Claire se vante. Elle va apprendre qu'elle ferait mieux d'y réfléchir avant de recommencer. Mais une soumise apprends ce genre de leçon au fur et à mesure.....
Proposée le 9/03/2023 par Dominancy540
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme
Ils avaient passés une soirée beaucoup plus calme. Il lui avait laissé son collier autour du cou tout en lui expliquant qu'il était le seul à pouvoir lui enlever. Elle même en avait l'interdiction, avec une seule exception : pour se laver. Mais sinon, tant et aussi longtemps qu'il ne l'enlevait pas, elle devait le porter et se comporter en fonction de ses instructions.
En quittant la chambre, ils étaient allé se doucher séparement. Lui d'abord. Et pendant qu'elle était sous l'eau, elle le vit entrer dans la salle de bain avec des vêtements pour elle. Il était allé choisir ce qu'il voulait qu'elle porte. Une petite robe d'été, courte, à bretelles fines. Et rien d'autre.
Une fois propre et séchée, elle enfila la robe et s'admira dans le miroir. Dans une telle tenue, et nue en dessous, il était hautement probable qu'il lui saute dessus une nouvelle fois ce soir. C'est donc en souriant qu'elle sortit pour le rejoindre dans la cuisine.
Il était occupé à leur faire à manger quand elle entra. Il tourna la tête et son regard quand il la découvrit lui confirma son impression. Elle avait l'impression d'être le petit chaperon rouge devant le grand méchant loup.
« Tu as faim ? »
« Oui » et de plein de choses faillit elle dire. Car même si elle avait été baisée sauvagement, elle avait de nouveau envie. Un peu comme si le simple fait de le voir mettait sa libido en ébullition.
« Installe toi on va manger bientot »
Elle se rendit dans la salle à manger. La table était déjà mise. Elle l'attendit en silence et effectivement il arriva peu après. Là encore, elle ne put manquer son regard qui plongeait dans son décolleté. Cette robe était incendiaire de base mais avec une telle poitrine et sa position en surplomb, elle devenait un véritable appel au viol.
Il la servit et ils mangèrent. Il lui expliqua que quand elle porterait ce collier, il lui choisirait ses vêtements et elle ne devrait rien porter d'autre. Elle acquiesça sans rien dire. Il lui expliqua aussi qu'en son absence, si elle portait le collier, elle avait l'interdiction de se toucher. Elle pouvait vaquer à ses occupations, lire, regarder la télé ce genre de chose. Mais la masturbation lui était interdite.
Là encore, elle ne dit rien. Vu l'activité sexuelle qui semblait l'attendre, la masturbation allait devenir superflue.
Enfin, il lui remit un téléphone portable. Un smartphone neuf accompagné d'un carte SIM et d'un abonnement téléphone+internet. Le téléphone était à elle, elle pouvait s'en servir sauf pour mater du porno. Il avait les codes d'accès et il pourrait vérifier son téléphone à tout moment.
Elle le prit en lui souriant et en lui disant merci. Elle avait l'impression de revenir dans le monde. Mais quand elle y réfléchit, elle se dit qu'elle n'avait personne à appeler. Et aucun numéro à entrer dans le téléphone. Hormis le sien. Et c'était déjà fait comme elle le découvrit plus tard.
Le reste du repas se passa tranquillement bien qu'elle s'amusa quelque peu à l'allumer avec son décolleté. A tel point qu'il lui demanda :
« C'est comme ça que tu t'y prenais en général ? »
« De quoi parles tu ? »
« Tu sais très bien alors réponds à ma question. Et ne fais pas celle qui ne comprends pas »
Elle prit le temps de réfléchir avant de dire « Oui »
« Il faut dire que tu as tout ce qu'il faut pour ça. Tu joues de ça depuis longtemps ? »
« Assez. 4 ans la première fois »
« Et tu te contentais d'allumer ou tu allais au bout ? »
« En général je suçais quand même »
« Tu aimes sucer on dirait... »
« J'adore ça »
« Et combien d'hommes ont succombés ? »
« A mes seins ? »
« Oui. Combien ont finis dans ta bouche après que tu leur ai fait miroiter tes seins ? »
« Une douzaine je pense »
« Et tu le faisais pourquoi ? Pour le plaisir ou pour un avantage, une bonne note ou autre ? »
« Un peu des deux. J'aimais bien allumer les mecs mais il m'arrivait de le faire sur des profs ou dans des magasins voir pour entrer en boite »
« Et combien t'ont dit non ? »
« Aucun ! » dit elle en souriant, certaine qu'elle allait y gouter encore ce soir.
