant.
Elle s’arracha à sa contemplation, pour revenir assez vite dans un body noir toujours juchée sur ces hauts talons.
- Voici un article qui pourrait vous intéresser. C’est un modèle Désert des roses, Gold Édition de chez Lise Charmel. Comme vous pouvez le voir, il est aussi modifié et en édition limitée. Les traits de couture sur le ventre et ceux remontant de l'entre fesses jusqu’au milieu du dos sont faits avec des fils d’or, lui dit-elle en lui présentant ostensiblement ses fesses.
Cette fois-ci, Cal n’y alla pas par quatre chemins et testa aussitôt les boutons de pression du body. Il passa légèrement dessous pour lui caresser le clitoris déjà bien gonflé. Elle le laissa faire quelques instants puis se tourna et s’assit à califourchon sur lui, le faisant encore plus bander.
Il toucha les roses dessinées sur l’avant du body. De tout près, il admira les motifs qui cachaient à peine les tétons en dessous et ne put s’empêcher d’en agacer légèrement les pointes. Elle garda, là encore, son self-control et parvient à se redresser pour aller passer le modèle suivant.
Là, on montait encore d’un cran. C’était une brassière ampliforme en dentelle fine noire. Le string minimaliste dessinait juste un V derrière. Devant, deux bandes qui rejoignaient le bout de dentelle cachaient à peine la chatte d’Inès. Elle avait mis aussi un porte-jarretelles avec une bande noire, ainsi que deux parties en dentelle situées de part et d’autre du
string, ainsi que les deux attaches qui retenait ses bas noir.
Il essayait de se concentrer sur ce qu’elle disait. Le sang avait, en partie, déserté son cerveau pour aller plus au sud.
- Ceci est le modèle Dreamland pour la brassière ainsi que pour le string. Mais pour le porte-jarretelles c’est un modèle appelé Exotique. Vous
pourrez notamment admirer ces motifs exotiques en dentelles à l’avant de ce modèle. Ils sont issus de la dernière collection La Perla et…
Elle n’avait pu finir sa phrase, il la caressait tout au long de son flan et descendit jusqu’à sur ses fesses. Il n’hésita pas à passer ses doigts entre les bordures du string et la peau nue. Puis il agrippa à pleine main ses fesses et l’attira plus à lui pour qu’elle sente son érection. Il laissa une traînée de baiser papillon le long de sa nuque.
- Cal, il ne… reste que deux… modèles. Il faudrait vraiment…que je vous les montre Je suis…sûre que vous allez adorer.
Encore une fois, elle le repoussa. Mais cette fois, sa main traîna sur le devant de son pantalon et toucha un peu sa bite.
Il chercha à se calmer durant son absence et se servit un scotch dans le bar à disposition. Il se remit dans son fauteuil pour attendre le quatrième
modèle.
A son retour, il put admirer un modèle plus sophistiqué. Un soutien-gorge noir en dentelle mais avec deux bandes noires situé sur la partie haute de ses seins, et un string de nouveau minimaliste mais la partie centrale était relié par une bande de chaque côté avec un rond comme sur certain maillot de bain, pour le porte-jarretelles. Le créateur avait mis plusieurs fermetures et systèmes d’accroche tel que la fermeture éclair à l’arrière du modèle. Les attaches bénéficient de plusieurs systèmes de serrage descendant sur le haut du bas, avec là encore un système de serrage.
- Cal, cet article est issu de la gamme Aurea de chez Bordelle, c’est un modèle très sophistiqué mais aussi très moderne. Il y a de très nombreuses attaches, ce qui lui permettrait de s’adapter à toutes les morphologies…
Là encore, elle ne put finir, il l’attrapa par le poignet, se leva et lui fit prendre sa place dans le fauteuil. Il se mit à genoux entre ses jambes,
lui écarta le string et plongea sa langue directement sur sa fente qui ne semblait attendre que cela. Inès ouvrit largement les jambes pour l’accueillir, il se délectait de son nectar à la source. Elle avait bon goût. Il lui mit les jambes sur ses épaules et lui lécha alternativement le clito puis l’anus pour son plus grand plaisir, puisqu’elle soupirait de plus en plus fort. Elle s’approchait tout doucement de l’orgasme, mais avec une force insoupçonnable, elle parvint une nouvelle fois à s’arracher à ses bras et se précipita vers la réserve non sans lui avoir jeté un regard qui en disait long. Au prochain coup, elle ne se dérobera pas.
Il se rassit donc dans le fauteuil mais sa bite étant à l’étroit dans son pantalon. alors il la sortit par la braguette et attendit impatiemment son retour.
Elle revint quelques minutes seulement après et cette fois ci, il sut qu’il ne pourrait pas s’arrêter. Le dernier modèle était un vrai appel au viol.
