Histoire Erotique

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L'invitation : Chapitre 3 (fin)

Récit de cette fin de semaines de vacances. Au lendemain des folles 48 heures passées avec nos invités, l'ambiance retombe, l'attitude de Juliette très ambiguë vis à vis de Coline agace cette dernière...

Proposée le 1/01/2023 par Ivannormal

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie


Le lendemain, nous nous réveillons naturellement, et prenions le petit déjeuner ensemble. Le vrai changement résidait dans l’attitude de Juliette, très souriante et avenante. Coline me regardait, et se réjouissait pour son amie. Axel, lui toujours joviale, imperturbable et semblant très amoureux de sa petite amie dont l’inclinaison pour les femmes ne le chagrinait pas plus que ça.

Je lui ai demandé dans la matinée en aparté ce que ça lui faisait, il m’a répondu : « Je préfère participer mais des fois c’est comme ça. Juliette ça lui fout le trac, j’allais pas insister, et j’étais pas trop malheureux ».

En effet, il avait eu sa « dose » avec Coline, et je ne pouvais m’empêcher de l’envier bêtement, j’allais l’avoir pour moi jusque la fin du séjour. Nous les raccompagnions puis rentrions à la maison pour le déjeuner.

J’avais envie que Juliette nous raconte mais rien n’y pu, elle ne nous en parlera jamais. Mais elle était bien plus détendue et bien moins irritée par ma présence. Juliette est une belle femme et j’étais ravi de la voir sous ce jour, plus heureuse.

Coline avait de grands projets : « On va faire le tour des campings, des bars et des boîtes de nuits… ah non pas les boîtes de nuits… et on va ramasser tout ce qu’on pourra qui sera baisable et s’envoyer en l’air ». Mais la météo en fera autrement et d’ici la fin des vacances, nous aurons que du temps pourri que nous allions passer quasi cloitrés.

Il y avait une sorte de nostalgie qui régnait en cette fin d’après-midi. Vers 18h, je répondais aux avances de Coline sans discrétion aucune et nous nous échappions pour aller « tirer un coup ». Juliette restait seule mais sans nécessairement ronger son frein. Elle était même assez contente d’être avec nous et s’amusait à nous voir flirté Coline et moi comme un jeune couple.

Coline et moi nous sommes caresser un long moment avant de sentir qu’il était temps pour moi de la pénétrer. Ce fût lent et discret, en missionnaire, je sentais que me coups de reins allaient profondément en elle et je sentais comme un soulagement à chaque pénétration pour elle. De mon côté, j’affectionnais le contact de son corps, de ses seins, contact sans main, les torses, les bouches et le jambes nous suffisaient. Ou bien ses mains à elle, oui, étaient sur moi mais les miennes maintenaient simplement mon corps sur le lit au dessus du sien. Plus je la baisais et plus elle me plaisait.

Coline baise en souriant, et la perte de son sourire annonce généralement l’arrivée d’un orgasme. Elle a mis ses mains sous moi, sur elle, son clitoris, s’étirant vers le mur, et le coup est parti : un cri de soulagement, que Juliette à du entendre, à faire trembler les murs a échappé à Coline puis elle a sourit à nouveau, puis m’a embrassée en disant « Putain c’est bon » puis j’ai accéléré, elle me soufflait « vas-y » et j’ai encore accéléré, puis je me suis redressé, j’ai baisé si fort et si profondément que je la voyais partir dans un second orgasme, le mien est arrivé au même moment… Je suis sorti de sa chatte, elle s’est masturbée pour jouir une nouvelle fois et mon corps à rendu sur sa chair le jus nacré.

Chaque fois que je la baise c’est délicieux. Chaque caresse avec elle était exquise. Chaque sourire qu’elle donne crée chez moi l’envie de la prendre immédiatement…

La soirée se passe et Juliette ne dira rien. J’allais dormir avec Coline, nous n’avons rien fait ce soir là. Nous avons attendu le lendemain. Après le petit déjeuner que nous prenions tous les trois, Coline eu une envie. La scène de la veille était sur le point de se reproduire, Juliette restait seule attablée et nous nous éclipsions sans discrétion. Coline lâcha pour rire « Bon ben on va baiser ! ».

