L'heure tourne, il est temps de rentrer. Sylvain propose à Aurégane de prendre un dernier verre chez lui. Elle se doute que le coquin à quelque chose derrière la tête, elle fronce les sourcils puis accepte.
Proposée le 31/03/2023 par valeriane
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Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme
Les corps évoluent au son de la douce musique, Les doigts de Sylvain, pianotent sur les vertèbres D'Aurégane, les lèvres s'effleurent souvent, les soufflent chauds se mêlent. Les lèvres brulantes de l'homme donnent de nombreux baisers sur les épaules et le cou d'Aurégane qui frémit, les bassins serrés collés, font monter la tension dans les corps. La verge de Sylvain et dure comme du bois, c'est une preuve comme quoi le bougre la désire fortement. Le coquin frotte son bas-ventre contre celui de la femme dont est amoureux en espérant un geste tendre de sa part, la réponse ne se fait pas attendre :
-Vous êtes incorrigible Sylvain, cessez ses gamineries !
La danse se termine, il est temps de rentrer. Sylvain ne veut pas en rester là, il propose à Aurégane de prendre un dernier verre chez lui. Elle sait que le coquin, a quelque chose derrière la tête. Elle reste dubitative un moment puis en faisant la moue accepte. La ferme de Sylvain est à la sortie du village. La voiture arrive dans la cour du corps de ferme, un gros chien, un labrador qui a reconnu la voiture, aboie en agitant la queue. Sylvain sort du véhicule, et va ouvrir la porte d'Aurégane. Le chien s'approche, et lui renifle le haut des cuisses, en agitant sa queue. Pas rassurée, Aurégane caresse le chien, automatiquement, l'animal lui lèche la main, la langue rapeuse de la bête surprend Aurégane qui retire brusquement sa main. Sylvain envoie le chien à la niche, et fait entrer Aurégane dans la maison.
Dans le salon, il y a malgré l'heure tardive, un jeune homme qui s'avère être le fils de Sylvain, tapote sur un ordi. Le jeune homme de vingt-huit ans, gère sa petite entreprise qu'il a créée récemment.
Sylvain fait les présentations, les deux se regardent un long moment, ils restent figés avant de se saluer. Aurégane sent qu'il se passe quelque chose en elle, elle ressent une attirance vers Julien qu'elle ne peut expliquer. Julien ressent la même chose, une chaleur intense lui monte jusqu'à la gorge et le rend muet pendant un instant. Il ne cesse de regarder Aurégane. Le papa voit l'émoi de son fils et lui dit en souriant :
-Alors n'est-elle pas belle mon invitée !
Julien regarde Aurégane et répond en rougissant légèrement :
-Elle est magnifique papa, je n'en reviens pas !
Aurégane gênée par ces mots flatteurs, baisse les yeux. Enfin, Sylvain fait prendre place à l'invitée dans l'un des fauteuils très bas du salon, la position fait que sa jupe glisse sur le haut de ses cuisses. Elle tente plusieurs fois de la remettre vainement en place. Sylvain débouche le champagne, les deux hommes en une vue imprenable sur les cuisses magnifiques d'Aurégane.
Les trois trinquent pour tout et pour rien, de temps en temps involontairement Aurégane entre-ouvre les cuisses. Julien face à elle est aux premières loges, il peut apercevoir la culotte de la nouvelle venue. Ses yeux brillent, de mille feux. Tout en buvant, Aurégane regarde par-dessus son verre le jeune homme qui la trouve. Les yeux rivés sur l'entrejambe d'Aurégane, Julien déglutit bruyamment.
Aurégane grisée par l'alcool se livre plus facilement ainsi que Sylvain. Qui raconte que sa femme a fui la maison il y a plusieurs années pour voler vers d'autres cieux avec son employer. Aurégane avoue avoir était très déçue par les hommes qu'elle considère comme des machos indécrottables, et qu'elle préfére la douceur des femmes.
Les deux hommes restent sans voix aux dires d'Aurégane. Les verres se remplissent et se vident régulièrement. Sylvain tient des propos sans équivoques, il attaque Aurégane de front sans se poser de questions, il? à très en vie de cette femme dont il est amoureux. Julien a beaucoup d'humour, il fait souvent rire Aurégane. Sylvain se lève, il passe derrière le fauteuil d'Aurégane et pose ses mains sur ses épaules nues. Ses doigts glissent sans détours, vers la poitrine généreuse. Le bout de ses doigts noueux de travailleur de la terre, passe sous le bandeau de tissu qui bâillonne les seins, et s'emparent sans brusqueries des lobes qu'ils pétris pour en tester la texture. Les doigts qui s'enfoncent profondément dans les seins souples d'Aurégane la font geindre. Elle jette sa tête en arrière, et ferme les yeux. Julien bout, il se lève à son tour et s'assied sur la table face à Aurégane. Il lui pose ses mains sur les cuisses et les fait glisser jusqu'aux aines.
Aurégane n'a pas d'autre possibilité, que de serrer les cuisses. Julien saisit la culotte et doucement la fait descendre sur les longues jambes bien galbées de la femme grisée de bonheur, jusqu'à ce que la culotte soit sur le sol.
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