Le fils et pourquoi pas le père 3

Marc dévore la chatte à Cloé, jusqu'à ce que la jeune lui remplisse la bouche de son jus. Il se redresse et exhibe sa verge tendue, Cloé la saisit, là regarde un bon moment puis la décalotte, sa langue agile monte et descend sur la hampe veineuse gorgée de sang

Proposée le 15/03/2023 par lounabelle

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Marc se redresse, il exhibe devant Cloé sa verge tendue. La coquine s'en empare, là regarde un bon moment puis la décalotte. Sa langue agile monte et descend sur la hampe veineuse gorgée de sang. Sa bouche gobe le gland large et épais et avec hargne le tète voracement. Marc commence à geindre, en agitant son bassin, la bouche de Cloé, le fait grogner comme une bête blessée. Plus elle suce, plus la tension monte dans le manche vivant de Marc. Cloé s'acharne sur le mat dressé, sa langue fait le tour du gland plusieurs fois, titille le frein et gobe les perles de rosée qui s'échappent du méat ouvert.

Cloé, avec art, fait grogner son amant. Le bougre se raidit et envoie un flot de sperme dans la bouche de la suceuse avide. Cloé recrache le gland et avale la semence épaisse sans rechigner. Marc souffle comme un taureau, il reprend place entre les cuisses de la gamine et enfonce lentement son mandrin dans la gaine, qui est bien plus serrée que ne le pensait Marc. La queue de Marc est bien plus imposante que celle de son fils Loïc, Cloé s'agrippe à son amant en gémissant de plaisir. Soudain, elle donne un violent coup de reins pour être totalement empalée sur la queue de son futur beau papa. Le rythme augmente, les râles de Cloé aussi. La queue qui coulisse dans son ventre la fait geindre comme une hystérique. Elle s'agite comme une forcenée, donne des coups de reins violents en criant :

-Plus fort Marc, plus fort, fais-moi mal !

Le gredin ressort entièrement sa queue pour la replonger brutalement dans le ventre de la gamine chauffée à blanc. Le gland large ressemble à un cèpe, il laboure la gaine vaginale en la dilatant. Le va-et-vient fait couiner Cloé qui est au bord de la syncope. Tout en lui défonçant la chatte, Marc lui dévore les mamelons, le coquin sait comment les faire doubler de volume. Sa langue tourne sur les aréoles brunes en agaçant les petits mats de chairs devenus sensibles. Marc mordille les tétons puis les étire le plus qu'il peut. Pour
Cloé, c'est le summum du bonheur. Elle se cabre en gémissant, puis se met à donner des coups de boutoir violents. Elle veut sentir contre sa chatte en ébullition les couilles de son pourfendeur. La cadence devient rapide, les gémissements de Cloé sont très bruyants. Soudain, dans un râle monstrueux, elle jouit. Sa cyprine gicle sur les couilles de marc qui continue de la démonter violemment.

Le baiseur accélère encore le tempo. Cloé se cambre comme un pont en pleine tempête et explose encore une fois de jouissance.
Marc donne encore quelques coups de reins avant de se bloquer et de remplir le ventre de la soumise insatiable avec son sperme abondant. Il retire sa queue gluante du temple des plaisirs et regarde Cloé haleter fortement. Il lui dit :

-Hum salope, tu es trop bonne, il t'en faut plus, je le sais !
Avant de te prendre par le cul, je vais bien m'occuper de ta chatte vorace !

Il s'absente un court instant et revient avec une lanière de cuir. Cloé regarde Marc, elle lui sourit, puis ouvre davantage les cuisses, elle sait ce qui l'attend. La lanière qui glisse sur son corps la fait frémir, le vicieux Marc la passe plusieurs fois sur la chatte qui recrache le surplus de sperme. Cloé crie :

-Vas-y fais-moi mal, vieux cochon, n'hésite pas !

Marc lève le bras, la lanière s'abat sur sa vulve en sifflant. Plusieurs coups suivent, la chatte est rouge, les grandes lèvres sont boursoufflées, le clito méconnaissable. À chaque coup, Cloé se cabre, en poussant un gémissement qu'elle tente d'étouffer en se mordant la main. Marc frappe maintenant les seins de la demandeuse, de fines stries rouges, marquent la peau sensible des lobes mammaires, Cloé geint à chaque coup que lui donne son amant.

Enfin, Marc jette la lanière et reprend place entre les cuisses de Cloé, et il lui enfonce brutalement sa bite jusqu'aux couilles dans la chatte martyrisée. Cloé dit en regardant son amant :

-Oui baise-moi, fort, j'ai la chatte en feu, oh mon Dieu comme c'est bon ce que tu me fais vieux salaud !

Marc lui répond :

-Je n'en ai pas fini avec toi salope de pute !


Le pilonnage est terrible, les coups portés sont violents. Cloé agite son bassin en grognant de plaisir. La coquine se cabre fortement et dit :

-Oui, je suis ta pute, fait moi jouir encore, encore !

Soudain, elle se s'arcboute, en poussant un hurlement, sa jouissance est affreuse. Sa cyprine gicle avec force, Marc n'a jamais vu une femme gicler autant. Cloé n'est pas encore satisfaite, elle dit en rageant :

-Prends-moi par le cul, encule-moi salaud !

Marc pose son gland gluant contre la rosette brune et pousse fortement. Cloé serre les dents, grimace, le monstre de chair s'enfonce dans son rectum en le distendant. Marc est un pro de la sodomie, il defonce Cloé en la faisant gémir comme une bête blessée, plus il la défonce, plus elle en veut. Elle agite sa croupe en couinant de plaisir. Le ramonage et violent, les coups de reins de Marc la font hurler de plaisir. Maintenant, la queue voyage dans la gaine étroite avec de plus en plus d'aisance. Cloé se tend comme un arc, elle a un rictus qui déforme son visage, elle se cambre et jouit du cul comme jamais, elle ne l'a fait.

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