Vacances inoubliables 3

De retour au mas après le diner, François propose d'aller voir les animations nocturnes qui ont lieux sur la place. Les jeunes refusent d'y aller, il preferent rester au mas, s'ébattre dans l'eau. Sur la place, les festivités, nombreuses, émerveillent les badauds

Proposée le 13/02/2023 par valeriane

Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme

Après une longue promenade dans les rues piétonnières, les quatre vacanciers décident de rentrer, François est fier qu'une femme si belle se pende à son bras, il bombe le torse comme un coq dans une basse cours. Une fois au mas, les trois femmes, toujours en maillots de bains, décident de piquer une tête dans la piscine. François lui allume le barbecue, et s'installe dans la balancelle.

Les trois s'amusent comme des enfants, en s'aspergeant, et se coulant en riant comme des folles. Carole s'épuise vite, elle prend appuie sur ses bras et se hisse sur le bord du bassin. Sous l'effort, sa poitrine se gonfle fortement, ses seins sont moulés étroitement dans le tissu mouillé. Ses mamelons semblent vouloir percer le tissu, devenu trop étroit. François se redresse et regarde la femme ruisselante, qui lui sourit en s'approchant de lui. Le déhanchement félin de Carole le fait soupirer. Rapidement le diner est prêt, après s'être séchées, les nageuses se mettent à table. Le diner se passe comme à l'accoutumé, très bien. À la fin du repas, François propose d'aller voir sur la place les animations de rues. Carole accepte, les deux jeunettes refusent et décident de rester à la maison.

Carole enfile une jupe et un corsage, elle n'a nullement besoin de soutien-gorge, ses seins sont suffisamment fermes. François lui met un short avec un t-shirt. Les deux se rendent sur les lieux des festivités. Cracheur de feu, jongleur, magicien se succèdent, mais tout a une fin, il est 23 heures, il est temps de rentrer. pendant le chemin du retour, François prend par la taille Carole, et lui flatte doucement la hanche, pour terminer sur le haut de la fesse. Carole ne refuse pas cette douce caresse, elle se blottit contre lui. En approchant du mas, ils entendent de rires, des cris, puis plus rien. Le couple arrive, la piscine est éclairée par un gros projecteur, le reste de la petite propriété est dans la pénombre. Carole Et François regardent le lieu éclairé, et voient avec stupeur, les deux filles, tête bêche, se dévorer l'abricot. Les deux parents abasourdis se laissent tomber sur la balancelle, les yeux largement écarquillés, n'en reviennent pas.

Soudain une tête émerge, et dit :

-Ah, vous êtes deja là, !

Puis re-disparait entre les cuisses de sa partenaire, pour reprendre la dégustation du fruit qui ne cesse de suinter abondamment. Les deux parents se regardent, Carole dit en soupirant :

-Tu sait François, lesbienne, ce n'est pas une maladie !

François esquisse un petit sourire et répond :

-Cela te tente de faire comme eux, moi je chaud comme un volcan ?

Carole le regarde en fiançant les sourcils et réplique :

-Devant les enfants, tu n'y penses pas sérieusement !

Elle plaque brusquement sa main sur la bosse du short et dit :

-Mais c'est vrai que cela te fait de l'effet petit cochon !

Sans demander son reste, François glisse rapidement sa main sus la jupe de Carole et atteint l'entrejambe, il se redrese et répond en lui souriant pour lui rendre la pareille :

-Mais toi aussi, tu mouilles petite cochonne !

Carole repousse la main, et serre fortement les cuisses. Elle sourit et dit :

-Passage interdit, on se calme petit coquin !

Carole a toujours sa main sur la bosse, elle fait quelques pressions sur la verge en souriant, soudain, elle sursaute, un cri qui ressemble à une plainte de bête blessée, les deux coquines viennent de jouir simultanément. Elles roulent sur l'herbe et retombent dans la piscine, Sandra s'accroche au bord du bassin, Miriane s'accroche à elle. Elle lui donne de nombreux baisers sur la nuque et sur les épaules, d'une main la coquine lui agace les mamelons. François et Carole regardent les deux jeunes adultes, qui ne cherchent que leurs plaisirs. Sandra, crie :

-Aller à poil les vieux, c'est l'heure du bain de minuit !

François se redresse et ôte son short et son t-shirt, Carole hésite un bon moment avant de faire de même, les deux plongent dans le bain et font quelques brasses.

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Commentaires de l'histoire :

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