Elle avait envie de me sentir derrière elle, allongés sur le côté. Je profitais de la rondeur de ses fesses et de ses seins dans ma main. Le coït certes routinier nous satisfaisait tous les deux puis la porte s’ouvrit doucement, Juliette apparût dans la chambre et s’asseyait sur le bord du lit. Coline eut un réflexe curieux de nous couvrir tous les deux d’un drap, j’arrêtait mon mouvement sans sortir, je n’en avais aucune envie.

- Juju il se passe quoi là ?

Juliette ne comprenait pas sa réaction et j’avoue que moi non plus, après la soirée de mardi… Elle ne se défendît pas.

- Continuez faites comme si j’étais pas là.

Je poursuivi ma pénétration mais Coline interrompît encore.

- Non mais non, je suis désolé t’es chelou là.

Je pris la décision de la serrer contre moi et de finir de la baiser bien qu’elle fût gênée. Elle se laissa finalement aller mais sans arriver à l’orgasme. Pendant que je la pénétrais lentement je découvrais lentement nos corps pour Juliette nous voit. j’étais personnellement excité de sa présence. Elle voulait voir donc je voulais lui montrer. J’ai fini par jouir dans sa chatte, Coline était les yeux fermés cherchant son plaisir. Pendant que j’éjaculais à l’intérieur de son sexe, je fixais du regard Juliette qui était obnubilée par nos corps entremêlés. J’ai joui longuement et mon orgasme était intense.

Coline agacée me dit : « C’est bon t’as fini ? Allez je vous laisse, je vais prendre une douche ». Puis elle sorti de la chambre.

J’étais allongé sur le lit, la queue encore raide et gonflé, et essoufflée, Juliette me regardait. J’étais nu, elle habillée, je venais de baiser sa pote. Je ne savais pas quoi faire mais je l’aurai baisé si c’était son désir. Mais elle aussi sorti finalement de la pièce.

Il restait 48h et la cohabitation battait de l’aile…

Désormais ma chambre restait inoccupée. Je dormais avec Coline, nous étions un couple pour le temps qu’il restait à séjourner dans cette maison. Ce soir avant de dormir et avant de s’adonner à un dernier acte impliquant sexe et orgasme, nous avons cette conversation Coline et moi, portant sur l’humeur de Juliette.

- Sérieux demain soir faut qu’on sorte et qu’on lui trouve quelqu’un pour la nuit, j’en peux plus de la voir comme ça…

Je voyais Coline sous un jour nouveau, irritée par la cohabitation, l’attitude globale de Juliette mais surtout par l’insistance de cette dernière à vouloir partager un moment d’intimité avec son amie Coline. J’avoue que si un ami homme se comportait comme ça, je serais sans doute, au moins, disons… déstabilisé.

Je relativisais :

- Elle vient de rompre, elle se découvre une sexualité… changeante, faut la comprendre aussi.
- Ah ça te plaît ça, que ma copine nous mâte ?

Coline était en colère, une colère gentille (c’est difficile à imaginer, faudrait que vous la rencontriez) mais en colère quand même.

- Bien sûr que ça me plaît…

Coline me regarde visiblement incrédule… Je continue sur ce mots :

- Enfin Coline, j’ai baisé Carole devant vous, je t’ai regardé avec Axel deux fois, dont une où tu étais le nez entre mes jambes, on s’est dit qu’on ne se refusait rien, qu’on s’enverrait en l’air avec qui on voulait. Je ne comprend pas ta pudeur… si ce n’est que tu ne t’imagines pas avec une femme au lit…
- C’est pas ça, c’est elle. Imagine ton meilleur pote que tu connais de longue date qui d’un seul coup te fait des avances…

Touché… D’un point de vue extérieur et masculin qui plus est, c’est évidemment inspirant, excitant… mais de son point de vue c’est… plus qu’intrusif.

