Ma retraite au monastère 3.

Après plusieurs péripéties,nous voilà confronté à un phénomène nouveau, la venue d'une jeune religieuse chez l'abbé, ce qui bouscule notre soirée, déjà bien partie...

Proposée le 9/03/2023 par yaèlll

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie

(Donc j'ai ce cul magistrale devant les yeux.)
Je m'emploie à la déculotter de suite pour faire apparaître ses belles fesses laiteuses et fermes . Les deux lascars la maintiennent toujours , de mes mains fébriles j'écarte sa raie, pour faire apparaître son petit trou objet de ma convoitise. Je me rue dessus et je lèche ce beau cul dont le fumet envahit mes narines,elle pousse un gémissement qui en dit long,je ne peux me défaire de cette belle lune que je hume et salive à grands coups de langue. Après m'être délecté de son postérieur comme un obsédé , je la retourne aidé par les deux autres, nous lui arrachons sa robe et son voile, elle est toute nue, là elle nous offre une chatte des plus fournie et luisante, ses seins sont aussi superbes, auréolés de petits tétons, et sa chevelure brune qui tombe sur ses épaules.

Je regarde mes compère , leur fais signe pour qu'ils me laissent faire, c'est moi qui dirige les opérations,je descend pour lui sucer sa petite chatte, elle mouille comme ce n'est pas permis , ses petites lèvres sont douces comme des pétales de rose.
Les effluves de son sexe décuple mon désir, je prend son clitoris entre mes lèvres il est très dure, sûrement avec le traitement que je lui fait subir. L'odeur intime de sa petite chatte m'enivre, je bois sa cyprine en lui glissant un doigt dedans, elle est très serrée. Je me redresse, je l'embrasse dans le cou à plusieurs reprises ,n'y tenant plus je la pénètre doucement, elle gémit , elle ferme les yeux, je lui suce ses petites pointes de seins, ma queue peine à rentrer, tel un soudard je la maintien par ses superbes hanches ,je force un peu et lui imprime un va vient de plus en plus fort, elle lance de petits cris. La liqueur aphrodisiaque des moines maintient mon érection , je la lime de plus en plus vite, elle remue son bassin pour venir s'empaler entièrement sur ma queue .Je relève la tête, stupéfaction , un des frères lui a mis sa bite dans la bouche, elle dodeline de la tête, car elle peine à sucer cette grosse queue. S'en est trop je décharge dans sa petite moule,je me retire, heureux d'avoir pu baiser cette belle none.Je crains que son supplice s'il en est un soit fini, car les deux larrons tels des prédateurs, s'emparent de la petite, le plus vieux sur le dos n'attend pas quelle se remette,ce que je vois me déconcerte, la nonne lui passe sur le torse , lui l'empale littéralement sur son gros pieu , non sans difficulté .Je suis ahuri par la scène, la queue à moitié rentrée, elle remue de la croupe pour la prendre entièrement. Son frère lui tend sa bite qu'elle suce en ouvrant bien grand sa petite bouche, l'autre la ramone en lui maintenant les hanches, la verge énorme lui remplit le vagin en faisant un bruit de mouille très excitant. Je reste là , bouche bée, je me branle. Le plus jeune passe derrière elle. En baisant cette grosse pine elle présente un cul de plus en plus cambré , il lui écarte, la lèche un peu, elle ne s'inquiète pas elle trouve cela très bon et se trémousse sur sa langue.Il pointe maintenant son gland sur l'orifice de la belle, elle se retourne et veux se retirer, mais c'est sans connaître nos lascars, son frère la maintien fermement, il arrête un instant ses coups, le jeune pousse sa queue qui peine à rentrer malgré la mouille qui coule entre les fesses de la jeune femme, avec un ultime coup de rein ,son gland entre dans le cul de la pauvresse , elle pousse un cri. Je vois la queue qui pénètre ses fesses doucement . Les frères accordent leurs coups de boutoirs, et la jeune nonne se démène comme elle peut en gloussant pour contenir ces deux grosses queues en elle.

Je ne peut décrire le bruit que font les burnes trempées de mouille qui battent contre les fesses de la none et celui du gros zob du supérieur dans la petite chatte dilatée .Ça ne s'arrête pas , elle pousse des cris de plaisir, je pense qu'elle n'a jamais pris de bites comme celles là . Je suis en spectateur, ça me rend fou , ces deux énormes cylindres qui lui rentre entièrement dans les orifices, je me lève,met ma queue dans la bouche de la belle , elle me suce et avale goulûment mon foutre. La fille se cambre elle jouit pour la énième fois, les deux larrons se crispent au fond de leur trou respectif et dans un dernier râle en commun lui remplissent sa petite chatte et son cul de leurs semences épaisses.
Ils se retirent, la petite encore lucide se jette sur la bite de ses deux baiseurs, comme pour pomper les dernières gouttes de foutre, je la regarde nettoyer ces deux queues, elles a les joues gonflées par les gros glands qu'elle ne lâche plus, elle leur malaxe les couilles comme pour en extraire un dernier jus. En faisant son travail lubrique elle me montre sa croupe et son trou du cul encore béant et le foutre qui en coule, je ne peux me retenir,je plonge ma langue dans ses fesses.
Elle prend enfin congé et je l'accompagne jusqu'à la grille qui sépare le couvent du monastère, là je l'enlace par la taille et la tire vers moi pour lui donner un baiser, elle ne me repousse pas , elle m'offre ses lèvres encore brûlantes de désir. Elle fait tinter une cloche , une sœur vient lui ouvrir .
Ma belle se retourne une dernière fois vers moi puis disparaît dans l'allée.
Quel goujat , je ne lui ai pas demandé son prénom , et je me demande comment la revoir, surtout trouver une solution pour entrer dans ce couvent.

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