Une femme admirable 4

Maintenant, il est temps d'initier belle-maman, pendant que Cloé aide sa maman pour faire ses ablutions, je prends la douche la plus rapide de ma vie, et monte dans la chambre, prêts pour l'ébat .

Proposée le 1/02/2023 par lounabelle

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme

Cloé dit en regardant sa maman :

-Maman, je te conseille de boire un bon cognac pour te mettre en confiance !

Juliette anxieuse lui répond :

-Tu veux vraiment que je couche avec ton mari ?

Cloé, un peu agacée, réplique :

-Mais oui maman, c'est pour ton bien crois-moi, mais tu as du mal à comprendre tout de même !

Juliette se résigne enfin :

Bon amène le cognac, si cela peut m'aider !

Belle -maman avale deux verres cul sec en faisant une grimace atroce, elle qui ne boit jamais, là, elle est servie. Cloé entraine sa maman pour l'aider à faire les ablutions nécessaires, pour qu'il n'y arrive pas de dégâts pendant l'acte. Moi, je fonce dans la salle de bain et prends la douche la plus rapide de ma vie, puis rejoins la chambre en attendant patiemment. Je stresse un peu, l'angoisse qui me tenaille, c'est la panne, et de ne pas être à la hauteur de la tâche qui m'attend. Je me rassure, en stimulant digitale ment en douceur ma verge, qui rapidement devient opérationnelle, je pousse un ouf de soulagement. En la caressant longuement.

La porte s'ouvre, les deux femmes entrent, Cloé est souriante, Juliette entièrement nue l'est moins. Nous nous regardons, elle fixe mon engin dressé que je tiens en main, c'est seulement la deuxième bite qu'elle voit de sa vie. Par contre, moi, je suis fasciné par sa beauté, j'admire avec un pincement au cœur ce corps magnifique, qui se balance en s'approchant du lit. Cloé lui demande de s'étendre sur le lit, ce n'est pas rassuré qu'elle le fait. Je me mets à genoux à côté d'elle, nos regards ne se quittent pas. Enfin, je pose mes mains un peu moites sur le corps que je convoite. Je sens Juliette frémir fortement, elle ferme les yeux, sûrement honteuse.

Je caresse longuement son torse et son ventre en faisant de petits cercles avec mes mains. Son corps frissonne, les petits tremblements sont visibles. Je caresse ses seins avec douceur, je roule entre mes doigts ses mamelons sensibles qui se dressent au centre des aréoles brunes. Je pose ma bouche dessus et les aspire doucement l'un après l'autre, Juliette comme à geindre doucement, elle a toujours les yeux fermés, sa respiration s'accélère. Mes lèvres progressent sur sa peau qui dégage une odeur agréable, les grains sont fins et très lisses. La descente continue, ma langue tourne sur son nombril, le fouille. Juliette pousse un gémissement qui fait sourire sa fille.

Plus ma bouche s'approche de trésor qui se cache entre ses jambes, belle-maman ouvre mécaniquement les cuisses. Je me redresse, je regarde la vulve entourée d'une fine toison soyeuse. Je pose mon majeur sur la fente et la caresse avec délicatesse. Je trouve le clitoris et appuie légèrement dessus plusieurs fois. Juliette pousse de longs soupirs, la tension progresse dans son corps fébrile. Lorsque j'enfonce lentement, mais profondément mon majeur dans le conduit humide, belle-maman se cabre comme un cheval. Un deuxième doigt, l'a fait défaillir. Le petit va-et vient que je fais sans brusquerie, la fait gémir de plaisir. Je fais faire à mes doigts des demi-rotations, tout en ramonant délicatement le conduit, qui devient un petit ru de compagne, Juliette ondule du bassin en grognant. Soudain, elle pousse un long râle et jouit.

Le visage de Cloé s'illumine de bonheur en voyant sa maman prendre enfin un vrai plaisir. Je retire les intrus, Juliette semble frustrée de ce retrait. J'observe la fente légèrement ouverte, laisser échapper un liquide transparent que je hume avec force avant de plaquer ma bouche sur le fruit juteux. Juliette se tend comme un arc, ma langue s'enfonce dans le puits intarissable et le fouille profondément. J'alterne le suçage du clito avec les enfoncements vigoureux de ma langue dans le conduit brulant. Juliette s'agite, ses gémissements sont très, très bruyants, sa bouche est entre ouverte, ses yeux mi-clos, elle semble en transe. Elle se cambre fortement et explose encore une fois. Je prends place entre ses cuisses, c'est Cloé qui dirige ma queue tendue vers la fente ruisselante de sa maman, qui est secouée, par des nombreux frissons incontrôlables.


Je pousse doucement, pendant la lente pénétration, Juliette pousse gémissement interminable. Elle s'accroche à moi comme un rapace sur sa proie, une fois ma queue en contacte avec sa vulve, je commence un très doux va-et-vient. Juliette me serre très fort entre ses bras en répétant :

-Marc, Marc, Marc, oui, oui !

Cloé est aux anges, elle regarde, émerveillée, sa maman enfin devenir une vraie femme. J'augmente la cadence, les gémissements de Juliette prennent une belle tonalité, elle agite son bassin en grognant comme une bête blessée. La tension est trop forte, elle s'arc boute et jouit puissamment, comme sûrement, elle ne l'a jamais fait avant. Je continue de la pilonner, je serre les dents, soudain, je pousse un rugissement et envoie une puissante giclée, suivi d'une seconde dans le vagin brulant de Juliette, qui sous la chaleur de la semence jouit une nouvelle fois. Je donne encore quelques coups de reins avant de me retirer du temple de l'amour

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