Nous sommes dans un cabaret à la lumière sombre. Plusieurs créatures de diverses espèces sont assises autour d’une scène circulaire. Elles sont de formes diverses, tellement que ce serait trop long de décrire ici. C’est le fameux réseau dont les pirates m’ont parlé quelques jours auparavant lors de mon « initiation » dans leur vaisseau.
Proposée le 15/05/2019 par Lombricul
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominé
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme
Elles connaissent également le mythe du terrien qui aime et donne le plaisir charnel. Provenant de toute la galaxie, ces non-humains ont placé les sensations au cœur de leurs existences, surtout agréables. Et mes vidéos solitaires les ont exacerbées.
L’initiation n’a pas été filmée. Mais dans la salle, l’auditoire discute des détails survenus lors de l’événement, qu’il a entendu de bouche à oreille. Ils frétillent et sont impatients de me voir en chair et en os. Une voix se fait soudain entendre, l’auditoire devient silencieux. « Oyé oyé. Vous allez enfin voir le fameux terrien dans quelques instants. Nous lui avons demandé de reproduire sur la scène ce qu’il a fait dans ses vidéos pour confirmer le mythe qui l’entoure. Il a accepté avec joie de montrer son corps devant vous. Soyez assuré qu’il est aussi impatient que vous. »
J’apparais soudainement sur la scène grâce à la télétransportation. Je porte la même combinaison grise une pièce que lors de mes vidéos. Ma libido est aussi forte que lors de mon initiation. Un râlement survient dans la salle. Ils me regardent avec perversité, je le sens. La forme moulante et flexible de ma combinaison permet de voir ma soudaine érection. Un appareil dans mon oreille me permet d’entendre dans ma langue ce qui se dit parmi les créatures : « regarde entre ses jambes…je ne peux pas y croire … il a une belle bouche juteuse ».
Le thème musical cochon de mes vidéos part à l’instant. Stimulé par les mots et les yeux des créatures, je danse avec sensualité pendant plusieurs minutes. Tout le monde s’approche de la scène. Je sens leurs odeurs; ils puent mais j’adore ça. Avec la chaleur étouffante, mon excitation augmente autant que les bruits de sécrétion qui commencent à se faire entendre. Je descends le haut de ma combinaison jusqu’au ventre pour laisser voir ma poitrine. Je sors ma langue, la passe sur mes lèvres. Quelques créatures jouissent. Je fais signe à l’un d’entre eux de monter sur scène.
Il a une grosse tête (appelons-le Babu), a un énorme ventre bleu et possède six bras environ. Je me lève, me colle à lui et, tout en me déhanchant, passe ma langue sur sa bouche. Il grogne, met un doigt dans ma bouche. La foule lui crie de me déshabiller. Quatre de ses mains se glissent sous ma combinaison au niveau des fesses. La combinaison tombe au sol. Je suis nu, exhibé. Pour les besoins de la cause, lors du voyage, les pirates m’ont donné un sérum plus puissant qui a donné de l’expansion à mon corps, de beaux pectoraux, des fesses d’enfer et, surtout, un pénis deux fois plus long et plus gros. Quelque chose comme presque 20 pouces, avec de plus grosses couilles. En la regardant au grand air, je suis ravi.
Je me tourne vers la foule en me laissant toujours peloter les fesses. Les mots pervers fusent à la vue de mon pénis : « Parait qu’il goute bon… il est un peu poilu mais excitant à regarder… c’est comme un rêve ». Babu m’embrasse et introduit un doigt dans mon prépuce. Un jet de liquide séminal en sort. Je gémis fort. Il me met le même doigt dans ma bouche pour que je puisse goûter mon propre fluide.
Les sécrétions sont très fortes. Je demande à la foule que ceux qui ont un phallus comme moi monte sur scène. Une dizaine emboîtent le pas. Plusieurs grosseurs, différentes couleurs et luisantes, ces bites extraterrestres. Je me baisse à genoux et commence à les sucer. Au bout de vingt minutes, ils sont tous venus sur moi. Durant tout ce temps, mon liquide séminal n’arrête pas de couler au sol. Je suis si possédé par le cul que je me mis à le lécher par terre, le cul à l’air, sur le bord de la scène. Je sens des bouches sur mes fesses, une langue dans mon trou de cul.
Je me retourne, deux bouches extraterrestres entreprennent ma queue. Je les traite de sales porcs dégueulasses mais je ne suis pas sûr qu’ils comprennent (lol). Tout le monde est exhibé comme moi désormais. Ils veulent tous un morceau de mon corps humide et volontaire. Avec vigueur, les deux mêmes bouches me sucent à l’harmonica. Des doigts habiles m’empêchent plusieurs fois d’éjaculer en me pincant le gland à temps. Je dégouline de sueurs comme jamais, mes cheveux longs sont trempés. Au bout d’un moment, j’en peux plus et un torrent de sperme jaillit de ma bite. Je rebande aussitôt. Ce sérum est vraiment efficace.
Face à lui, Babu me soulève par les cuisses, écarte mes fesses et introduit son organe dans mon anus. Je crie. La foule exulte : « c’est une vraie pute, ce terrien…». Les mouvements sont doux au départ, puis Babu me pistonne comme un déchainé. Ah Ah Ah mmmmmmm. Mon corps dégouline de sueur, de salive, de fluides visqueuses. Les créatures n’en demandait pas tant. Par après, je sens que Babu est venu en moi. Il me dépose. La sensation est si exquise que je m’introduis moi-même un doigt dans le cul pour continuer par moi-même.
Je me mêle aux spectateurs. Je m’asseois sur l’un d’eux, qui a une forme plus humaine. Je frotte mes fesses sur son organe, nous sommes entourés par plusieurs haleines qui observent. Mon orifice, déjà assez large, est de nouveau envahi par lui. Il m’encule comme un fou tandis que je regarde mon pénis aller dans toutes les directions. Une tentacule provenant de nulle part s’en empare, ses ventouses font de la succion sur l’organe et les couilles en même temps. Je bave littéralement. J’éjacule de nouveau très fort. On vient dans mon anus.
Toujours assis sur mon extraterrestre semi-humain, je récupère lentement mon énergie sexuelle. Je rebande de nouveau après 30 secondes. Je n’en reviens pas. Je la prends dans ma main et me masturbe doucement. Des voix s’élèvent : « suce ta propre bite, on veut voir ça. » C’est vrai qu’elle est assez grosse pour que je l’atteigne. Mon amant du moment s’empare soudainement de mes cuisses et me plie lentement sans douleur. J’ai toujours rêvé de faire ça!!! Sans hésiter, je la mets dans ma bouche. De nouvelles fluides viennent sur moi. Je passe la langue sur mon prépuce, liche le gland, stimule le tout. Mon cul est totalement exposé. Deux tentacules y sont entrés et vont jusqu’à ma prostate. Cette dernière est tellement bien stimulée que je viens dans ma propre bouche.
Par la suite, le tout a viré en gangbang dans l’assistance. J’étais dans un état d’extase total. Je me suis fait enculer par deux engins en même temps régulièrement. Mon pénis a goûté à plusieurs bouches différentes. J’ai mangé des organes et brouté des orifices. J’ai sucé ma bite plusieurs fois. Mon corps était gluant partout, je sentais le sexe. Je giclais sans arrêt. À la fin, la salle était jonchée principalement de mon propre sperme.
On ne m’a pas retenu. Ils avaient eu ce qu’ils voulaient et c’était bien suffisant. Mais, une fois de retour dans mon propre vaisseau, je n’ai plus jamais été le même par la suite.
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