Séparé de mon ex depuis plus d'un an, je rencontre mon ex-belle mère par hasard un samedi après midi. Nous passons un très agréable moment quand tout bascule au petit matin.
Proposée le 5/04/2023 par Marquise
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Il y a trois ans que j’ai quitté Elodie, avec qui je partageai ma vie depuis une dizaine d’année. Lorsque nous sous sommes rencontrés, ses parents ont été une seconde famille pour moi dès le début de notre histoire. La maladie a emporté rapidement son père et des liens affectifs se sont dressés avec Catherine, belle-maman. Nous échangions beaucoup et au fil des années nous sommes devenus complices, c’était ma confidente et meilleure amie féminine. Je l’appréciai beaucoup. Ancienne sportive de haut niveau elle entretenait sa forme et était d’un physique plutôt agréable.
Après ma rupture houleuse avec mon ex que j’avais surprise dans les bras de son amant, J’ai déménagé dans une grande ville, éloigné d’une centaine de kilomètres de celle-ci. Pour mon job je voyage beaucoup, souvent absent plusieurs semaines, je n’avais aucune envie de construire une nouvelle relation, j’ai laissé filer le temps.
En congés pour plusieurs jours, je faisais les boutiques centre-ville, lorsqu’en sortant d’un grand magasin, je tombe nez à nez avec mon ex-belle maman, Catherine. D’abord surpris, nous tombons rapidement dans les bras de l’un de l’autre, ravis de nous revoir. Nous discutons quelques instants sur la grande place du centre-ville et machinalement je l’invite à prendre un verre, ce qu’elle accepta sans hésiter. La conversation était passionnée, elle paraissait heureuse de me revoir. Nous échangions sur les évènements de cette année passée comme deux ados, elle riait beaucoup. Nous étions à notre second verre, la nuit tombait, je lui propose, non sans émotion de l’inviter à diner dans la brasserie voisine pour terminer cette soirée. Elle fronça les yeux puis me répondit « pourquoi pas ». Le diner était fort agréable, nous passions un très bon moment, à plusieurs reprises nous échangeâmes des regards soutenus, des mots et des gestes tendres. Le vin aidant, de confidences en confidences, nous dressons des portraits peu flatteurs de nos vies amoureuses.
Elle me fit remarquer qu’il était tard, nous quittons le restaurant pour nous diriger vers sa voiture. D’un pas hésitant, elle me prend le bras et me demande de l’emmener marcher, le temps qu’elle reprenne ses esprits. Elle s’appuyait sur moi pour se laisser guider dans les ruelles de la ville, sans parler. Après une petite demi-heure de marche, elle me dit qu’elle n’était pas en état de conduire, je lui proposais naturellement de dormir chez moi. Elle hésita, me fixa et accepta finalement sans que j’insiste de trop.
Elle découvrit mon appartement et me demanda ou elle allait dormir, il n’y avait qu’un seul lit ! Je répondis que je prendrais le canapé, ce que je faisais souvent depuis que je vivais seul.Je l’accompagnai à la salle de bain, lui donna de quoi prendre une douche et un de mes pyjamas pour la nuit. A sa sortie de la salle de bain, elle me rejoignit au salon. Nous avons continué notre conversation tard dans la nuit avant de décider d’aller dormir. Je sortis de quoi faire mon lit, lorsqu’elle me proposa de dormir avec elle, elle avait toute confiance et nos 21 ans d’écart d’âge était pour elle un argument suffisant. J’acceptais, le temps de ranger, de prendre une douche, lorsque je me glisse dans le lit, à côté d’elle, elle dormait déjà.
Emoustillé par l’alcool sans doute, je suis pris soudainement d’une érection, d’une envie de caresser cette femme, de lui faire l’amour. Etendu sur le dos, je n’ose pas bouger, elle pourrait me surprendre dans cet état, ce qui me renverrait à coup sûr vers le canapé. La fatigue aidant, je m’endormis difficilement.
Une douleur au bras me réveilla, il était 5 heures au réveil, le jour se levait, Catherine avait posé sa tête sur mon épaule, un bras sur ma poitrine. Je regardais le plafond, n’osant pas bouger, par crainte de la réveiller. J’étais figé, le sexe de nouveau en érection, lorsque je sentis sa main me caresser doucement le torse, puis descendre le long de mon corps, jusqu’à effleurer ma verge. Sa main remontait doucement, je frissonnai, puis elle reposa sa main sur mon épaule. Je tournais la tête vers elle, dans la pénombre je pouvais distinguer qu’elle me regardait en souriant, sans dire un mot, je pris ses lèvres, nous échangeâmes un premier baiser, puis nos langues se mélangèrent tendrement.
Très vite les baisers devinrent passionnés, fougueux. Les caresses précises, ma main glissa sous le haut de son pyjama, je suis pris d’une envie frénétique de la posséder. Elle se débarrasse rapidement du haut, ses seins sont lourds, je prends un de ses têtons en bouche et commence à le titillait, la pointe se dresse sa respiration devient saccadée, elle gémit et me supplie d’aller doucement. Je m’exécute, elle trésaille sous mes caresses, je dévore ses seins, aspire les bouts, ses râles m’excitent de plus en plus. Mes mains explorent son corps, elle dirige ma main vers son pubis, je la glisse dans le pyjama, je découvre une toison dense et soyeuse. Je la libère de son bas, je découvre son jardin secret. Je bande tellement fort, que j’en ai mal. Ma bouche glisse sur sa peau, son ventre, d’un geste assuré, j’écarte ses jambes et glisse ma langue dans son antre. Ses grandes lèvres sont charnues, épaisses, ma langue s’invite entre celles-ci, je les écarte avec mes doigts pour mieux savourer. Je happe son nectar, cette sublime odeur de sexe mêlé à sa cyprine exulte mon désir.
