Des vacances inoubliables.

Pour récompenser Cloé d'avoir obtenue son bac, son oncle et sa tante l'invitent à passer les vacances chez eux, les trois très fusionnels se rapprochent de plus en plus, ce qui devait arriver arriva.

Proposée le 3/06/2021 par jennifer

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Cloé 18 ans, vient obtenir son bac, fière de sa réussite, elle rentre chez elle, le plus vite possible. Euphorique, elle annonce la bonne nouvelle. Ses parents sautent de joie et la congratulent chaleureusement. La journée devient délirante, le champagne coule à flot. Les grands-parents sont de la fête.


Cloé, annonce par téléphone la bonne nouvelle à son oncle et sa tante. Le couple habite un mas dans le sud de la France. Ils adorent Cloé depuis sa naissance. Le tonton Roger et tante Charlotte, félicitent la petiote (c'est comme cela qu'ils l'appellent depuis sa naissance). Dans la foulée, ils l'invitent à passer les vacances chez eux. Cloé, saute de joie et accepte l'invitation, après avoir reçue l'accord de ses parents.
Il est vrai que Cloé a toujours été très fusionnelle avec sa tante et son oncle. Les retrouvailles vont être un bon moment de complicité.


Le jour convenu, tante Charlotte récupère Cloé à la gare, les embrassades sont interminables, dans le hall de la gare, comme deux excitées. Ils ne cessent de s'embrasser en riant bruyamment. Les voyageurs se retournent sur eux en souriants. Dans la voiture pendant le retour au mas, les deux ne cessent de papoter. Charlotte est aux anges, de temps en temps, elle presse la main de Cloé, qui la regarde en souriant. Enfin ils arrivent à destination.


Le tonton Roger s'affaire autour du barbecue. Soudainement, il laisse tomber ses ustensiles de cuisine et saute dans les bras de sa nièce. Les retrouvailles sont très chaleureuses. Aucune parcelle de peau du visage de Cloé n'est épargnée. Le baiser appuyé qu'il lui donne sur les lèvres, annonce qu'elle est la bien venue.
Charlotte conduit Cloé à sa chambre, pour qu'elle range ses vêtements. Avant de redescendre, les deux femmes prennent une douche rapide et réapparaissent en maillot de bain. Roger, écarquille les yeux et siffle d'admiration et dit en souriant :

- Oh je rêve, je vois deux femmes magnifiques, mes yeux vont s'user sur votre beauté mes chéries !


Les deux femmes tournent sur elle-même comme deux mannequins lors d'un défilé. Roger ravale sa salive, les fesses de Cloé sont sublimes, la fine bande de tissu du maillot, qui lui sépare les deux lobes fessiers, émoustille le voyeur de tonton. Les deux femmes s'étendent sur la pelouse pour profiter du soleil en attendant le repas.
C'est sous L'olivier que Roger dresse la table. Le repas traine en longueur, dans le sud on a le temps. Aux heures les plus chaudes de la journée, le trio fait une petite sieste sous l'ombrage de l'arbre.


Au réveil, les deux femmes se lancent dans la piscine et jouent comme des gamines en riant à tue-tête. Roger se réveille, il est un peu vaseux, il regarde les deux femmes s'ébattre dans l'eau, il rentre chez lui et en ressort vêtu d'un slip de bain. Il plonge rejoindre les deux femmes et s'ébat avec elles.
Après plusieurs minutes de délire, Charlotte épuisée s'accroche au bord du bassin. Elle est rejointe par Cloé qui se plaque contre elle et l'enlace pour ne pas couler. Roger fait quelques brasses et s'approche du duo. Il s'accroche à Cloé, qui serre plus fort sa tante de crainte de boire la tasse.


