Mes trois semaines chez mamanChristina. Je deviens son bébé, son petit... chenapan qu'elle doit nourrir à la mamelle mais aussi dresser à la propreté. Couche de caoutchouc, tétine, biberon mais aussi martinet et sodomie.
Proposée le 17/03/2023 par rpic32
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Fétichisme
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Des mamelles, des mamelles (3e et dernière) par rpic32
Où j'habite chez maman Christina
- Voici mes conditions. D'abord, tu marcheras toujours à quatre pattes, intégralement nu, à l'exception d'une petite couche de caoutchouc ; tu ne la baisseras que pour ton petit pipi ou ton gros caca, dans le pot, là, comme un véritable bébé. Et tu auras toujours la tétine à la bouche. J'ai tous ces accessoires et bien d'autres aussi, grandeur adulte. Mon mari était un ardent adepte des jeux de bébé (ABDL) et moi j'aime bien jouer à la maman.
C'est toujours moi qui commanderai nos jeux : fellation, cunni, face-sitting, anulingus, sodomie, donnée ou reçue. Si maman permet une pénétration, elle enfilera un caoutchouc sur ton petit pénis.
Maman décidera quand bébé mérite la fessée, toujours administrée sur ses genoux.
J'ai un berceau pour adulte et c'est là que tu dormiras. Mais bébé pourra parfois coucher dans le lit de sa maman s'il a été sage.
Pipi dans la couche vaudra une fessée sur-le-champ. Caca dans la couche méritera le martinet ; le martinet, y'a qu'ça pour remettre les mauvais garnements dans le droit chemin. Je t'obligerai à jouer avec ton caca, puis tu devras tout nettoyer.
Dix jours plus tard maman Liane nous rend visite, question de savoir si tout roule. "Oh que ça sent le lait ici ! Je vois, c'est ce petit garnement, là, dans sa chaise haute, avec son biberon, qui bave du lait partout."
Mes deux mamans s'embrassent et commencent à se cajoler en m'ignorant. De caresse en caresse, la tension monte. Elles s'étendent sur le canapé, et Liane tète enfin son content de lait à la mamelle. Elles font l'amour comme des folles, devant moi qui doit me taper, jaloux, tous leurs orgasmes. Leur enthousiasme m'entraîne et j'essaie d'entrer dans leurs jeux. "Recule, petit effronté ! tu recevras vingt coups fouet pour ça." Je dois donc retraiter et me malaxer le poireau moi-même, car reluquer leurs ébats m'énerve au plus haut point. Brisées par de multiples orgasmes, elles s'écroulent finalement dans les bras l'une de l'autre, épuisées, et la tension érotique retombe lentement. Puis, tel que promis, elles me donnent dix coups de fouets à tour de rôle, prenant beaucoup de plaisir à m'entendre hurler. "Petit voyou !", "petit voyeur !" et sur ces bonnes paroles elles redoublent de vigueur.
- Oui Liane, je le fouette régulièrement : il aime beaucoup jouer avec son caca, un vrai porc qui s'amuse avec ses excréments. Je n'arrive pas à le corriger : à croire qu'il recherche le fouet.
En plus des cinq tétées par jour, il y a toujours plusieurs biberons de prêt, préparés avec mon lait. La faim de ce petit ogre est sans limite.
S'il m'énerve trop, je le sodomise : il baisse sa couche de
caoutchouc, prend la pose et je l'enfile avec mon gode-ceinture ! Mais je pense qu'il aime ça et fait exprès pour m'énerver encore plus souvent. Alors, maintenant, après une vigoureuse sodomie je le couche une heure avec un gros biberon de mon pipi, qu'il doit vider entièrement : il n'aime pas beaucoup mais ça le calme à tout coup.
En fait, j'adore sodomiser, défoncer les fions, élargir les rondelles avec des godes de plus en plus gros. J'obtiendrai bien un trou béant qui ne se referme plus, laissant couler continuellement de la matière. On sait que les bébés ne sont jamais si heureux que dans une couche pleine. Je lui permets simplement de retrouver son âme d'enfant. La culotte de caoutchouc que j'utilise est parfaitement étanche : pas de perte, pas d'odeur. Évidemment, il doit tout nettoyer lui-même.
Vois-tu, Liane, mon mari refusait la sodomie, alors je m'en donne à coeur joie. Rien de mieux qu'une bonne tétée suivie d'un solide enculage pour procurer à bébé un long dodo réparateur. Je deviens spécialiste du gode-ceinture. Parfois le petit effronté me résiste ; heureusement, le martinet n'est jamais très loin. On aura beau dire, rien ne vaut le fouet pour remettre les petits récalcitrants dans le droit chemin. Tout ça pour leur bien, évidemment.
