Sylvain et Aurégane 4

Après quelques verres, les esprits s'échauffent, Aurégane convoitée par les deux hommes, cède à leurs avances, son corps devient un concerto pour quatre mains. Elle vibre sous les attouchements précis de ses deux amants.

Proposée le 3/04/2023 par valeriane

Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme

Une fois la culotte sur le sol, Julien écarte doucement les jambes d'Aurégane. Il observe un instant la vulve garnie d'une fine toison soyeuse. Il ose tendre la main vers elle, puis avec douceur caresse de bas en haut la fente, qui vibre au contacte de ses doigts.
Sylvain ne reste pas inactif, ses doigts s'engagent sous le bandeau qui bâillonne la poitrine, et s'enfoncent dans la chair souple, comme pour en connaitre la texture. Aurégane se cabre, en serrant les dents, elle veut étouffer ses gémissements de plaisirs.

Les mains noueuses de l'homme de la terre malaxent, et pétrissent les lobes généreux, prisonniers dans le carcan de tissu. D'un geste habile, il dégage le bandeau, les seins libérés, semblent revivre, comme part miracle les mamelons se dressent fièrement au centre des aréoles fortement grenelées. Sylvain a l'art pour les faire gonfler, le coquin les roule entre ses doigts en les pressant quelques fois doucement. Ce traitement fait rugir Aurégane qui souffle comme un dragon. Ses mamelons deviennent larges et épais sous les doigts habiles de Sylvain.

Julien, tout ému, de pouvoir toucher cette femme sublime, insère avec une douceur extrême deux doigts dans le sillon que forme les grandes lèvres vaginales, et les montent à la recherche du bouton de tous les plaisirs. Délicatement, les doigts de Julien, se posent dessus, Aurégane se tend comme un arc, elle frissonne. Elle est étonnée, car Le petit frottement sur son bouton est aussi doux que la caresse d'une femme, ce qui ne gâche rien à son bonheur. À chaque passage des doigts sur elle, la petite protubérance prend du volume. Julien, avec habileté, fait sortir de son écrin la perle magique, et la masturbe avec délicatesse. Aurégane semble fondre, elle geint doucement en agitant lentement son bassin. La tension est au top, Aurégane est au bord de la jouissance, son corps est parcouru de frissons qu'elle ne peut contrôler.

Sylvain joue avec les mamelons qui sont devenus méconnaissables, il les étire, les presse sans brutalité. Il sourit en voyant le corps de son amour s'agiter. Julien augmente la cadence, ses doigts enserrent la boule de chair qui augmente au fur et à mesure du branlage. La vulve en ébullition laisse échapper son jus. Aurégane se cambre comme un pont un jour de tempête et jouit en poussant un râle affreux. Sa vulve expulse avec fort un jet de cyprine qui recouvre la main de Julien. La jouisseuse a les yeux vitreux, elle haléte fortement en regardant Julien qui continu d'agacer son clitoris.

Sylvain demande à Aurégane de s'étendre sur la table basse. Julien cesse de taquiner le bouton d'amour et débarrasse la table rapidement. Mais avant, qu'Aurégane s'allonge sur la table, on prend soin de lui, retirer sa jupe. Elle est nue devant les deux hommes qui la regardent comme une proie. Elle frémit lorsque les mains de ses amants se posent sur son corps laiteux. Son corps devient un concerto à quatre mains. Chaque parcelle de sa peau est soit caressée ou embrassée. La bouche de Julien se pose sur un mamelon et l'aspire à L'aspiration est telle qu'Aurégane se cabre en poussant un gémissement de bête blessée. Julien sait y faire, il change de mamelon fréquemment, les suçote, les pince entre ses dents pour les étirer le plus possible. Aurégane est au summum du bonheur.

Sylvain se place entre ses cuisses, il pose sa bouche sur la fente qui suinte toujours, sa langue lape le jus suave qui s'écoule habilement, son appendice lingual titille la boule magique qui n'a pas encore dégonflé. Auriane grince des dents, elle se cambre fortement, lorsque Sylvain lui gobe le clitoris. Le traitement que lui font subir les deux hommes et redoutable, elle est au bord de la syncope. Ses gémissements sont ceux d'une bête traquée par des chasseurs. Soudain pousse un hurlement et gicle de jouissance dans la bouche de Sylvain qui ne peut éviter le jet puissant. Il ne peut qu'avaler tous se qu'il peut.

Les deux hommes la délaissent pour se mettre nus, eux aussi,

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