Promenade en montagne

La journée est ensoleillée Karine, décide de faire une promenade en montagne. Elle se Munit d'un sac à dos et gravit péniblement les sentiers escarpés. Soudain un violent orage éclate, rapidement elle est trempée.

Proposée le 23/10/2021 par jeane

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

La journée est magnifique le soleil brille de tous ses éclats. Karine très sportif, décide de faire une randonnée en montagne, son mari refuse de la suivre, il prétend que c'est trop dur pour lui. Elle se munit d'un sac à dos et part courageusement gravir les sentiers escarpés de la montagne. Soudain le temps se couvre, un violent orage éclate, Karine n'a aucun endroit pour s'abriter, elle est trempée jusqu'aux os. Elle accélère le pas et comme par miracle, au détour du sentier un chalet se dresse sur son chemin.

Elle pousse un ouf de soulagement en espérant qu'il est habité. Elle frappe à la porte, un homme lui ouvre la porte et lui dit :

-Entrez ma petite dame, vous aller attraper la mort par ce temps !

Karine n'en espérait pas moins, elle s'engouffre dans la maison en remerciant le brave homme pour son hospitalité. Son visage ruisselle de gouttelettes, ses vêtements sont trempés. L'homme lui tend une couverture et lui dit retirez vos vêtements, enroulez-vous là-dedans je vais allumer la cheminée. Karine n'a pas le choix, elle retire ses habits noyés et s'enroule dans la couverture. La cheminée est allumée, les flammes vacillent sur les buches en feu. Sur le sol des peaux sont étendues, cela rend la pièce plus conviviale. Il lui prépare une boisson chaude et encourage Karine de boire le grog.

Karine s'avance près du feu, L'homme s'approche d'elle et lui frotte vigoureusement le dos, elle ferme les yeux et dit en soupirant :

- Hum, c’est bon merci monsieur !

-Ce n’est pas monsieur, c’est Owen ! Qu'il répond en souriant.

-Moi, c’est Karine !

Les courtes présentations sont faites, les deux se sourient. Les mains puissantes du montagnard qui glissent sur la couverture, réchauffe le corps de la femme. La douce chaleur que produit le frottement, fait soupirer Karine. L'homme la retourne doucement et pose ses mains sur son ventre plat et le frictionne énergiquement. Lentement les mains montent, sur le corps de Karine, elles se posent sur sa poitrine, Les mains de l'homme passent d'un sein à l'autre rapidement, pour réchauffer le corps tremblant de la femme transit de froid.

Elle est surprise, mais c'est si bon, qu'elle ne se rebelle pas. Les mains montent et descendent sur son corps, mais s'attardent plus longuement sur sa poitrine. Karine s'assied sur la peau et passe sa main dans les boucles de laines. Elle demande :

-C’est une de vos bêtes ?

Le montagnard répond fièrement :

-Eh oui une de mes brebis !
En montagne, il faut savoir faire beaucoup de chose, je vous ferais gouter mon fromage !
Étendez-vous sur la peau et recouvrez-vous de la couverture, je vais faire sécher vos vêtements !

Karine profite que l'homme étend ses habits près de la cheminée, pour allonger son corps nue sur la toison laineuse. Elle se couvre de la couverture, la discrétion oblige. L'homme lui sourit et s'assied à côté d'elle et lui dit, d'un ton mielleux :

-Vous n'avez plus froid ?

-Oh ça va beaucoup mieux, j'ai un bon saint Bernard à côté de moi !

Les deux éclatent de rire, l'homme regarde Karine, il vient seulement de se rencontre comment Karine et belle. Il pose sa main sur l'une des cuisses de Karine et la caresse doucement à travers la couverture. Karine soupire, la douceur le l'homme la perturbe, elle a les yeux qui brillent. La main monte lentement jusqu'à l'aine et, frotte délicatement la pliure de la cuisse. Karine pose sa main sur la sienne et la presse fortement. Owen comprend qu'il ne doit pas aller plus loin, il s'étend à côté d'elle. Les deux papotent comme de vieux amis. Owen faire rire Karine, le bougre a beaucoup d'humour.

L'heure tourne, les vêtements sont secs. Karine regarde Owen et lui dit :

-Toutes bonnes choses en une fin, il est tard, il faut que je rentre mon mari va s'inquiéter !

Owen est déçu d'apprendre que Karine a un compagnon, il propose à Karine de passer la nuit au chalet et de téléphoner à son mari, car l'orage reprend de plus belle. Karine lui téléphone :

Je suis dans un chalet bien à l'abri mon chéri, je ne rentre que demain, l'orage gronde très fort ici, je n'ai pas d'autre choix !

