Ma retraite au monastère 1

Aujourd'hui, je pars me réfugier dans un monastère, pour retrouver une sérénité, et la paix pour mon âme,retrouver le calme absolue, je ne sais pas ce qui m'attend....

Proposée le 27/02/2023 par yaèlll

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie

Voilà mon histoire, Je suis Yaèll, 40 ans, kiné de profession .

J'avais prévu de prendre quelques jours pour faire une retraite dans un monastère pour m'isoler , prendre du recul et faire le point sur ma vie.Mon sac sur l'épaule je choisis de marcher pour rejoindre mon lieu de villégiature, qui se trouve sur le chemin de compostelle.
Après une bonne journée de marche , j'arrive devant le monastère(je précise que les moines qui vivent ici sont des moines trappistes, (donc vœux de silence). Je suis devant une grosse porte en chêne,on se croirait au moyen âge ( au nom de la rose ), je toque, au bout de deux minutes un moine se présente, je lui donne ma réservation , il me fait signe de le suivre, je pénètre dans ce lieu ,un peut inquiet car bien sûr aucun bruit.Je détail l'homme qui me précède, bien grassouillet, vêtu comme il se doit, d'une robe de bure chaussé de sandales.Nous arrivons devant une petite porte, c'est ma cellule sans doute, le moine m'invite à rentrer et me présente sur le lit, le seul habit que je porterai pendant mon séjour, la même robe de bure et c'est tout , car il me fait comprendre de ne rien porter sous ce vêtement, lié sûrement aux vœux de pauvreté.
Il me tend un mot où il est écrit de me tenir prêt dans une heure, en habit de bure, j'en déduis que c'est pour assister à quelque office.Deux moines viennent me chercher, ils sont de forte stature et encapuchonnés, je ne vois pas leurs visages, je les suis un peut intrigué quand même.

Nous entrons dans une salle éclairée par de grands chandeliers, je compte une quinzaine de moines
je ne peux dire à ce moment précis si d'autres pensionnaires comme moi sont dans cette assemblée, vu notre tenue vestimentaire.Tout le monde est debout sauf un moine qui semble être le maître des lieux,il est d'une corpulence bien au dessus de la moyenne, assis dans un fauteuil.Je ne vois pas d'autel, sauf sur le côté, on devine une grande table.Je me tourne vers le moine, au moment précis ou il fait un signe de la tête , deux lascars me prennent fermement par les épaules et me conduisent vers la table, je ne comprend rien à tout cela, quel accueil.
La suite je ne vois rien venir, en un éclair,les deux moines retirent ma bure et je me retrouve les fesses à l'air, ils me transporte et me sangle sur la table, je ne peux plus me débattre, mon sort semble scellé,j'ai un moment de panique,où ai-je mis les pieds.

Le supérieur fait le tour de la table,se place face à moi, me tourne le dos , soulève sa robe de bure ,
et là ,il me présente son cul poilu et imposant, il approche son postérieur près de mon visage, je devine son intention ,je détourne la tête, mais un moine me remet fermement dans la bonne direction.Le moine écarte sa lune et je vois son gros oeillet brunâtre,malgré tout, son odeur de cul est plutôt agréable,c'est pourquoi je me résigne à lui lécher le fion.C'est pour moi une première, je continue mon action, j'y prend un certain plaisir,je lui bouffe le cul avec ardeur et lui de son côté me prend la tête pour que je continue mon investigation dans sa raie, je rentre ma langue au plus profond, je suis enivré par l'odeur de ses grosses burnes qui pendent sous ses fesses, je lui lèche , les gobe une à une dans ma bouche. Dans un mouvement brusque, il se dégage, se retourne , relève encore sa bure,et là il me présente sa queue, il bande à peine et pourtant je vois une bite énorme , au gland violacé d'un gros diamètre , elle fait au bas mot trente centimètres de long. Dans ma tête tout se bouscule,je ne peux pas faire de mouvement de retrait, je me dit qu'en bandant elle va être démesurée,le moment n'est plus à la réflexion, mais le gaillard s'approche de ma bouche et je ne peux l'esquiver, ça va être mon deuxième baptême de la journée, si je puis dire.C'est avec grand peine que j'engloutis ce gros gland qui me gonfle les joues, il commence à bander et cette bite me remplit la bouche, je suce cet engin comme je peux , l'odeur de sa pine m'excite au plus haut point et encore une fois bordel j'éprouve du plaisir.
Je met à contribution toute ma salive pour faire reluire ce gros chibre, il va et vient de plu en plus vite je sent sa queue gonfler,il va décharger c'est sûr , en même temps un moine s'approche de mon cul qu'il écarte sans ménagement et me lèche de sa grosse langue, il l'a tournoie si bien dans mon trou ,que je voudrais crier de plaisir mais j'ai la bouche pleine, je ne lâche pas cette grosse queue, ce qui fait la joie de mon larron. Derrière l'autre s'agrippe à mes fesses et me salive bien le trou du cul,il met deux doigts dedans et commence un va et vient , je dois l'avouer.c'est moi qui imprime le mouvement inconsciemment,et ça me plaît.
Le supérieur quitta ma bouche, on me replace sur la table , avec un coussin sous le ventre pour faire saillir ma croupe,en position de levrette.
Le colosse se met en place derrière moi, sa queue est démesurée, je l'ai tellement bien astiquée, je sens soudain son gros gland à la porte de ma petite rosette, il force un peu mais il ne peut rentrer, il se reprend, pointe de nouveau son engin, et la son gland disparaît dans mon cul,ce qui m'arrache
un cri de surprise cette fois ,je fais ma prière pour que cette grosse queue entre sans me blesser.

Le moine me prend les hanches et commence à me pénétrer doucement, son gros nœud me dilate l'anus et glisse une bonne partie dans mon fondement, il ressort puis d'un han de bûcheron, il m'encule de nouveau presque à moitié . Il me pilonne depuis plusieurs minutes je ne ressent pas de douleur,il n'y a pas de bruit dans la pièce , il n'y a que moi qui commence à gémir,ses coups de boutoirs rentre maintenant sa pine jusqu'à la garde et je sens battre ses grosses couilles sur mes fesses, voilà maintenant que je donne des coups de cul pour venir à la rencontre de cette énorme bite, cela l'excite et je sent grossir encore sa queue dans mon cul.Il me besogne encore et encore, maintenant je gueule mais de plaisir, salaud. Les autres moines se rapprochent comme si ils voulaient l'encourager,un larron se pointe devant moi et me met sa queue dans la bouche, elle est de bonne taille et à ce stade je le suce comme je peux, il éjacule et j'avale sa semence acre. Un deuxième le remplace et me fait bouffer son fion, je le suce aussi, cela n'arrête pas,et l'autre derrière qui me burine les fesses. Les vas et vient de mon enculeur sont de plus en plus rapide il pousse un grognement , se bloque au fond de mon cul, et là je sens la chaleur de son foutre m'envahir le ventre. Enfin, il se retire dans un bruit de succion incroyable, ce qui m'excite encore.
A peine ai-je repris mes esprits, que les moines sont déjà en rang d'oignons derrière moi, je subis les assauts incessant de ces lubriques qui m'enculent tous, je suis lessivé. J'ai le cul remplit de foutre qui coule le long de mes cuisses.

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