Maman Liane me présente maman Christina, une nourrice comme j'en ai toujours rêvé. D'immenses mamelles, pleines d'un lait qu'elles peuvent à peine retenir.
Proposée le 13/03/2023 par rpic32
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Thème: Fétichisme
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Où je rencontre maman Christina
Maman Liane nous présente. "Maman Christina, je te présente Bébé Jeannot, ton nouveau nourrisson. Il est très gentil, quoique très très timide".
- Bonjour, bébé Jeannot._ Elle me caresse légèrement la joue avec un grand sourire.
- Bébé Jeannot, je te présente maman Christina, ta nouvelle nourrice.
- B-bonjour, maman Chri-Christina. _ J'arrive difficilement à prononcer ces quelques mots.
Maman Christina est une grande femme, avec ses talons hauts elle me dépasse de 15 ou 20 centimètres. Impressionnante, bien en chair, à l'imposante poitrine. Elle porte un corsage de soie gris et une mini-jupe noire très serrée ; on devine, dès quelle bouge, un porte-jarretelles qui tend des bas noirs diaphanes. Ses mamelons, trahis par deux taches qui mouillent sa blouse et vont s'élargissant, laissent manifestement couler du lait. Ses mamelles pendent un peu sous la ceinture.
Je regarde, fasciné, deux gouttes de lait tomber au sol. Maman Liane intervient aussitôt "Voyons, bébé Jeannot, on ne fixe pas ainsi la poitrine des dames, c'est grossier !".
En rougissant, je bégaye un "p-pardon, p-p-pardon" qui fait s'esclaffer les deux femmes.
Christina me rassure aussitôt "Non, non, bébé Jeannot ; les mamelles de sa maman sont le seul univers du nourrisson, il ne vit que pour elles, il ne voit qu'elles, c'est la nature."
Maman Liane sourit, indulgente, et m'explique la suite. "Maman Christina et moi avons décidé, que pour la première tétée, pour vous habituer l'un à l'autre, maman et bébé Jeannot vont rester habillés, étendus côte-à-côte dans mon lit. Et bébé devra porter un bandeau sur les yeux. Maman Christina se contentera, pour ce premier boire, d'ouvrir seulement le bout de son soutien-gorge de nourrice, un seul sein à la fois. Je resterai présente pour superviser et aider au besoin. Ça va aller comme ça ? ??? Ben voyons, bébé Jeannot, ne reste pas là, figé comme une statue. Je répète : ça va aller comme ça ?"
- Euh, euh... oui, maman Liane.
Maman Liane me conduit par la main, tout tremblant, les jambes flageolantes, dans le grand lit de sa chambre, que je connais si bien. Sur ses instructions, je me couche sur le côté ; elle m'ajuste un bandeau sur les yeux. Mon coeur bat la chamade et j'ai peur qu'il n'explose. Le rêve de ma vie : téter enfin du lait directement à la mamelle d'une maman attentionnée.
J'entends quelqu'un s'approcher, maman Christina sûrement. Elle s'étend délicatement à côté de moi, je l'entends soulever sa blouse et ouvrir son soutien-gorge. Je sais qu'elle approche sa mamelle de mon visage quand l'odeur du lait chaud s'impose, insistante et légèrement sucrée. Je suis tétanisé, ma bouche refuse de s'ouvrir malgré tous mes efforts. Maman Christina glisse délicatement son mamelon contre mes lèvres, y déposant quelques gouttes de lait. "Goûte au bon lait-lait de maman, goûte le bon lait-lait", mais ma bouche refuse toujours de s'ouvrir.
Maman Liane me pince le nez et j'ouvre enfin la bouche, cherchant de l'air. Maman Christina introduit son mamelon entre mes lèvres et machinalement, réflexe hérité du fond des âges, je commence involontairement à le sucer délicatement. "C'est bien, très bien, bébé Jeannot. Parfois les bébés ne savent pas téter et il faut guider le tout-petit. Maintenant ouvre grand la bouche pour enrober toute l'aréole et plus encore si possible : toute la mamelle de maman Christina appartient à son bébé Jeannot. Très bien, très bien. Agrippe maintenant la mamelle à deux mains ; plus fermement, c'est ça. Suce plus vigoureusement, mais plus lentement pour bien savourer le délicieux lait de maman. C'est ça, c'est ça, bravo mon petit. Détends-toi, tout va bien maintenant."
Chaque tétée m'emplit la bouche d'un liquide chaud, crémeux, délicieux. Je flotte, complètement stone, tellement c'est intense. N'existe plus que la mamelle, je m'y accroche comme un noyé à la poutre de bois qui flotte. Je tète, je tète, je tète. "Déguste lentement, mon Jeannot, on n'est pas pressé et tu as deux belles grosses mamelles à vider de leur lait, tout ce qu'il faut à Jeannot pour devenir un gros bébé vigoureux, débordant de santé."
Mon pénis durcit mais ne trouve pas de position confortable dans le jean trop serré. Il lui faut rapidement trouver plus d'espace, mais j'agite en vain les hanches. Heureusement, maman Liane veille, bienveillante ; elle ouvre ma braguette, libère Popaul d'une main experte et commence à le sucer gentiment. Je tète et je suis tété : ça dépasse toutes mes espérances. Je n'avais jamais connu un tel bien-être m'envahir !
