Une femme admirable 5

Belle-maman jouit sous mes assauts répétés, elle s'accroche à moi comme un rapace sur sa proie, malgré son manque d'expérience, elle s'agite comme une forcenée à la recherche du plaisir maximum

Proposée le 1/02/2023 par lounabelle

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme

Juliette, étendue sur le lit, halète fortement. Ses yeux sont pleins de larmes, elle semble heureuse. Son ventre est secoué par des effets spasmodiques redoutables. Sa fille Cloé lui caresse doucement le ventre pour tenter d'apaiser les tremblements. Elle me sourit, me fait un signe de tête. Je comprends le signal. Je plaque ma bouche sur le puits gorgé de sperme visqueux, et enfonce ma langue pour en prélever une partie. J'en badigeonne l'anus en tentant vainement de le pénétrer. Mais le coquin récalcitrant m'en refuse l'accès, je sens sous ma langue le muscle rectal frétiller, Juliette est prise de petits tremblements, elle agite son bassin, en poussant des gémissements qu'elle étouffe en se mordant la main.

Je me redresse, et enfonce profondément mon majeur dans son sanctuaire débordant de jus, Belle-maman se cabre, je lui ramone peu de temps le conduit visqueux, puis retire le visiteur, enduit de semence gluante. Je le place contre l'anus et pousse doucement, mon doigt disparait comme aspiré, je fait quelques petits vas et vie très lents, en allons toujours le plus loin possible. Juliette est au bord de la syncope, elle souffle fortement, sa poitrine se lève et s'abaisse de plus en plus rapidement. Je lui ramone avec douceur le canal anal, je fais durer le plaisir. Je tente d'assouplir et de dilater la gaine étroite, mais cette action, fait geindre Juliette comme une bête en rut.

Cloé, ma femme demande à sa maman de replier les jambes sur son ventre, sans chercher à savoir pourquoi, Juliette le fait. Je retire l'intrus et place ma queue que Cloé décalotte grandement contre la rondelle, qui n'a connue aucune bite. Je m'accroche aux hanches de belle-maman et pousse. L'anneau cède et avale lentement le mandrin de chair que je fais progresser dans son rectum étroit. Juliette ne crie pas, mais serre les dents en grimaçant terriblement. Une fois mes couilles contre ses fesses, je cesse de pousser. J'attends, que belle-maman récupère un peu. Elle à la bouche grande ouverte, mais aucun son n'en sort.

Cloé lui frotte rapidement le clitoris pour soulager la douleur anale que ressent sa maman.
Le souffle de Juliette est bruyant, elle dit entre respiration :

-Mon Dieu, mon Dieu, c'est terrible et bon à la fois, je deviens folle, Marc, Marc, oh oui oui !
Je soupçonne en souriant que Belle-maman n'est pas contre la sodomie, au contraire. Je commence un doux ramonage, ma verge qui est naturellement bien épaisse, frotte contre les parois sensibles de la gaine en la dilatant. Juliette ferme les yeux, elle plante ses ongles dans mes flancs en grommelant :

-Oui, oui, Marc, oui !

Cloé est émerveillée, elle m'incite :

-Vas-y mon chéri, démontes là comme tu le fais avec moi, vas-y, vas-y !

Je lâche les chevaux, je la défonce en donnant des coups de reins de plus en plus violents, Juliette est au bord de l'évanouissement, elle se cabre en poussant un cri terrible et jouit en pleurant de bonheur. C'est sa première jouissance anale. Je ne retiens pas mes coups de bélier, je suis en sueur, soudain, je rugis comme un lion et remplis de ma semence les entrailles brulant de Juliette qui pâme en tremblant de plaisir. Je retire ma verge du temple de Sodome. Je regarde ma femme, elle sourit et dit :

-Maman, fais une pipe à Marc, il la mérite bien !

Encore sous la jouissance, Juliette tend la main pour saisir, la colonne pleine de vie, elle l'enserre, la regarde avec ses yeux vitreux. Elle sent battre le sang dans les grosses veines apparentes qui parcourent ma bite. Elle hésite, Cloé lui retire ma bite de la main et lui dit :

-Je vais te montrer maman, regarde bien !

Elle me décalotte le plus possible le gland et le gobe, elle suce et le tète avec amour, puis le recrache en disant :

-À toi maman !

Juliette, très maladroitement, décalotte à son tour mon gland et sous les recommandations de sa fille, donne des coups de langue dessus en faisant plusieurs fois le tour sans omettre de titiller le frein. Quelques perles s'échappent du méat ouvert. Juliette regarde la rosée s'échapper, puis gobe mon gland. La coquine me fait une pipe d'enfer. Bien que novice, la coquine apprend vite. Je suis tendu comme un arc, je serre les dents, mais je ne peux retenir la décharge plus longtemps. Un flot visqueux remplit la bouche de belle-maman qui surprise recrache mon gland. Cloé lui crie :

-Avale, maman avale !

Juliette regarde sa fille et avale par petites gorgées le nectar des dieux. Étrangement j'ai toujours des forces, ma bite ne débande pas. Je dis en souriant : Belle maman :

-C'est le moment de la levrette !

Cloé doit lui expliquer la pose à prendre. Une fois à quatre pattes, Juliette se cambre en m'offrant sa croupe, je place ma queue contre sa chatte dégoulinante et la lui plante violemment dedans. Juliette pousse un grognement, plus je la défonce plus, elle agite sa croupe en gémissant terriblement, la coquine semble adorer cette nouvelle pénétration inédite pour elle. Je ne sais pas où elle va cherche son énergie et, cela m'étonne, je crois bien que c'est elle qui m'épuise. Elle jouit comme une folle en ne retenant plus ses cris. Je parviens une ultime fois de lui remplir le ventre du peu de semence qui me reste dans les couilles.

Nous nous endormons les trois dans le même lit, le matin, Juliette radieuse s'étire, elle sourit, elle place sa jambe sur mon bassin. Cloé lui dit en fronçant les sourcils :

-Mais maman, c'est fini, tu as eu ta dose hier !

Elle répond en souriant :

-Oui, mais je ne me souviens plus de certains trucs, il faut me les remettre en tête !

J'éclate de rire et répond :

-Ce n'est pas dans la tête qu'il faut les mettre, c'est dans la chatte et le cul, belle-maman !



Les deux femmes complices éclatent de rire. Juliette nous embrasse pour nous remercier
de ses moments de bonheur. Nous passons des vacances merveilleuses, je dois assouvir, les désirs de ma femme et aussi ceux de Belle-maman, qui prend gout au sexe, je crois même que c'est une chaude du cul.

Le seul regret que j'ai, c'est qu'elles n'ont jamais fait l'amour ensemble, mais je ne désespère pas.

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