Le mari ne peut que dire amen. Karine profite de la cheminée, pendant qu'Owen prépare le diner, elle se place devant le foyer et ouvre la couverture, elle jubile de bonheur devant le feu qui lui réchauffe les seins et le ventre. Owen réapparaît, Surprise Karine se retourne, mais malencontreusement la couverture lui échappe des mains, en dévoilant ses formes. Owen se penche ramasse la couverture, il regarde longuement les formes magnifiques de la femme nue. Ses yeux s'illuminent, il ravale sa salive. Karine a un geste de protection, elle place une main sur sa fine toison et l'autre sur ses seins. Owen laisse retomber la couverture, il prend Karine dans ses bras et l'enlace, elle veut de se débattre, mais ses mains refusent de repousser le montagnard. L'homme vigoureux la plaque contre lui, Karine se sent faible, timidement elle passe ses mains autour de la taille d'Owen et le fixe droit dans les yeux. Les têtes sont très proches l'une de l'autre, les lèvres se frôlent dangereusement. Owen dépose un baiser à la commissure des lèvres de Karine qui pousse un soupir bruyant.

Machinalement, une des mains de Karine se glisse entre deux boutons de la chemise de l'homme. Elle glisse sur les pectoraux saillants de L'homme musclé. Ses doigts agiles s'emparent d'un téton et le presse fortement. Owen grimace, il pose ses lèvres sur celle de Karine, la coquine entrouvre la bouche et noue sa langue à celle du montagnard. Le baiser dure un long moment, les souffles chauds se mêlent. Owen bascule doucement Karine sur la peau de bête, ses mains glissent sur le corps fébrile de la femme consentante. Elles palpent les formes généreuses, les mamelons ne tardent pas à se dresser, Owen joue avec les petits mats de chair qui ne cesse de gonfler.

Sa bouche se pose sur l'un d'eux et le tète, comme le fait un bébé pour s'allaiter. Karine geint de plaisir, la bouche la fait délirer de bonheur. Une main glisse sur son corps et descend jusqu'à son entre jambes, ses doigts noueux voyagent sur sa fente qui se met à suinter de plus en plus. Les râles de Karine sont plus expressifs, elle agite son bassin pendant que des doigts jouent avec son clitoris. Elle grogne de plaisir en ouvrant tout grand, le compas de ses jambes. Sa vulve est trempée, les intrus noyés de cyprine ne cessent de jouer avec son bouton d'amour.

Karine se cabre et pousse un râle d'enfer sa jouissance est terrible, son corps tremble de tous ses membres. Owen délaisse un court instant sa proie, il retire ses vêtements, sa queue et raide comme un morceau de bois. Karine la saisit d'une main, elle approche sa bouche et gobe le gland violacé. Elle suce avidement la queue de l'homme qui lui a donné du plaisir. Sa bouche avance et recule sur la hampe veineuse. La coquine branle le manche avec sa bouche. Owen rugit de plaisir, il se raidit et envoie dans la bouche de son amante suceuse sa semence épaisse.

Elle le regarde intensément en l'implorant presque :

-Prends-moi Owen, prends-moi ! Le bougre dirige sa queue gluante vers la vulve suintante. Il l'enfonce lentement dans le corps de Karine, qui pousse un long râle pendant la pénétration. La cadence est donnée, Karine agite son bassin, elle donne des coups de reins pour être bien empalée par la queue gorgée de sang de son amant d'un jour.

Le rythme suit les gémissements de Karine, il augmente au fur et à mesure que la jouissance approche. Les coups de boutoir du mâle en rut font défaillir la femelle
demandeuse qui est soumise au pilonnage intense. Karine bascule sa tête de gauche à droite, elle halète fortement, son corps est en sueur. Soudainement elle se cambre en grognant comme un animal, elle se raidit et pousse un cri terrible. Karine jouit, comme jamais elle ne l'avait fait. Son corps est secoué de spasmes violents, elle a plusieurs orgasmes coup sur coup. Owen accélère, ses coups de reins sont brutaux, son amante geint à chaque coup de boutoir qu'il lui donne. La tension monte dans son corps, il se raidit, pousse un rugissement de fauve et remplit le ventre de son amante avec son sperme brûlant.

Le coquin inépuisable continu de la besogner avec rage, cela a pour effet de refaire re-jouir Karine qui grimace tellement c'est intense. Enfin, le coquin se déverse encore une fois en elle, puis l'embrasse fougueusement avant de se retirer du corps secoué par de nombreux frissons. Le lendemain Karine rejoint son mari, elle a en elle un secret, qu'elle ne dévoilera jamais, mais qu'elle n'est pas prête à oublier.

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