Avant de dormir, nous nous sommes masturbés mutuellement, jeu érotique que j’affectionne particulièrement. D’autant plus épicé que je dû contrôler mon éjaculation afin de jouir en même temps qu’elle, contrariée comme elle était, son orgasme à mis du temps à venir. La sentant sous mes doigts, je me disais « j’adore sa chatte »…

Le lendemain, le temps était encore plus dégradé que la veille et le froid nous gagnait en même temps que l’humidité. L’idée était lancée de rentrer plus tôt, le jour même donc. Mais j’avais un billet de train réservé, il fallait supporter encore un peu cette situation tendue. Je décidais de parler à Juliette. Coline me dit que je pouvais toujours essayer.

Juliette est une petite blondinette. C’est le terme qui la définit le mieux. Il évoque son aspect juvénile, bien que du même âge que Coline, sa couleur de cheveux bien sûr mais aussi l’aspect « petit » de son corps en opposition au côté plantureux qu’on prête au fantasme de la femme blonde. Je trouve aussi que blondinette évoque le charme de ce genre de femme, fine et discrète, ce n’est pas pour me déplaire. Son attitude changeante vis à vis de moi ou du reste du monde impactait aussi son pouvoir de séduction.

Me concernant elle était adorable les six premières heures et dés qu’elle eu compris que Coline et moi allions passer la semaine ensemble, elle se mît à me haïr… bon j’exagère pour les besoins de la narration. Disons que je la dérangeais. Puis l’épisode « Carole et Axel » changea la donne.

Je voulais comprendre un peu mieux son « problème » résumé si naïvement par Coline. J’entrais dans sa chambre ou elle lisait paisiblement sur son lit. C’est une fille qui aime s’habiller en rose, ce qui n’arrange rien… Je voyais bien qu’il n’y avais pas d’animosité, je choisi pour l’aborder le chemin de la douceur.

- Excuse-moi de te déranger, je peux entrer ?
- Oui bien sûr
- Je voulais m’excuser…
- Pourquoi ?
- Pour être venu et avoir accaparé Coline…

Elle était clairement interloquée et ne s’attendait pas à cela, j’étais fier de moi. Je poursuivais :

- C’est vrai, j’arrive et je te la prend, clairement quand tu prévois de passer du temps entre potes, c’est pas cool.
- C’est pas de ta faute, elle est aussi chiante pour ça, mais je la connais, en fait elle pense qu’à ça, et si t’es pas dans son délire, c’est compliqué…

Je me reconnaissais dans ce portrait et j’imaginais ce qu’avait pu vivre certains de mes amis que j’avais délaissé si souvent, en vacances ou en soirée pour assouvir mon besoin maladif de sexe, cette fuite vers l’avant, infinie, insatiable…

- Mais tu aimerais rentrer dans son délire ? hasardais-je.
- Je sais pas… je crois que j’essaie pour pas qu’on finisse par plus se voir…

Juliette courbe le dos, les épaules en avant, sa stature montre son manque de confiance. Juliette ne cherche pas à séduire, elle n’y arrive pas, elle n’a pas l’aura social de Coline. Je les crois toutes les deux assez incompatible. Pourtant elles sont fidèles en amitié, j’ai l’impression même fusionnelle. J’ai vécu quelque chose qui ressemblait à ça…

- Tu sais Juju, j’avais deux copines à une époque, l’une me plaisait, et je plaisais à l’autre, elles ont finis par se brouiller, je ne sais pas si c’était à cause de ça mais…
- Ivan, pardon mais tu n’est pas le centre du monde. Je viens de rompre avec mon ex parce que je l’ai trompé avec sa meilleure amie lesbienne… Tu vois c’est pas la grande joie et tu n’y es pour rien, Coline non plus d’ailleurs. J’aimerai juste avoir…comme vous… cette… désinvolture…
- Ok… désolé. Mais tu… tu aimes aussi les hommes…

Juliette commence à s’agacer. Je me sens con, j’arrive pas à lui parler en fait. Alors quitte à tout foirer…

- Si tu veux… on peut coucher ensemble ? Toi et moi je veux dire sans Coline…

Juliette dans un soupir blasé s’effondre sur le lit, allongée…

- Non mais t’es sérieux là ? me répond-elle
- Ben oui, tu es bien venue chercher quelque chose hier non ? Tu voulais juste voir ?
- Je… écoute oublis steuplé…

Je prenais mon air le plus sérieux et le ton le plus sévère, j’en avais marre de son attitude et surtout de passer pour le bourrin, j’étais à peu près sûr de mon coup. Je me retournais pour la regarder dans les yeux, assis aux côté de son corps étendu.

