Sandrine et la fille de Pierre, il vient de se remarier avec Ludivine, une femme douce et très attentionnée, mais Sandrine ne voit pas les choses d'un bon œil. Souvent, elle s'accroche avec sa belle-mère, la jeunette de dix neuf ans est très agressive.
Proposée le 22/08/2022 par amandine1
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Thème: Couple, passion
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Cela fait déjà plusieurs années que Pierre et veuf, il rentre une femme merveilleuse, Ludivine, il la courtise depuis de nombreux mois et décide de la marier. Mais Sandrine, la fille de Pierre, voit ça d'un mauvais œil. Elle tente d'en dissuader, son papa en vint. Le mariage a lieu. Depuis ce jour, Sandrine s'accroche trop souvent avec sa belle-mère, la jeunette de dix-neuf ans est très agressive, elle élève la voix à l'encontre de Ludivine, qui, bonne pâte, tente d'arrondir les angles. Mais rien n'y fait, les scènes sont de plus en plus violentes. Ludivine pense même à quitter le domicile conjugal. Fréquemment, elle s'enferme dans sa chambre pour sangloter.
Continuellement, Pierre la retrouve, les yeux rougis par le désespoir. Il tente de faire entendre raison à sa fille, mais elle est têtue. Un jour, Ludivine décide de mettre les choses au point. Elle monte à l'étage et entre sans frapper dans la chambre de Sandrine qui est étendue sur son lit encore en nuisette.
Sandrine sursaute et dit d'une voix forte :
-Cela te générait de frapper avant d'entrer hein !
Ludivine hausse les épaules et s'assied sur le bord du lit. Elle la regarde et lui dit :
-Mais enfin qu'est-que tu me reproches !
Sandrine la toise de haut et répond :
-Ce que je te reproche, c'est que tu prends la place de maman, avant ton arrivée, nous étions heureux tous les deux, papa et moi, mais madame et venu foutre la merde et me piquer mon père, je te hais !
Les yeux de Ludivine s'emplissent de larmes, elle ravale sa salive et réplique :
-J'aime ton papa, il m'aime, tu devrais mettre un peu plus de courtoisie dans tes propos calomnieux, sage que je n'ai rien à me reprocher, mais ce que tu ignores, c'est que je te considère comme ma propre fille et que je t'aime !
Mais toi, tu ne connais pas la signification du mot amour, tu n'es qu'une égoïste, sans cœur !
Si tu le souhaites, je quitte la maison, mais sache que moi, je ne cherche que votre bonheur, lié au mien bien sûr !
Sandrine reste sans voix, elle se jette dans le bras de Ludivine et se met à pleurer :
-Je te demande pardon Ludivine, je suis d'une jalousie maladive et très possessive, tu as raison de dire que je suis égoïste, toi si douce et si gentille, tu viens de me faire comprendre que je ne pense qu'à moi, je te promets qu'à partir d'aujourd'hui, je vais changer de comportement !
Elle renifle, lui saisit la tête avec ses mains et lui donne d'innombrables baisers sur tout le visage. Depuis ce jour, les deux femmes deviennent complices pour tout. Elles sortent toujours ensemble faire du shopping et les courses bras dessus bras dessous. Pierre est heureux de voir que la hache de guerre est enterrée. Sandrine, un peu agacée, elle cherche sa belle-mère partout. Enfin, elle la trouve dans sa chambre devant sa coiffeuse.
-Alors Ludivine, nous ne devions pas aller au marché aujourd'hui hein !
Ludivine répond :
-Je n'ai pas oublié, tu vois, je me prépare, mais si tu veux, tu peux m'aider, cela ira plus vite !
Pendant que la belle-mère se brosse les cheveux, Sandrine qui se trouve derrière elle lui déboutonne le haut de la blouse, elle la dégage des épaules et découvre la poitrine. Sandrine reste un moment sans voix puis dit :
-Oh la vache comme ils sont beaux tes nichons !
