Ce fut d'abord par étourderie que je me présentais nu devant ma belle soeur. Emoustillé par la situation, je décidais de lui offrir, un peu plus tard, un spectacle privé... dans la salle de bains, réalisant ainsi un fantasme qui me poursuivait depuis de nombreuses années.
Proposée le 18/05/2021 par Bamby26
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Je n’avais pourtant rien prémédité mais mon étourderie m’apporta quelques délicieux moments.
Ce fut une nuit de juillet 2020 que je commis cette étourderie. En pleine nuit, pris d’une fringale subite, je descendis à la cuisine où je trouvais ma belle soeur Anne que nous hébergions, occupée à se préparer une camomille. Rien de bien étrange à tout cela sauf que j’étais entièrement nu. Habitué à dormir ainsi, j’avais omis, par étourderie, de revêtir mon peignoir. Je me trouvais donc dans le plus simple appareil lorsque j’ouvris la porte du frigo, attendu que, poursuivi par les brumes du sommeil je n’avais pas immédiatement décelé sa présence. Lorsque je m’aperçus de mon erreur… et bien... je ne pus immédiatement cacher mes attributs car j’avais les mains chargées. Je me précipitais donc pour m’asseoir à la table en face d’elle et dissimuler ainsi le plus « intime » de ma personne en bafouillant quelques excuses :
— Heu… Désolé… J’avais complètement zappé que tu étais chez nous en ce moment.
— Pas de souci. Je n’ai rien vu.
Là je devrais sans doute être vexé car mes organes génitaux, très « développés » n’ont pas l’habitude de passer inaperçus. Je me coupai un morceau de fromage qui me rassasia facilement puis j’éprouvai l’envie de retourner me coucher. Hélas, je devais attendre qu’Anne se décidât en premier car il m’était impossible de dissimuler tout le matériel avec mes mains, d’autant que la situation avait déclenché un début d’érection. Comme Jeanne ne se décidait pas, j’en vins à me demander si elle n’attentait pas que je me levasse avant elle. Elle était sans doute très intéressée par le spectacle car elle vivait seule depuis de nombreuses années et n’avait plus, selon les confidences qu’elle fit un jour à ma femme, de relations sexuelles. Donc j’imaginais facilement que voir un homme nu, en chair et en os, ne devait pas lui déplaire… fut-il le mari de sa soeur ! Je jetais un oeil à l’horloge du four : 3h30. Il ne me restait plus que deux heures de sommeil et j’avais envie d’en profiter. Je patientais encore dix minutes puis je me levai et replaçai mes victuailles dans le réfrigérateur le plus naturellement du monde sans chercher à dissimuler quoi que ce fut.
— Bonne nuit, lançais-je.
— Bonne nuit.
Lorsque je me recouchais je bandais fermement et mis plus d’une demi heure à rejoindre Morphée.
De retour à la maison, le soir, je ne décelais rien dans l’attitude d’Anne qui put prêter à confusion. Marie (ma femme) n’aurait sans doute pas apprécié qu’une attitude embarrassée d’Anne ou de moi ne lui laissât deviner notre tête à tête nocturne. J’étais à peine arrivé que Marie repartit pour son cours d’aérobic. Je me retrouvai donc seul avec Anne et je perçus aussitôt le malaise généré par ce nouveau tête à tête. Je décidais donc de filer sous la douche et là, ce ne fut pas une nouvelle étourderie qui m’incita à laisser la porte grande ouverte, mais le réel désir qu’Anne vint m’observer… discrètement ou pas. Pour être honnête je préfèrais une observation… directe ! C’était un de mes fantasmes que de me montrer nu à une femme… qui n’était pas la mienne ! Je l’avais fait la nuit dernière, mais trop involontairement pour que j’en retirasse une réelle jouissance. Je laissais rapidement un petit scénario se mettre en place et je débarrassais la chaise que je disposais face à la douche. Puis j’attendis. Au moins un quart d’heure avant de percevoir un bruit de pas légers. Mon coeur se mit à battre. Anne me signala sa présence par un frottement sur la cloison. Je tournai légèrement la tête et vis la sienne s’aventurer dans l’embrasure de la porte. Anne se retira aussitôt. J’attendis, certain qu’elle était toujours là. Lorsque je vis réapparaître sa tête, je la regardais droit dans les yeux puis je déboutonnais la ceinture de mon pantalon. Je le retirai lentement, face à elle, et le plaçai soigneusement sur le serviteur muet. J’ôtai ma chemise que je rangeai de même, puis mes chaussettes. Pour taquiner Anne, je me retournai pour retirer mon slip lui offrant ainsi la vue sur mes fesses. Bon, elles ne sont pas mal mais le plus intéressant (je crois) est de l’autre côté. Je me retournai donc lentement face à elle et lançai mon slip dans la corbeille à linge. Est-il besoin de dire que je bandais comme un taureau ? Je restais quelques secondes ainsi puis je me tournai d’un quart de tour pour lui offrir ma bite de profil. Terriblement excité et ayant perdu tout sens du ridicule, je lui tournai le dos, écartai les jambes et me penchai en avant, jambes tendues. je souhaitais ainsi lui offrir une vue imprenable sur mes grosses boules. Je restais ainsi quelques secondes puis je tirai un peu la chaise avant d’entrer sous la douche. J’espérais qu’elle comprendrait mon invitation. Je m’attachais à rester de dos afin de lui faciliter l’approche. Le bruit de l’eau masquait tous les autres. Etait-elle assise face à moi ? Je lui laissais encore cinq minutes puis me retournai. Elle était où je l’espérais. Génial ! Je recueillis un peu de savon liquide au creux de la paume puis je commençais à me savonner le haut du corps. Pas longtemps. Je descendis bientôt les mains. Hélas la buée commençait à opacifier les parois de verre. Tant pis si je transformais la salle de bain en pataugeoire : je tirai le panneau puis je savonnai mes bourses avant de saisir ma queue et de décalotter très lentement le gland. Il était gorgé de sang. Je ne pus me retenir de me masturber. Bien sûr j’espérai voir Anne se lever… s’approcher… tendre la main… et me remplacer. J’étais très excité et mon prépuce coulissait lentement sur ma bite, longue et épaisse. Je changeai fréquemment de position pour permettre à Anne de la voir de face et de profil. Elle se mordilla plusieurs fois la lèvre ce qui, je le sais, chez certaines femme est signe d’excitation. Et moi… je n’ai pas les mots pour qualifier le plaisir que j’éprouvais à me branler sans aucune retenue, devant elle. Enfin, je réalisais mon fantasme ! Je sentais ma jouissance arriver et je cherchai le bon angle pour offrir à Anne la meilleure vue possible sur mon éjaculation, puis je déchargeais en plusieurs jets puissants.
Lorsque je tendis la main pour saisir ma serviette, je la vis se lever et ressortir de la salle de bains.
Nous n’avions pas prononcé le moindre mot. Mais était-ce utile ?
je m’essuyais tout en me demandant si mon petit spectacle pourrait amorcer une suite croustillante…
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Bonjour Je trouve ton écriture fluide.... On se laisse entraîner dans ton histoire d’autant plus que tu indiques qu’elles sont vraies..... Je souhaite qu’il y ait eue une suite à cette exhib.... vraie ou fantasmee note 9:10 Bise Mikel
Posté le 23/05/2021
Micfou53
Chouette, bien écrit, bandant: bientôt une suite ?
Posté le 20/05/2021
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