Une dizaine de minutes plus tard, la simple tétée procure un violent orgasme à maman Christina. Je ressens ses spasmes jusque dans la mamelle qui m'échappe et dégorge trois grandes giclées de lait. J'en ai plein la face ; Dieu que c'est bon, Dieu que c'est bon !
Maman en profite pour me présenter l'autre sein ; elle enlève carrément blouse et soutien-gorge et remonte mon bandeau. "C'est qu'il manie la mamelle comme un champion, ce petit coquin ; il mérite bien de contempler le spectacle en entier." La vue de ces deux vastes mamelles aux larges aréoles roses, là sous mon nez, c'est plus que je n'en puis supporter : je défaillis et ma bite crache longuement son jus dans la bouche de maman Liane, et cela l'excite aussi au plus haut point. "Moi aussi je veux goûter le lait de maman Christina." Liane prend place de l'autre côté du lit ; Christina se retourne et lui tend une mamelle bienveillante. Un répit bienvenu pour le pauvre Jeannot, qui reprend lentement ses sens.
Liane semble ne jamais vouloir s'arrêter de téter le bon lait chaud ; en même temps, les deux femmes se caressent mutuellement et connaissent enfin un violent orgasme quasi simultané. Une fois calmée, maman Christina se retourne finalement vers moi "Mon lait n'est pas pour les adultes, c'est pour mon petit Jeannot."
Je me remets au travail avec ardeur. Mais tout ça c'en est trop : Popaul recrache une longue giclée épaisse, cette fois sur les chevilles et les escarpins de maman Christina. "P-pardon, p-pardon, je suis désolé, je suis dé-désolé".
- Je devrai nourrir le petit chenapan de nouveau très bientôt, il perd plus de calories qu'il n'en a ingéré. Mais il finira bien par se modérer et téter calmement comme un gentil bébé à sa maman.
Le repas terminé, maman Christina me caresse gentiment pour faire passer le rot, la tête enfouie entre ses deux mamelles géantes. Puis elle se lève et se rhabille. Je ne perds pas une miette du spectacle et je peux enfin contempler vraiment sa poitrine, qui touche presque le sol quand elle se penche pour nettoyer ses chevilles, ses talons hauts, et ravaler ses bas. Elle se tourne pour me cacher sa poitrine, me gratifiant d'une vue imprenable sur ses fesses, son anus et sa chatte car elle ne porte pas de culottes. À ce spectacle inattendu, paf ! mon pistolet décharge pour la troisième fois, gratifiant les fesses, les cuisses et les bas noirs de maman Christina d'un abondant liquide épais. "Non mais quelle virilité ! Ça commence au berceau de nos jours, on dirait !"
Gorgé de lait, je me sens repu, satisfait, mais groggy. Le lait me sèche sur le visage, dans les cheveux, et son odeur, tenace, m'enivre. Je n'ai jamais été aussi heureux, mais honteux d'autre part d'avoir ainsi éclaboussé maman. J'ai les jambes coupées mais je réussis à suivre piteusement mes deux mamans au salon.
- Bébé Jeannot va vouloir remettre ça demain ? _ demande maman Liane.
Tout gêné je me tais, le regard vissé au plancher.
- Bébé Jeannot, il n'y a pas de honte à m'avoir arrosée de ton sperme. C'est la nature. Je vois ça comme un hommage rendu à ma féminité. Bon, on peut faire mieux avec du sperme, ce produit merveilleux, plein de vitamines, qu'il faut traiter avec la plus haute considération, car une femme s'assèche si on l'en prive trop longtemps. Avant le prochain boire, je te sucerai, tu éjaculeras dans ma bouche puis je t'enfilerai un petit caoutchouc. Ainsi on ne perdra rien et cette fois bébé pourra, j'espère, téter en toute tranquillité.
Je me tais, encore plus gêné, en contemplation devant une petite tache sur le plancher.
Maman Liane en a assez et elle s'impose. "C'en est assez, bébé Jeannot. On veut une nourrice ou en n'en veut pas. Quitte cette posture ridicule d'enfant gêné. Répète après moi «Merci, maman Christina, pour tout le bon lait. J'ai tellement hâte de téter vos seins à nouveau que je vais vais me masturber toute la nuit en pensant à vous et vos magnifiques mamelles."
Je répète, avec beaucoup de difficultés, car la petite tache du plancher semble de plus en plus fascinante.
- Va embrasser ta maman.
Je m'avance ; Christina me relève le menton, se penche et m'embrasse à pleine bouche. Curieusement, après tout ce qui vient de se passer, je rougis comme une pivoine.
- Oh le brave petit, il rougit. Ce qu'il est mignon ce bébé ! Nous allons pouvoir en faire quelque chose !
- Alors, Bébé Jeannot va vouloir remettre ça demain _ redemande maman Liane _ ou on laisse simplement tomber ?
Il faut bien que je me décide, alors je plonge. "Oui ! j'aimerais bien passer les trois semaines de vacances qui me restent chez maman Christina. S'il-vous-plaît, maman Christina, dites oui, dites oui."
- Parfait, bébé Jeannot, tu peux venir habiter chez moi. Nous partirons ensemble dans quelques minutes. Commençons par une semaine, puis nous verrons. Mais ce sera à mes conditions. Elles te seront signifiées sitôt arrivés à la maison, mais tu dois t'engager immédiatement à les respecter scrupuleusement.
- Je ferai tout pour plaire à maman Christina et je m'engage à suivre tous ses ordres et combler tous ses désirs.
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À suivre.
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