Ludivine ne s'attendait pas à ce que sa belle-fille lui découvre les seins, elle répond en souriant :
- Modère tes paroles, je suis certaine que les tiens sont mieux que les miens et surtout biens fermes !
Sandrine fait une moue et remonte son top, elle soupèse ses seins et le palpe. Puis avec audace pose ses mains sur les seins de Ludivine et enfonce ses doigts profondément dans les lobes de chair et les palpe longuement. Ludivine grimace, les doigts agiles pétrissent ses seins sans ménagement. Soudain les palpations deviennent caresses. Les doigts tournent sur les aréoles brunes qui autour des mamelons. Les passages fréquents
des doigts sur les taches grenelées qui cernent les tétons, produisent leurs effets. Les mamelons se dressent fièrement. Ludivine reste sans voix, Sandrine saisit entre ses pouces, set ses index les tétons et les malmène.
Ludivine jette sa tête en arrière et ferme les yeux, ses bouts doubles de volume, les pressions que fait dessus Sandrine la font geindre de plaisir. Sandrine se penche et lui murmure à l'oreille :
-C'est bon hein, je sens que tu en veux plus !
Ludivine ne répond pas, elle frissonne sous les attouchements précis de Sandrine. Elle délaisse les mamelons et passe devant sa belle-mère, elle se met à califourchon sur ses genoux et pose ses mains sur sa taille. Les deux femmes se regardent longuement, les yeux de Ludivine brillent. Lentement, Sandrine pose sa bouche sur un mamelon et l'aspire. La forte succion la fait cabrer, Sandrine lui dévore les mamelons comme une affamée, Ludivine grogne de plaisir en poussant de profonds soupirs. La garce de belle-fille sait comment s'y prendre pour faire couiner sa belle-mère. Sous les succions redoutables, les bouts deviennent douloureux.
Ludivine réagit enfin :
-Sandrine, arrête, cessant ce petit jeu malsain !
Sandrine descend de son confortable siège, prend la main de Ludivine qui comme un zombi la suit, elle l'emmène au bord du lit. Elle lui fait tomber la blouse et la bascule sur le lit. Rapidement, Sandrine retire ses vêtements, maintenant les deux femmes sont nues, elle s'allonge sur sa proie qui semble absente. Les chattes se frottent, les seins aussi. Sandrine pose ses lèvres sur celles de Ludivine, sans savoir pourquoi, elle entrouvre la bouche, la langue de son amante se noue à la sienne. Enfin Ludivine reprend du poil de la bête, elle accepte le baiser.
Le baiser dure un bon moment, les deux femmes gémissent en se frottant l'une contre l'autre. Le baiser cesse, la bouche de Sandrine descend lentement, embrasse les seins sans omettre de téter quelques secondes les mamelons. Elle arrive sur le ventre plat, qui se met à frissonner fortement. La langue se met à fouiller un instant le nombril. Ludivine, surprise par, cet attouchement étrange, pousse un très profond soupir.
La bouche arrive enfin à destination, Sandrine comme une sauvage gobe le clito de son amante en l'aspirant fortement. Ludivine se cabre et gémissant comme une bête blessée. Les succions terribles sur sa perle la font couiner de plaisir. La langue voyage dans le temple détrempé, elle s'enroule sur le clito qui est devenu énorme et l'agace comme jamais. Ludivine se cambre en poussant un cri terrible, sa jouissance est monstrueuse. Sandrine veut aussi sa part de bonheur. Elle se place tête bêche sur son amante. Les deux femmes se dévorent la chatte comme des affamées, les jouissances sont nombreuses. La chambre est un lieu de râles et de gémissements.
Les femmes se donnent tellement de plaisir qu'elles en oublient Pierre. L'homme inquiet cherche après ses deux amours, il monte à l'étage, c'est en passant devant la porte de la chambre qu'il entend de gémissements. Curieux, il ouvre et reste bouche bée devant ce qu'il voit.
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