Son soutien-gorge rose ne cachait rien, il y avait juste des chaînes qui lui passait devant chaque téton. Le slip lui, était rose avec des chaînes
également donc sur le devant. Mais l’originalité était derrière où les fesses étaient totalement visibles. Le porte - jarretelle rose était juste
une bande sur le ventre avec des attaches retenant des bas de couleur brune.
Elle vint se présenter face à lui. Elle fit un demi-tour complet afin qu’il puisse tout voir. Puis, elle se retourna et posa son talon droit sur l’accoudoir du fauteuil. Il répondit à la demande implicite et vint après avoir écarté son slip, lui butiner son bourgeon comme il l’avait fait tout à l’heure, mais cette fois, il utilisa ses doigts en plus pour la doigter. De son côté, elle le branlait en cadence.
Cette fois-ci, il put l’amener jusqu’à la jouissance sans qu’elle cherche à se soustraire. Puis après avoir enfilé une
capote, il la fit descendre sur sa queue pour qu’elle le chevauche face à lui. Pendant qu’elle montait et descendait sur sa bite, il passa sa tête sous les chaînes de son soutien-gorge et goûta à ses seins qui avait un goût délicieux et une texture si plaisante.
Cal espérait que le salon privé devait avoir une bonne insonorisation, car elle feulait de plus en plus fort. Mais elle voulait plus encore. Alors sans vraiment se désarçonner, elle se retourna pour passer en amazone inversée, il put donc la baiser en s’agrippant à ses seins. Elle le massait de l’intérieur, mouillant abondamment, cela se répandait sur son bas ventre mais c’était si chaud.
Après quelques minutes dans cette position, il eut envie de la prendre debout. Il la retourna donc face à lui, lui monta sa jambe droite sur son épaule et la poussa contre l’un des miroirs du salon. La vue imprenable qu’il avait de ses fesses qui bougeait en cadence était un plaisir supplémentaire. D’autant qu’il pouvait profiter du miroir pour se repérer au moment où il commença à lui insérer un doigt dans son trou sombre. Elle criait encore plus fort à cette intromission. et rapidement C’est elle qui lui demanda :
- Prend moi le cul… vas-y encule moi fort… J’en peux plus… Ne me ménage pas… Vas-y fort j’aime ça…
- Ce que femme veut, femme l’obtient lui répondit-il, tandis qu’il l’a couchait sur une table d’exposition et qu’il lui repliait la jambe droite pour s’insérer dans ce trou encore plus serré.
Il dut prendre sur lui pour ne pas partir trop vite. mais Elle l’excitait trop. Avec son défilé puis cette baise incroyable, il était trop proche du point de non-retour. Alors il poussa encore plus fort. Son pubis claquait sur ces fesses à une vitesse folle, elle partit dans une jouissance extatique, tandis qu’il continuait à la bourrer.
Quand ces fesses cessèrent de se contracter, il ressortit et la fit descendre de la table. Il la plaça à genoux entre ses jambes, elle le prit directement en bouche juste avant qu’il ne lâche son foutre qui alla directement dans son estomac. Mais elle continuait à s’activer sur sa bite avec sa langue si bien qu’en quelques instants, il jouit une seconde fois, cette fois-ci cela déborda un peu.
Il sortit donc sa queue, là frotta sur sa joue ou se trouvait son sperme avant de la ré-enfourner dans sa bouche pour qu’elle le nettoie. Il renouvela la manœuvre deux ou trois autres fois de plus, avant que sa queue soit totalement molle.
Alors qu’ils se lovaient tous les deux dans le fauteuil, il lui dit :
- Tu dois avoir beaucoup de succès si tu accueilles tous tes clients comme ça.
- En fait tu es une exception lui répondit-elle. Stella me parle de toi depuis si longtemps que je voulais savoir ce que tu valais. Le défilé a servi pour te mettre en appétit.
- En tout cas j’ai aimé l’attention, c’est certain. Et puis tu as un corps de déesse.
Il lui toucha la cuisse nue en même temps, et ajouta :
- Et donc verdict ?
- Tu es pas mal du tout. En tout cas tu sais y faire avec ton matériel, enchaîna-t-elle alors qu’elle le branlait doucement. Mais bon tu sais ce que l’on dit : « les affaires c’est les affaires ». Tu as choisi le modèle que tu voulais pour ta cliente ?
- Je pense que pour elle je vais partir sur le modèle de chez La Perla. Et je vais prendre le dernier modèle de chez Agent Provocateur pour toi.
- Tu es trop mignon, cela mérite bien une récompense lui dit-elle d’une voix suave alors qu’elle se glissait entre ses jambes et prenait déjà en bouche sa masculinité.
Ils baisèrent à nouveau, cet après-midi-là, et aussi le soir quand elle le rejoint à son hôtel avec un imperméable et juste la lingerie de chez Agent Provocateur en dessous. Il ne résista pas à la tentation de la prendre contre la porte de sa chambre d’hôtel.
Il faut dire que la vendeuse savait y faire pour le mettre dans tous ces états.
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