- Bon on va arrêter de se mentir. Je t’ai vu l’autre soir, tu as passé la nuit avec Carole, je suis à peu près sûr que tu as laissé Axel te baiser, tu es venu dans notre chambre hier soir pour mater… moi je pense que tu voulais plus et que c’était pas juste pour Coline. Au lieu de me faire des attitudes d’adolescente, sois honnête et dis-moi ce que tu veux ?

Mes paroles ont largement dépassé ce que j’avais initialement en tête, si bien que partant confiant avant de prendre mes airs sévères, j’étais, une fois ma tirade terminée, certain qu’elle me mettrait dehors.

- En fait t’es venu pour me demander de coucher avec toi ? me dit-elle.

Elle ne niait pas pour Axel, je me disais "Axel, petit salaud, il les aura baisé toutes les trois".

- Moi je dis ça pour te rendre service.

Elle rit, me poussa en lâchant un « t’es con » puis empoigna le t-shirt que je portais… Nous restions un moment à nous regarder dans les yeux. Je posais ma main sur sa cuisse… Elle écarta doucement… D’accord… Je n’étais pas sûr de vouloir ça vraiment… je pensais plutôt agir comme détonateur ou encore mieux, désamorceur d’une crise entre amie. Je me posais la question de l’impact qu’aurait une telle situation entre Coline et moi. Il y a encore trois jours, je n’aurais pas pensé que ça puisse faire du mal à Coline mais là, j’en étais moins sûr… Je regardais son jean moulant rose et son débardeur rose que je trouvais ridicule, j’avais deux choix : laisser l’image ridiculement girly qu’elle veut donner m’envahir pour m’éviter l’érection ou alors la déshabiller pour la rendre femme… Dans ma tête : Coline…

Comme une mise à l’épreuve de notre amitié, je sentis qu’il fallait que je tranche de manière nette. Je posais mes deux mains sur ces hanches, effleurait la peau de son ventre… Je voyais bien qu’elle même ne savait pas encore où ça allait malgré les évidences. L’instant où je saisie de mes doigts le bouton de son pantalon et le zip de sa braguette évacua le doute dans notre esprit. Elle saisit son pantalon pour s’en défaire agitant ses jambes, elle avait une culotte rose (c’est pas possible)… Je saisi son visage et l’embrassait à pleine bouche, elle glissait ses mains sous mon t-shirt que je retirais immédiatement… Elle embrassait mon torse et moi les cheveux. Elle avait d’épais cheveux blond lisse et mi-long qu’elle attachait en une courte queue de cheval, puis elle remontait jusqu’à mon coup. Je saisi son cul, son jolie petit cul rose… J’éclatais de rire… Elle se redressa pour me regarder ne comprenant pas : « Qu’est-ce qu’il y a ? ». Je répondis « rien » et je me redressais, la retournais face contre le lit et enlevais rapidement cette culotte. Je l’entendis gémir pour la première fois…

Je plongeais mon visage entre ses fesses, les écartant de mes mains et balayant la zone de son intimité de ma langue, de ma salive et de mes baisers. Je l’entendais gémir de plus en plus fort et je savourais d’avoir enfin accès à l’odeur et au goût de son sexe, bien plus intense que l’apparat rose qu’elle laisse transparaitre… Puis je me redressais, j’enlevais mon pantalon, mon boxer et je la regardais qui ne bougeait pas ou peu, effectuant des mouvements de bassins, des mouvements d’excitation. L’état humide dans lequel j’avais laissé son sexe et son anus luisait sous mes yeux désormais remplis d’envie, une véritable faim de sexe. Je me positionnais, moi et ma queue pour la pénétrer de cette façon, elle face au lit et son cul serré qui me pétrirait la bite. Je posais mon gland sur sa chatte et regardais ma verge la pénétrer doucement et elle je l’écoutais soupirer…