Elle gémit à chaque coup de langue, ses lèvres sont gonflées de sang, j’excite son bouton durcit par le désir. Je glisse enfin un doigt dans son intimité mouillée, puis deux, je les enfonce au plus profond puis les fait tournoyer dans son fourreau qui se dilate. Je continue de la masturber, elle lâche des cris, son vagin s’ouvre sous la pression de mes doigts, elle soulève son bassin pour mieux les prendre en elle quand soudain elle est prise de convulsions, elle jouit sans retenue, la cyprine gicle entre mes doigts.
La tension redescend, elle se calme, nos langues se mêlent de nouveaux, elle me glisse à l’oreille que l’orgasme a été violent, intense. Elle prend l’initiative de libérer mon pieux, j’ôte mon boxer, elle saisit ma verge et commence à me masturber, elle décalotte mon gland humide, j’ai du mal à contenir mon envie, je m’écarte doucement et je l’enlace, le sexe plaqué contre sa cuisse. Je dois reprendre mes esprits, sinon je vais tout lâcher là, maintenant.
Je découvre cette femme aux formes magnifiques, je la retourne sur le ventre pour mieux l’admirer, lui caresser ses fesses. Je glisse de nouveau ma langue dans sa raie. Je la durcis pour lui pénétrer l’anus, elle m’éconduit, j’insiste, puis cède au plaisir. Ses gémissements m’enhardissent d’avantage, les jambes ouvertes, son abricot est gonflé, je dévore sa fente, elle mouille abondamment. Je prends un plaisir énorme à lui procurer autant de sensations, elle jouit de nouveau sans retenue, ses spams sont intenses et forts, elle s’abandonne totalement.
Nous reprenons notre respiration doucement, allongés l’un à côté de l’autre, elle m’attire sur elle, relève les jambes et prend entre ses doigts ma queue raide qu’elle guide dans son intimité. A la porte du bonheur, je la pénètre doucement, elle me tient la nuque et me demande de faire attention, elle n’a pas connu d’autre homme que son mari, j’entre en elle, c’est divin, je m’arrête pour mieux sentir les contractions de son vagin, puis j’entame un lent va et vient, elle s’agrippe à mes épaules, elle me susurre à l’oreille « vas ’y, doucement ». Etourdit pas ses paroles j’accélère ; elle lâche des rauques aigus à chaque coup de butoir, de plus en plus forts. Son orifice est complètement dilaté, elle me demande de la prendre encore, plus fort ». J’accélère les mouvements, mes testicules claquent contre sur fesses, je fornique à perdre haleine.
Elle m’enserre entre ses bras, je relâche mes mouvements et me glisse à côté d’elle. Je l’attire à moi, elle m’enjambe, se redresse et s’empale brutalement. Elle s’agenouille, pose ses mains sur mon torse et entame une série de vas et vient. Elle gémit, en me fixant dans les yeux. Nos corps se heurtent, transpirent, elle mouille. Cathy halète, joue avec son bassin pour m’accueillir au plus profond d’elle. L’étreinte est passionnée, je m’enfonce en elle, la chaleur de son corps m’envahit. Le dos galbé, appuyée de tout son poids sur mon sexe, elle me lâche « ça monte, ça monte viens avec moi ». Nos corps se cambrent nos muscles se raidissent, je ne tiens plus, je jouis en elle. De longs jets de ma semence l’inonde, son fourreau m’aspire, ses contractions vaginales sont intenses, mon membre est en feu.
Elle s’effondre sur moi, nous restons immobiles plusieurs minutes, à nous embrasser. Elle finit par se blottir contre moi, sans parler. Je ne peux m’empêcher de caresser ses formes, je ne pense à rien à ce moment-là, je suis éreinté.
Nous nous sommes réveillés en fin de matinée. Au petit déjeuner, après un moment de silence, nous avons éclaté de rire, et puis très vite nous nous sommes de nouveau enlacés. Nous avons fait l’amour jusqu’à tard dans la soirée.
Notre histoire aurait pu prendre fin ce dimanche soir, mais nos sentiments et pulsions ont été les plus forts. Nous sommes en harmonie dans la vie, chaque étreinte est une découverte. Nos rapports sont passionnés, Cathy n’avait avant moi jamais pratiqué de fellation, pas plus explorer beaucoup d’autres positions que celle du missionnaire. Nous nous en amusons souvent, nous pigmentons nos rapports, elle se prête volontiers aux jeux érotiques Nous nous cachons de tous, mais chez nous, dès que l’on peut, nous nous aimons avec passion. Peu importe le regard que les autres peuvent posés sur nous, notre osmose est totale, nous nous aimons. Cette histoire est réelle, notre différence d’âge aussi, seuls les prénoms ont été changés,
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Commentaires de l'histoire :
beau rêve
Merci d'avoir partagé un beau rêve.
Posté le 9/03/2024
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