Le coquin de tonton, se colle contre le fessier de sa nièce et la tient par la taille. Cloé sent sur sa nuque le souffle chaud son oncle, la bouche du tonton, dépose plusieurs baisers sur les épaules de la nièce, qui se met à frissonner. Roger ondule lentement du bassin, son bas-ventre frotte doucement le fessier de Cloé qui se contracte légèrement. Roger tire sur les hanches de Cloé et accentue les ondulations de son bassin. Cloé sent contre ses fesses, l'engin de son oncle qui prend du volume. Elle tourne la tête et dit :

- Oh tonton, je crois que ton slip se déforme !

Elle éclate de rire, passe la main derrière son dos et saisit le mat qui se frotte contre elle. Elle le presse un court instant, puis se laisse couler. Les deux accrochés l'un à l'autre s'enfoncent dans l'eau tiède. Charlotte, en profite pour sortir du bassin. Elle s'assied sur le bord, en laissant tremper ses pieds dans l'eau. Le duo remonte, Roger se détache de sa nièce, qui en profite pour faire comme sa tante. Les deux battent des pieds en riant, pour faire fuir le prédateur.


Roger s'approche des pieds de sa femme et la regarde amoureusement. La coquine lui tend la jambe et lui offre son pied. Roger, sans hésitation lui saisit la cheville et lui lèche longuement le gros orteil. Charlotte ferme les yeux en ronronnant, elle soupire profondément, puis regarde sa nièce et dit :

- Ton oncle me rend folle, donne lui ton pied ma chérie, tu vas comprendre !

Curieuse, Cloé tend la jambe. Roger la regarde et lui gobe l'orteil, il le suce doucement comme un bonbon. Cloé est surprise par cette sensation nouvelle, un frisson parcourt son corps, elle en attrape la chair de poule. Elle ne peut s'empêcher de dire :


- Tonton c'est terrible ça, mon Dieu comme c'est bon !


Elle tourne la tête vers sa tante, qui réplique :

- C'est un amant extraordinaire très inventif, tu ne peux pas savoir comment Cloé !

Roger monte sur le bord à son tour. Les deux femmes s'étendent rêveuses sous l'olivier. Roger lui, s'installe sur un transat en regardant les deux sirènes au corps perlé de gouttelettes d'eau. Charlotte pose sa main sur le ventre plat de Cloé et le caresse en faisant des cercles. Les regards se cherchent, les deux femmes échangent des sourires.
La main monte sur le torse de la jeune adulte, se bloque à la base d'un sein. La tante hésite un court instant puis, ses doigts s'étendent et caressent doucement, le mamelon qui rapidement se raidit dans le soutien-gorge. Cloé ne dit rien, mais soupire, bruyamment. Charlotte s'enhardit, ses doigts s'emparent du sein et le presse comme pour en tester la texture. Cloé ferme les yeux, elle ne sait pas si elle doit céder ou se laisser faire.



Le tonton, qui n'a rien perdu du spectacle, se lève et s'approche du duo. Il s'agenouille à côté de sa nièce et doucement, tire sur le soutien-gorge pour dégager les seins. Les deux lobes mammaires apparaissent comme par magie.
Cloé honteuse, ne veut pas croiser le regard de son oncle, elle tourne la tête vers sa tante. Charlotte lui sourit glisse une main sous Cloé et agilement dégrafe le soutien-gorge. Roger contemple les deux obus, sans rien dire. Sa femme pose sa bouche sur un mamelon et le suce de plus en plus fortement. Le bout se dresse fièrement au centre de l'aréole grenelée. Cloé se cabre la douce succion la fait défaillir.