Je me suis allongé sur elle, mon corps la couvrant largement étant donné la différence de gabarit, et je l’ai baisé… fort et sans retenu… Il était je pense impossible que Coline ne comprenne pas ce qui se passe. Et en mon fort intérieur j’espérais qu’elle nous rejoigne, mais sa position était clairement établie depuis la veille et elle n’arriva jamais. Je pensais pourtant fort à elle et je sentais que Juliette en tirait partie en terme de plaisir. Je la sentis bouger, je me retirais, j’avais vu juste elle voulais changer de position. La voilà sur le dos à écarter les cuisses, elle avait toujours son débardeur mais son corps ainsi offert, le rose ne me gênait plus. Elle avait de jolis petits seins ronds, j’en prenais un dans ma main, je guidais mon sexe de l’autre et la baisais encore. Je regardais sa chatte blonde, son fin duvet, sa vulve gonflée et écartée à sa base pour m’accueillir. Elle laissait ses bras sur le lit, son sein pétri sous ma poigne, son corps soumis à mes envies. Elle gémissait à chaque coup de rein, d’une voix suave, cassée, chaude… Puis ses yeux s’ouvraient puis elle me regarda, souri… Elle enleva son débardeur, alors que je maintenais mes vas et viens, et enfin je la découvrais nue. Puis elle se redressa, sur ces coudes, et me regarda d’un air de séductrice que je ne connaissais pas chez elle, puis elle mis sa main autour de mon sexe pénétrant et le retira pour le branler…

- T’aimerais savoir pas vrai ?
- Quoi ? répondis-je
- Axel… ce qu’il m’a fait… tu aimerais bien le savoir hein ?

Je répondais en dressant ma bite, j’avais juste l’impression d’avoir une érection sur mon érection… Je ne croyais pas que Juliette pouvais inspirer autant de tension sexuelle. Oui je voulais savoir et elle me masturbais en se masturbant puis elle mis la main qu’elle avait sur sa chatte à la bouche pour la badigeonner de salive et me l’étaler sur la queue ce qui me fît frémir, elle réitéra de l’autre la manœuvre mais posa cette fois ces doigts trempés entres ses jambes jusque sur son anus, enfin elle posa mon gland gonflé sur son anus. Ses genoux presque sous ses épaules, elle me regardait, se masturbait… J’appuyais doucement et je sentais le bout de mon gland écarter le petit anneau sans franche difficulté… elle se mise à crier franchement « Ohhhh Ouiiii putain… vas-y ! ». J’étais dur et j’avais envie de jouir, mais envie de jouer aussi…

- Il t’a fait quoi Axel ? alors que j’arrêtais ma pénétration.

Juliette secoua la tête en souriant…

- Il m’a prise… comme toi…

J’enfonçais un peu plus, et un peu plus elle s’approchais de sa jouissance…

- Dis-le… Je bloquais à nouveau mais Juliette se branlais si fort que l’orgasme était en train de venir…

Je craquais et m’enfonçais en elle pour l’amener jusqu’à l’orgasme, moi je savourais la sodomie à laquelle elle me priais de lui soumettre et au bout de deux lentes et profondes pénétrations anales, elle enfouis sa tête dans les couvertures, derrière elle en tordant son corps et balayant les jambes sur mon torse pour jouir dans un cri rentré… Elle ne le dira jamais…

Quand elle repris ses esprits, elle étais en sueur, et moi j’avais encore un bout de mon sexe en elle : mon gland… J’attendais, je ne savais pas trop comment je voulais jouir mais c’était mon tour et j’en avais envie.

Elle retira mon sexe de son anus pour le branler en se touchant les seins… quelle image… elle se retourna à quatre pattes puis posa à nouveau ma queue sur son cul. Tenant ma verge, elle recula et mon gland pénétra à nouveau son anus puis se mis à me masturber la partie encore visible de mon sexe pénétrant…

- Tu veux me jouir dans le cul ?