Il voulait bien la croire sur ce point « et à quel point tu aimes sucer ? »
« Je pourrais sucer pendant des heures. J'adore vraiment ça »
« Pendant des heures.... nous verrons ça. En attendant passons dans le salon.
Il se leva, alla s'assoier dans le canapé et immédiatement, il sortit sa queue et écarta ses cuisses. Elle comprit immédiatement ce qu'il attendait d'elle alors elle s'agenouilla entre ses cuisses. Et sans se faire prier, elle commença à le sucer.
Il était bien raide encore. Elle se mit au défi de le faire gicler le plus vite possible. Elle venait de lui faire miroiter qu'elle était une bonne suceuse qui adorait ça alors elle devait être à la hauteur.
Sa langue tournait sur son gland, sa bouche montait et descendait sur sa verge, sa main carressait ses couilles. Elle le regardait souvent dans le fond des yeux. Et à ce rythme, elle sentit son plaisir monter en quelques minutes seulement.
Il la traita de « petite pute » et il vint mettre sa main derrière sa tête. Puis sans chercher à se retenir, il juta dans sa bouche. Encore une grosse quantité de sperme. Elle ne perdit pas de temps et elle l'avala sans attendre ses instructions. Avant de le regarder dans les yeux et d'ouvrir la bouche pour qu'il puisse voir qu'elle avait tout ingurgité.
« Tu as raison, tu es une bonne suceuse. Mais sache pour la prochaine fois que c'est moi qui décide ce que tu fais de mon sperme alors tu n'avales que si je te le demande »
« Bien Monsieur » lui répondit elle avec un grand sourire.
La suite de la soirée se passa calmement et ils allérent se coucher. Chacun dans sa chambre et sans qu'il lui enlève son collier.
Le lendemain fut comme la veille et l'avant veille. Il était partit avant qu'elle ne se lève. Un petit mot lui indiquait qu'il rentrerait pour 18h et la tenue qu'il voulait qu'elle porte à son retour. Une robe fourreau très moulante, avec un petit décolleté et qui descendait jusqu'à quelques centimètres au dessus du genou. Cette robe était dans un tissus plus épais, plus en adéquation avec la saison. Avec ça une paire d'escarpin. Et rien d'autre.
Elle fit passer la journée et à 18 heures, elle était prête. Elle l'attendait dans le salon, à genoux, dans la tenue indiquée. Il arriva à l'heure et la trouva dans le salon.
« Bonjour, la journée a été bonne ? »
« Oui Monsieur. Merci »
« Bien, lève toi. Nous sortons. » Elle fut surprise mais n'en laissa rien montrer. « Où allons nous ? » se demandait elle.
Ils montèrent dans sa voiture et il prit la route. D'un seul coup, sa tenue lui sembla beaucoup moins sage. Surtout avec son collier autour du cou. Heureusement que la nuit était tombée se dit elle.
Ils roulèrent ainsi en silence pendant près de 20 minutes, traversant la foret puis la campagne. Avant d'arriver devant une sorte de petit château. Visiblement, les lieux étaient fréquentés car plusieurs voitures étaient garées devant.
Il se stationna à son tour puis il prit la parole :
« Nous allons dans un endroit spécial. Dans cet endroit, il y a des codes à respecter. La première, tu restes près de moi mais toujours deux pas derrière. C'est compris ? »
« Oui Monsieur »
« Ensuite, les femmes à l'intérieur sont de trois types différents. Celles sans collier choisissent leur partenaire et non l'inverse.Elles n'ont pas de Maitre et elles sont là pour le sexe libre. Celle avec un collier, comme toi, sont avec leur Maitre et rien ne doit se passer sans l'accord du Maitre. Enfin, celle dont une laisse est rattachée au collier sont présentes avec leur Maitre mais sont là pour être donnée en pature à tous les males présents qui voudraient d'elles. Elles doivent tout accepter, de tout le monde. Te concernant, tu gardes ton collier et je n'ai pas pris ta laisse donc je gère tout ce qui se passera cette nuit. Tu n'as qu'à m'obéir, rien d'autre »
« Bien Monsieur. » Elle ne savait pas ce qui l'attendait et ça l'inquiétait. Mais savoir qu'en fait, elle n'avait qu'à lui obéir et lui faire confiance suffit à la rassurer.