Roger reprend du service, passe sa main sur l'estomac de sa nièce et la fait glisser dans le maillot. Rapidement l'entre-jambe est atteint. Les doigts s'enfoncent dans la fine toison soyeuse et la triture un court instant. Cloé se raidit en soupirant.
Les visiteurs glissent de nombreuses fois sur la fente, qui commence à s'humidifier, deux d'entre eux s'insèrent dans le sillon que forme les grandes lèvres et s'attardent sur le clitoris. La boule de chair enfle sous le délicat attouchement. La bouche avide de sa tante et les doigts fureteurs de son oncle, la rendent fébrile. Cloé geint de plaisir, elle grogne de plus en plus fort. La tension monte dans son corps.
Soudain elle se cambre, pousse un cri et jouit comme jamais. Les doigts de l'oncle, sont aspergés par l'abondante cyprine qui est expulsée du vagin. La jouisseuse agite férocement son bassin en serrant les dents.


Roger retire sa main du maillot de sa nièce et lèche un à un ses doigts trempés du jus de Cloé. Charlotte se charge de retirer maillot, elle regarde avec intérêt la chatte dégoulinante. Elle écarte les jambes de Cloé, qui ne fait aucune résistance, puis prend place entre ses cuisses. Elle plaque sa bouche sur la fente détrempée et enfonce sa langue dans le conduit brûlant. Elle en fouille chaque recoin, la chatte suinte comme un fruit trop mûr. Charlotte avale tout ce qui s'échappe du volcan. Cloé se cabre brutalement, sa tante vient de lui gober le clitoris et le suce violemment.
Cloé grogne comme une bête prise dans un piège, elle agite sa croupe comme une forcenée, elle gémit fortement. Ses râles ressemblent à des plaintes de bête blessée. La bouche vorace de la tante, ne la ménage pas. Elle lui dévore le fruit sauvagement. Cloé pousse un hurlement et jouit une seconde fois. Sa cyprine gicle dans la bouche de la dévoreuse, qui se régale du nectar au goût suave.



Roger lui est dans tous ses états. Son slip est déformé par une forte érection. Sa queue lui fait mal. Il baisse brusquement son slip, sa queue jaillit et oscille sur son bas-ventre velu. Il la saisit et la caresse pour apaiser la douleur. Les deux femmes regardent en souriant et avec envie l'engin énorme du mâle en érection.
Malgré ses jouissances successives, Cloé n'est pas rassasiée. Sa tante le sait, elle s'écarte et laisse la place à son mari impatient. Le mâle en rut s'agenouille entre les cuisses ouvertes de l'insatiable, frotte sa queue contre la fente humide et pousse doucement. Les grandes lèvres s'écartent, le gland s'engage dans la gaine brûlante de la nièce, qui pousse un long râle pendant toute la pénétration.


Les bourses pleines, entre en contact avec la chatte de Cloé. Elle pousse un couinement de plaisir en se cambrant davantage. Pendant que Roger défonce sa nièce, Charlotte glisse une main sur le ventre de Cloé et saisit le bouton qui est encore gonflé de désir. Elle le frotte énergiquement Cloé se cabre en grinçant des dents. La queue de son oncle, coulisse de plus en plus rapidement en elle.
Cloé est au bord de la syncope, son corps est secoué de tremblements. Le ramonage vigoureux de l'antre en feu par la queue puissante de son tonton, la rend dingue de plaisir. Elle agite férocement son bassin, en gémissant en rugissant comme un fauve.



Cloé s'arc-boute, pousse un hurlement inhumain et jouit affreusement fort. Charlotte qui attendait ce moment, lui écrase le clito pour la faire jouir plus fort; Cloé à le visage defromé par un rictus affreux, un filet de bave s'écoule à la commissure de ses lèvres. Roger s'acharne sur elle, comme un animal sur sa proie. Il se raidit, pousse un grognement et remplit de sa semence épaisse l'antre brûlant de Cloé qui gémit maintenant faiblement.
Le tonton, retire du corps de sa nièce sa queue gluante et l'offre à la bouche vorace de sa femme, la bougresse se jette dessus comme une affamée. Sa langue fait de merveilles sur le gland et la hampe large et épaisse de Roger. Il envoie au fond de la gorge de sa femme une puissante giclée, qu'elle s'empresse d'avaler.

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