Je drogue parfois son biberon pour avoir la paix. Il passe alors la journée dans sa chaise haute, en couche de caoutchouc, avec sa tétine ou son biberon, à jouer à touche-pipi. Je trouve souvent des traces de sperme séché au pied de la chaise haute. Il sait pourtant que je ne veux rien gaspiller. Je songe donc à lui poser une cage de chasteté, mais je devrai alors le traire moi-même trois ou quatre fois par semaine, par souci d'hygiène et pour collecter le sperme. Il serait possible, dit-on, de vider les bourses sans provoquer d'orgasme ; c'est plus tranquille, les cris de jouissance m'indisposent... quand je ne jouis pas aussi et on obtient quand même tout le sperme désiré. Oui, à bien y penser, je m'y mets dès demain.
Il tète toute la journée : sa tétine, son biberon, mes seins, ma chatte, mon anus. Je n'ai plus besoin de papier hygiénique, il adore me nettoyer les fesses avec sa langue. Plus écologique et plus agréable qu'un bidet ! Il en bande tellement qu'il songe maintenant à se reconvertir dans la toilette intime des femmes seules. Je devrais peut-être placer une annonce dans la section bidets des journaux locaux ; il rêve de passer le reste de sa vie la tête entre deux mamelles ou entre deux fesses.
Chère Liane, quant à moi, j'adore donner le sein et me consacrerai jusqu'à la retraite aux soins et à l'éducation des bébés difficiles comme bébé Jeannot. Je ne manquerai jamais de travail, les besoins sont immenses. D'après mon médecin, je devrais produire du lait indéfiniment, à condition qu'on me traie tous les jours : une bonne mamelle, a-t-il dit en ouvrant mon corsage, l'oeil égrillard (je consultais pour une cheville douloureuse), une bonne mamelle, plus on la trait plus elle donne. J'ai vite compris et je lui ai donné la tétée. Il avait une de ces soifs ! Malheureusement, son infirmière nous a surpris, j'en étais à recueillir dans mes mains le produit de son plaisir. Elle a donné sa démission sur-le-champ.
Je le revois aux trois jours. D'une exquise politesse, il ne manque jamais de me présenter ses hommages ! Et je lui ai diagnostiqué un petit problème de santé : le pauvre homme a toujours soif, très très soif, ce n'est pas normal !
J'apporte toujours mon martinet ; c'est curieux, il sent régulièrement le besoin, lui aussi, d'être remis dans le droit chemin.
C'est ainsi que s'écoulèrent mes trois semaines de vacances, les plus beaux jours de ma vie. J'essayai bien de réserver tous les weekends à venir, mais elle avait placé une petite annonce dans une feuille coquine et sur le web à "histoire-erotique.org". Plus d'une centaine de grands escogriffes se manifestèrent avec enthousiasme, de tous les coins de la France, de la Belgique, du Luxembourg, de la Suisse et même du Québec ! Après un premier tri rapide, elle interviewa en personne, à mon insu, les dix plus prometteurs, qui se battaient au portillon pour acheter ses services. Elle décrivait ce qu'elle attendait d'un bébé, comme procéder tous les matins à sa toilette intime "Quand on a connu l'ineffable douceur d'une langue de bébé, on ne veut plus user de rien d'autre." Elle choisit finalement un grand dadais efflanqué ; il proposait de passer une année entière dans sa nurserie, sept jours sur sept, offrant même un loyer hebdomadaire du triple de ce que je lui consentais. Non, mais y'en a-t'y pas des écoeurants ; tous des Judas, tous des ratés, tous des tarés !
Hélas ! c'était sans appel, mais maman Christina m'accorda une dernière tétée, jusqu'à la dernière goutte de lait que je pus traire de ces tendres mamelles qui m'avaient si généreusement nourri tout ce temps. Elle me caressait la tête avec tendresse et une émotion difficilement contenue.
Puis elle me fit ses adieux, une petite larme au coin de l'oeil. "Bébé Jeannot, tu as été mon premier nourrisson ; ton souvenir sera toujours cher à mon coeur. Appelle-moi de temps à autre, j'aimerai tellement recevoir de tes nouvelles maintenant que tu es devenu un homme."
Non ! je m'en garderai bien à tout jamais, ça me briserait le coeur.
Maman Christina, Dame de mes pensées, Merveille de la nature, Cadeau du Ciel, je ne vous oublierai jamais !
Ah ! vos mamelles !
À tous les soirs
Je pense à elles,
Qu'à les revoir,
Seul dans mon lit,
Tout suffocant
En me lustrant
Le salsifis.
Et j'erre partout, âme en profonde peine, cherchant en vain une mamelle abondante et compréhensive pour me nourrir. Beaucoup de femmes me tendent les bras, mais toutes s'enfuient, convaincues de ne pouvoir satisfaire mes besoins profonds et déloger votre place dans mon coeur.
Et je m'en vais au vent mauvais, qui m'emporte deçà delà pareil à la feuille morte.
Dans mes plus noirs moments de spleen, j'écoute cette poignante complainte d'un autre grand déprimé : https://youtu.be/t89UWYbghhg
Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon cœur
D'une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure.
Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà
Pareil à la
Feuille morte.
(Verlaine)
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