Ils sortirent de la voiture et se dirigèrent à l'entrée du château. Une jeune femme peu vêtue les accueillit. Il tendit sa veste pour le vestiaire. Puis il la regarda et dit :
« Ici aucune femelle n'est habillée. Enlève ta robe et tends là la demoiselle. Tu la récupereras en sortant »
Après un instant de surprise, elle obéit et se déshabilla. Elle ne garda que ses escarpins. Elle sentit le regard de l'employée sur elle. Un regard envieux et intéressé. Elle réfléchissait à ça quand il emprunta un couloir. Elle le suivit, deux pas derrière comme prévu.
Ils croisérent quelques personnes dans ce couloir, des hommes au regard concupiscent et d'un certain âge notamment. Au fond du couloir semblait se trouver une grande pièce faiblement éclairée. Elle entendait des rires et également des gémissements de plaisirs. Il y avait l'air d'avoir du monde.
Mais avant d'entrer dans cette pièce, il tourna à droite dans un petit couloir et il entra dans une pièce. Elle le suivit et il ferma la porte. Elle découvrit une petite pièce aux murs peints en noir et éclairée par une applique murale, meublée d'un fauteuil confortable et d'un coussin posé au sol.
Il alla s'assoir dans le fauteuil et la regarda en souriant. Le sourire de celui qui est heureux d'avoir le dernier mot.
« Il est temps de voir si tu disais vrai hier »
« Je ne l'ai pas prouvé ? »
« Tu as prouvé que tu étais une bonne suceuse. Tu m'as dit que tu pourrais sucer pendant des heures. Nous allons voir ça. Agenouille toi. » Il désigna le coussin au sol, au bord d'un mur.
Elle allait attraper le coussin pour le mettre devant lui quand il l'arrêta.
« Non non. Face au mur. Regarde et tu vas comprendre. »
Elle regarda le mur avec attention. Et elle découvrit alors un trou de forme circulaire. À la hauteur de ses hanches ou presque. Et effectivement, elle comprit. Elle s'agenouilla comme demandé et immédiatement une bite passa à travers le trou.
C'était un glory hole. Elle allait sucer des queues. Des queues sans visage. Elle avait vu des vidéos de ce style. Alors, quand elle se retrouva avec cette bite devant le visage, elle tourna la tête vers lui, quetant son approbation.
« Vas y. Tu suceras toutes les bites qui passeront à travers ce trou jusqu'à ce que je te dise d'arrêter. Et vu que tu aimes avaler, tu avaleras tout le jus qui te passera dans la bouche. »
« J'aurais mieux fait de me taire » se dit elle. Mais c'était trop tard. Alors, elle ne perdit pas de temps et elle enfila cette verge dans sa bouche.
Elle la suça sans cacher le plaisir qu'elle prenait à sucer. Et en quelques minutes, elle eut la bouche pleine de sperme. Elle eut à peine le temps d'avaler qu'une autre prenait la place. Elle le regarda et le vit sourire. Elle recommença son office et vida rapidement cette deuxième queue. Puis la troisième, la quatrième et ainsi de suite.
Elle devait approcher la 20eme quand sa machoire commença à lui faire mal. Ainsi que ses genoux malgré le coussin. Ca faisait largement plus d'une heure, peut être deux, qu'elle suçait toutes les bites qui passaient et qu'elle avalait le sperme. Elle commençait à ne plus y trouver de plaisir.
C'était devenu mécanique mais il était hors de question de ne pas aller au bout du défi. Après tout, c'était sa faute. Elle n'avait qu'à pas se vanter. Quelques bites passèrent encore entre ses lèvres et du sperme coula encore jusqu'à son estomac quand il l'arrêta.
« Bien. Franchement, je ne pensais pas que tu tiendrais aussi longtemps. Je suis surpris. Agréablement surpris. On va pouvoir passer à la suite »
« La suite ? » se dit elle....................
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