Je saisi mon sexe accompagnait son geste, elle me senti excité, elle mouvait lentement ses fesses et finalement nous lâchions tout deux ma verge et je la sodomisais profondément… Cette fois ses cris furent audibles et clair « Vas-y ouiiii encore ! » Et maintenant son cul dans mes mains, je m’emmenais jusqu’à l’éjaculation, qui arriva dans une contraction qui me remontais jusqu’en haut du dos. Je laissais mon gland juste en elle et me masturbais comme initié par ses soins. Je me sentis gicler en elle dans un frisson parcourant mon corps et en même temps que mon sperme, j’expulsais un cri de plaisir rauque et animal. Elle explosait en « aaaaahhhhh ouiiiii c’est booonnnnn vas-y jouis » dans un registre aigüe…

Je sortais de son orifice et mon sperme coula à ma sortie, trainée blanchâtre parcourant les contours rougis de son sexe. Je me penchais sur elle pour lui offrir un baiser dans le cou. Elle s’effondra avec moi dans le lit, je la prenais contre moi dos contre mon torse et elle savourait le frisson de la tendresse avec laquelle je l’étreignais, son sein dans ma paume était dressé, son têton durci et je bandais encore. Je n’ai pas cherché à savoir si elle était partante, je me suis enfoncé à sa grande surprise dans sa chatte et j’ai entamé de nouveaux vas et viens. Doux et profond, elle respirait fort, cette fois nos corps fusionnait. Puis j’ai sentis une présence. La porte de la chambre derrière moi, je ne pouvais rien voir. Mais je la sentais. Puis je sortais mon glaive et me branlais sur le flan de sa fesse, pour me répendre une nouvelle fois mais aux yeux du monde en de larges trainées laiteuse, dans un second orgasme intense et plus intérieur que le premier… Et elle lâchait épuisée un « oh putain… » Je me retournais… Personne…

Je crois que je souhaitais tant sa présence que je la croyais sincèrement dans la pièce.

J’oubliais de dire que nous étions en milieu de matinée lorsque j’entrais dans sa chambre. Maintenant Coline nous attendait pour déjeuner. Le regard de Coline en disait long alors que nous arrivions pimpants après une bonne douche. Un regard réprobateur de réprimande presque maternelle… Mais Juliette et moi nous en moquions…

Toujours est-il que les tensions ont disparues et nous passions une fin de séjour paisible. Plus tard dans le lit avec Coline avant de dormir, j’eu le droit à un « J’halucine… On peut dire que tu t’es bien démerdé toi ». Elle arborait son sourire et sa tenue d’Eve. J’avais déjà envie d’elle et elle avait déjà mon envie entre les doigts…

Retourne toi, je vais tout te raconter au creux de l’oreille.
La nuit fût rythmé par le orages et réveillés en pleine nuit, nous nous mettions à baiser encore, de manière douce et « banale » rentrant nos organes, nos cris, nos orgasmes et nos fantasmes. Juliette ne vint jamais nous rejoindre. Le lendemain matin commença par une sublime fellation de la part de Coline qui accepta l’offrande du matin avec son sourire habituelle : elle m’avala avec délectation, ce qu’elle fît pour la première fois. Je me lâchait dans sa bouche avec un plaisir concluant cette nuit d’un troisième orgasme.

- Elle te l’a fait ça Juliette ? me dit-elle en se relevant
- Elle m’a même pas sucé, répondais-je évasif…

Le séjour s’arrêtait là. J’ai vécu une semaine absolument géniale. Je me sentais chanceux. Je me rendais compte en les quittant pour prendre mon train que j’avais passé cette semaine au milieu d’une relation très exclusive finalement entre ces deux filles, complexe. Aussi j’ai attendu un temps avant de rappeler Coline.

Nous nous sommes revu, nous avons retravaillé ensemble et nous n’avons plus parlé de Juliette avec qui je n’ai aucun contact. Nous avons recouché ensemble il y a peu, c’était durant une nuit chaude et intense prouvant le lien fort qui nous unis elle et moi et l’osmose sur le plan sexuel qui existe.

Je n'ai plus revu Juliette depuis ni eu de nouvelles de Carole et Axel.

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