Juliette, c'est marié très jeune avec Paul, ils se sont connus sur les bancs de l'école, lui très possessif, et jaloux la séquestre presque, elle est timide et soumise, lui obéi au doigt et à l'œil, ils n'ont pas d'amis et evitent la famille
Proposée le 30/01/2023 par lounabelle
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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
Paul et Juliette se sont connus sur les bancs de l'école, ils se sont mariés très jeunes. Lui jaloux et très possessif, la séquestre presque, ils n'ont pas d'amis et évitent même la famille. Elle est très timide et soumise, elle lui obéissait au doigt et à l'œil. Question sexe, Paul est un soudard, qui ne pense qu'à son plaisir personnel, sans se soucier de ceux de sa femme. Il la prend toujours à là papa sans préliminaires, sans fioritures, elle ne jouit que rarement sous les étreintes rapides de son mari égoïste. Comme Juliette ignore les raffinements du plaisir sexuel, elle se contente de ce qu'elle a.
De leur union est née une petite Cloé, qui par la suite, j'ai épousé. Ils nous rendaient que très peu visite, car le bougon de Paul, voulait voir personne. Juliette en souffrait, cas secrètement, elle en parlait à sa fille. Malheureusement, les aléas de la vie font que Paul meurt d'une mort violente. Juliette se retrouve veuve à 55 ans. Maintenant, par-contre, elle, nous rend visite très souvent, et cela nous fait plaisir. Peu à peu Juliette reprend goût à la vie, cette femme que j'estime énormément, revit, et devient plus souriante à notre contacte. Nous sortons fréquemment ensemble, faire les courses, cinéma et autres loisirs. Juliette ne nous quitte plus ce qui fait la joie de sa fille qui depuis la mort de son papa est devenue extrêmement fusionnelle avec sa maman.
Juliette s'épanouit de plus en plus. Cloé est heureuse de voir sa maman pleine de bonheur. Les vacances approchent, nous décidons ma femme et moi de louer un petit mas en Provence pour un mois de farniente. Je demande à Juliette de nous accompagner. Cloé saute de joie, elle me félicite, de ma délicate attention, en me donnant de nombreux baisers devant sa maman qui rougit fortement. Juliette, un peu gênée, accepte de se joindre à nous. Le jour du départ arrive enfin, la route fut longue, heureusement entre-coupées de haltes. Enfin, nous voilà, le loueur nous attendait, nous faisons un rapide état de lieux. Nous laissant à Juliette le choix de sa chambre. Une fois les affaires rangées. Je commence à préparer le barbecue. Pendant que les femmes se mettent en maillot de bain pour faire une petite trempette. Elles redescendent, je reste scotché sur les formes admirables de ma belle-mère. C'est la première fois que je vois entièrement ses longues jambes, je suis surpris par la générosité de sa poitrine qui déborde des bonnets, Cloé aussi est ravissante dans sa tenue presque mini. Je ne peux, m'empêcher de siffler d'admiration en regardant ces deux merveilleuses femmes et je dis en riant :
-Ouah les canons, oh, il faut que je vous surveille, car dans le village doit y avoir un grand nombre de dragueurs !
Cloé hausse les épaules, Juliette rosit un peu. Pendant que je retourne les grillades, les femmes s'ébattent dans l'eau, elle jouent comme des enfants, elles rirent, s'aspergent et font quelques timides tentatives de noyade, c'est l'euphorie. C'est épuisé, qu'elles sorte de l'eau pour s'étendre dans la pelouse fraichement tondue sur une serviette de bain. Mes yeux ne peuvent se détacher du corps de Juliette qui commence à me perturber profondément. De temps en temps, elle me regarde timidement, sans trop lever la tête. Soudain, Cloé saute sur sa maman, les deux joueuses roulent sur l'herbe tendre, dans la petite lutte amicale, malencontreusement, un sein de Juliette s'échappe du bonnet. Elle tente de remettre en place le fuyard. Ses yeux se posent sur moi, elle est rouge comme une pivoine. Moi, je lui lance pour faire de l'esprit :
-Alors belle-mère, on fait du sein nu !
Très gênée, elle s'enroule dans la serviette et n'en sort qu'un long moment après. Cela fait rire sa fille qui lui dit :
-Maman, je ne te savais pas si coincée, détends-toi, Marc sait ce que ce sont des seins, tu sais !
Juliette ravale sa salive, en regardant sa fille qui s'approche d'elle, Cloé lui donne un gros baiser sur le front. Il est temps de manger. Les deux femmes dressent la table sous un olivier, pendant que je serre l'apéro. Juliette s'assied face à moi, elle reprend des couleurs, sa timidité maladive est un handicap parfois pour elle. Durant les repas, je lance des blagues qui les font se tordre de rire, Juliette n'en peut plus, elle rit aux larmes. Elle doit se rendre à toilette en urgence. Lorsqu'elle se lève et passe devant moi, en balançant naturellement son fessier, je pousse un gros soupir et dit, sans qu'elle l'entende :
-Oh putain, quel beau cul !
Cloé le confirme. Juliette revient, elle nous regarde et demande :
-Vous parliez de moi ?
Moi, comme un hypocrite, je réponds :
-Oh que non-belle-maman !
Cloé réplique :
-Si, maman, il a dit que tu avais un beau cul !
Là, c'est moi qui rougis honteusement. Et je dis :
-Oui, c'est vrai, je l'ai dit et je le pense sincèrement.
Juliette s'assoit rapidement pour cacher son fessier que je trouve magnifique. Elle me fusille du regard. Elle me trouble tellement que j'en reste sans voix.
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